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LES SAVANTS FOUS 2.0

   Par Ivanhoé – Publié le 23 février 2023

Les « savants fous » sont ceux qui, pour peu qu’on leur donne carte blanche et des crédits illimités, perdent toute retenue et tout sens moral (se souvenir du régime nazi). Or, on assiste depuis quelques années à la prolifération d’une nouvelle génération de ces scientifiques mentalement atteints, et qui se font même recruter par des bailleurs de fonds encore plus déséquilibrés qu’eux.

OPEN BAR POUR LES SCIENTIFIQUES DE TOUT ACABIT

La littérature classique et le cinéma de série B nous ont déjà fait connaitre quelques célèbres « savants fous » comme les docteurs Frankenstein, Jekyll et Moreau, pour ne citer que ceux-là…

Du coup, étant donné l’Image stéréotypée que nous avons de ces hurluberlus revêtus d’un sarrau blanc crasseux – c’est-à-dire des déments aux cheveux ébouriffés, aux yeux exorbités, au sourire démoniaque et à l’hygiène personnelle déficiente… –, nous avons le réflexe d’en rire et de ne les considérer que comme des caricatures hilarantes de bandes dessinées qui n’existent pas dans la réalité. D’autant plus que les expériences auxquelles ils s’adonnent dans les œuvres de fiction – le façonnage de créatures monstrueuses, l’invention d’armes extraterrestres, le contrôle de la nature… – ont de tout temps été de pures fantasmagories qui n’ont jamais été prises au sérieux.

Or, ces gens existent pourtant bel et bien, ainsi que leurs travaux de science-fiction – qui n’en sont d’ailleurs plus aujourd’hui.

La seule différence d’avec les savants fous du cinéma est que si nous les croisions sur la rue, nous ne ferions aucunement attention à eux tant ils passent physiquement inaperçus. Nous n’aurions en outre aucune idée de leurs activités, ni – surtout – du danger qu’ils font actuellement courir à l’espèce humaine. Un peu comme ces tueurs en série jugés comme des individus irréprochables par tout leur entourage, mais qui, en arrière-plan, consacrent leurs nuits à perpétrer des crimes abominables.

Je ne fais évidemment pas ici référence à TOUS les scientifiques. La très grande majorité d’entre eux sont par ailleurs d’honnêtes citoyens et n’ont aucune mauvaise intention. Et si certains font le mal, c’est peut-être par pure naïveté ou en commettant des erreurs sans le faire exprès – du moins, c’est à espérer.

Mais les véritables savants fous – ceux qui sont conscients de ce qu’ils font – existent quant à eux véritablement en chair et en os, oui. Et leur nombre est beaucoup plus considérable qu’on l’imagine. Et si, en outre, l’on pouvait sonder leur cerveau à l’aide d’un détecteur de réalité, l’on y verrait très distinctement des facettes de l’Hommerie dans tout ce que ce comportement humain a de plus banal et de plus pitoyable : des ego surdimensionnés, des esprits aisément corruptibles, de la présomption et de l’orgueil, une ambition démesurée, une propension à la duperie et aux mensonges, et finalement, de façon globale, une prétention vaniteuse à se considérer comme les génies qui sauvent le monde de sa perte.

Et de par cette arrogance outrecuidante qui les caractérise, ces gens sans scrupules jouent sans vergogne aux apprentis sorciers en s’immisçant cavalièrement avec leurs gros sabots dans les fragiles écosystèmes de l’environnement et du corps humain, fier de « régler » ce qu’ils jugent comme des « erreurs » de la nature, et sans se soucier un seul instant de toutes les répercussions qui résultent la plupart du temps de leurs interventions intempestives. Que voulez-vous, s’excusent-ils alors – parfois – sans aucune sincérité et en haussant les épaules d’indifférence, l’avancée de la science est à ce prix ; et on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs.

Ce portrait n’est pas très élogieux, mais il est néanmoins mérité en regard de tous les dégâts qu’ils provoquent autour d’eux sans jamais en assumer aucunement les conséquences – ils s’en lavent les mains en laissant cette responsabilité à ceux qui les paient.

Et le problème, pour l’Humanité, c’est que ces individus dépourvus de morale ont malheureusement le vent en poupe ces temps-ci du fait qu’ils jouissent de la faveur de gens très riches qui leur fournissent les juteux capitaux qui leur permettent de se vautrer littéralement dans leurs passions égocentriques.

Pour donner une idée de l’état d’excitation qu’ils sont en train de vivre, imaginez une ribambelle d’enfants de dix ans qui se retrouveraient tout à coup dans le plus grand magasin de jouets du monde avec la permission de prendre tout ce qui leur plait. De la même façon, ces savants immatures bénéficient depuis quelques années d’une chance aussi incroyable que ces gamins : ils peuvent disposer tant qu’ils le désirent de moyens financiers illimités ainsi que du neck plus ultra de toutes les avancées de la technologie de pointe de ce début du XXIe siècle.

Ils sont de ce fait très dangereux. Immensément dangereux. Car ils s’amusent en ce moment même avec des forces qui menacent de leur échapper à tout instant – ce qui se produit d’ailleurs très souvent.

Mais ceux qui le sont davantage qu’eux – dangereux –, ce sont les psychopathes qui les recrutent et qui subventionnent leurs travaux à des fins de mégalomanie. Des travaux qui, soit dit en passant, n’ont plus aucun lien ne serait-ce qu’avec la plus microscopique notion d’éthique scientifique.

Ces deux engeances sont d’autre part enracinées dans tous les milieux. Notamment dans ceux des armes, de l’environnement, de la santé et du transhumanisme ; quatre secteurs qui drainent les quotients intellectuels les plus élevés de la planète, mais qui n’en sont pas moins la cause des multiples carnages écologiques et humains qui surviennent ponctuellement sur notre globe.

LES SAVANTS FOUS ET LA GUERRE MODERNE

Ils ne sont pas nouveaux d’aujourd’hui, ceux-là. Probablement même que les premiers savants de toute l’histoire de l’Humanité ont été des « scientifiques de guerre ». Nous leur devons en tout cas la fabrication de toutes les armes inimaginables possibles qui sont apparues tout au long des millénaires : à partir de la simple lance en silex des hommes primitifs jusqu’à notre grandiose bombe nucléaire, en passant par une série interminable d’inventions toutes plus destructrices les unes que les autres : glaives, arcs et flèches, fusils de tous les modèles inconcevables, canons, explosifs, missiles, et une suite sans fin de gadgets mortifères…

Le summum de leur « art » a été incontestablement atteint avec la création de la bombe nucléaire dans les années 40-50 ; une arme de l’apocalypse qui peut à juste titre être nommée « l’arme d’Armageddon » du fait que si elle est un jour utilisée, elle sera la cause de l’annihilation de l’Humanité dans son entier, incluant ceux qui auront pesé sur le bouton. Ce qui serait con de leur part, de prime abord, bien sûr, mais à constater la gravité des problèmes de santé mentale des individus qui contrôlent réellement les pays occidentaux d’aujourd’hui (ceux que nous appelons le Deep State) le danger est là – et immensément réel.

Jusqu’à maintenant, ces psychopathes n’ont pas encore osé passer à cet acte insensé. Non pas à cause d’une sorte de nébuleuse morale – car ils n’en ont absolument aucune –, mais simplement par crainte de payer eux-mêmes les frais de cette décision.

Ils n’en ont pas renoncé pour autant aux guerres en tant que telles, par contre. L’usage de l’arme nucléaire étant écarté – pour l’instant –, ils ont néanmoins continué à améliorer les armes conventionnelles et à en créer de nouvelles. Dans cette optique, et comme d’habitude, l’imagination débridée des savants fous qui contribuent à ces travaux n’a aucune limite. Il n’y a qu’à regarder cette courte vidéo pour s’en convaincre.

Et si ce n’était pas suffisant, nous assistons en ce moment même à la popularité montante de deux catégories particulières de savants fous aujourd’hui très en demande dans ce milieu immoral des armes : les chimistes / microbiologistes, et les ingénieurs sociaux.

Les savants fous qui œuvrent en chimie et en microbiologie

Le recours aux armes chimiques et bactériologiques n’est pas nouveau en soi. Ces saloperies ont été abondamment utilisées lors de la Guerre 14-18. Mais les pays ont par la suite signé une convention – le Protocole de Genève – qui prohibait désormais leur usage étant donné leur « barbarie ». Un second traité stérile du même acabit a été ratifié par plusieurs pays en 1993 : la Convention sur l’interdiction des armes chimiques, qui prévoyait par ailleurs la destruction contrôlée de tous les stocks mondiaux de cette merde.

Mais qu’à cela ne tienne. Pour les fanatiques de la guerre, ces traités n’ont jamais été rien d’autre qu’une variété de papier-cul bon marché. Non seulement ces armes ont-elles continué à être développées et améliorées en toute discrétion, mais elles ont également été utilisées dans de nombreuses guerres : au Vietnam, en Irak, en Libye, en Syrie…

Et finalement, la preuve a été démontrée que des laboratoires secrets sont encore aujourd’hui disséminés partout sur la planète – dont plusieurs en Ukraine –, financés (en catimini, bien sûr) par la CIA et l’OTAN, et que des savants fous y travaillent en toute impunité à créer de nouvelles armes à base de virus et de microbes pathogènes, et ce, en dépit du fait que cette pratique soit formellement condamnée par des conventions internationales.

Le laboratoire de Wuhan, en Chine, celui-là même d’où est parti le désormais célèbre coronavirus SARS-Cov-2, est l’exemple le plus connu de ces endroits où sont menées, entre autres, des recherches extrêmement controversées sur les fameux virus à « gains de fonction ».

Recherches qui ont été notamment financées par ce succédané moderne de médecin nazi, le docteur Anthony Fauci, qui occupe toujours à ce jour – incroyable, mais vrai – le poste suprême de conseiller en chef pour la santé publique des USA (l’équivalent dans ce pays de nos deux successifs clowns québécois : Arruda-Matata et Boileau-Boileau-mornes-plaines).

Institut virologique de Wuhan, Chine

Trois exemples types de créatures médicales corrompues du Deep State

Les savants fous qui œuvrent en ingénierie sociale

Ils sont surtout spécialisés dans la guerre dite de « 5e génération », ceux-là ; celle-là même que nous sommes nous-mêmes en train de subir de la part de nos propres gouvernements.

La guerre de 5e génération est également appelée la guerre de l’information et de la perception. Ses armes ne sont plus les fusils ni les tanks, mais plutôt les médias d’informations (qu’ils détiennent presque en totalité) et Internet. Son but n’est plus, non plus, la destruction des corps humains, mais la maitrise complète des esprits. Les savants fous spécialisés dans cette sorte de guerre sont bardés de diplômes en psychologie. Et leurs champs d’expertise sont la propagande à grande échelle et la manipulation des foules.

Grâce au support financier illimité de leurs commanditaires – l’infime minorité de psychopathes multimilliardaires qui ont pour fantasme de prendre le contrôle de la planète et de ses habitants –, ils ont aujourd’hui réussi à peaufiner leur « art » à un niveau encore jamais inégalé dans l’histoire du machiavélisme. La crise de la covid étant sans aucune équivoque la consécration ultime de leurs savoir-faire : en se servant d’une maladie relativement bénigne (une banale variété de grippe), ils ont en effet accompli le tour de force de provoquer une authentique psychose mondiale et de se faire obéir au doigt et à l’œil par des populations entières pendant plus de deux ans sans interruption.

Personnellement, il m’est très facile de les imaginer en train de rire comme des déments – le rire cliché du savant fou comme on l’entend dans les films – lorsqu’ils suggéraient aux gouvernants d’ordonner à leurs peuples de se soumettre aux diverses directives abracadabrantes que nous connaissons tous maintenant, et qu’ils se rendaient compte avec délectation que les gens se conformaient réellement à toutes ces règles absurdes sans rouspéter.

LES SAVANTS FOUS ET L’ENVIRONNEMENT

Une large frange des savants vénaux qui parasitent notre monde – toujours financée par nos psychopathes multimilliardaires (et par nos propres impôts) – s’active actuellement à démontrer que la Terre est en train d’agoniser à cause de notre propension à émettre du CO2 dans l’atmosphère. Une thèse totalement fausse et même complètement grotesque qui est réfutée, preuves à l’appui, par des centaines de scientifiques – indépendants et intègres, ceux-là – qui s’évertuent comme des diables à se faire entendre, mais qui continuent malheureusement à être totalement ignorés et censurés par les médias de masse et par les géants des Big Tech.

L’objet de cet article ne portant toutefois pas sur ce thème précis, les lecteurs désireux d’en apprendre davantage sur cette nouvelle arnaque internationale – et des raisons de celle-ci – sont priés de prendre connaissance de ce très court reportage, par exemple, qui cerne le sujet en moins de quinze minutes et qui invite à approfondir la question ailleurs que dans les médias traditionnels.

Je reviens plutôt spécifiquement à ces pseudo-scientifiques qui s’acharnent à répandre ces mensonges. Ils sont certes dangereux au point de passer éventuellement en justice pour abus de confiance, charlatanisme et escroquerie, mais on ne peut guère les qualifier que de « corrompus et de malhonnêtes ». Ce qui est un moindre mal si on les compare aux authentiques savants fous qui œuvrent dans le secteur de la climatologie et qui sont quant à eux mille fois plus menaçants pour l’Humanité que ces petits scientifiques de pacotille et malfaisants. Les véritables cinglés travaillent en effet pour leur part sur des projets beaucoup plus concrets et beaucoup plus susceptibles de dérégler la planète.

Les savants fous qui provoquent des phénomènes météorologiques

On appelle cette science la géo-ingénierie, et la technologie actuelle permet effectivement la matérialisation des sujets qu’elle explore. Lesquels ? Provoquer des pluies torrentielles, par exemple, générer des sécheresses, produire de la foudre à volonté, et même engendrer des tornades.

L’un des plus vieux phénomènes étudiés en ce sens, et qui a été souvent mis en application avec les méthodes scientifiques rudimentaires de cette époque – et qui ont été extrêmement perfectionnées depuis ce temps –, est celui de la « création de la pluie ». Cette réalisation concrète de la géo-ingénierie date des années de l’après-guerre, et elle a été notamment et fréquemment utilisée par les Américains – qui d’autre, évidemment ? – lors du conflit armé au Vietnam pour emmerder les Vietcongs dans leurs progressions vers le sud.

Ha ! Encore une théorie de la conspiration ! s’écrient sans doute ici spontanément, comme des automates préprogrammés, ceux qui ont l’habitude de ne jamais prendre le moindre renseignement sur rien avant de hurler aux fake news. Si c’est le cas, alors que tous ces râleurs professionnels adressent cette fois leurs doléances directement à Radio Canada qui en parle eux-mêmes sur YouTube, et qui ont même l’amabilité d’en expliquer le modus operandi.

En fait, cette science existe tant et tellement que les médias mainstream en discutent aujourd’hui ouvertement, ainsi que de nombreux sites d’information « sérieux » – dont Wikipédia –, et de même que nos bienheureux gouvernements qui en font la promotion !

Ce qui, en passant, devrait déclencher une retentissante sonnette d’alarme dans nos têtes.

Cette pseudo et exceptionnelle transparence de la part de toutes ces organisations, qui sont habituellement adeptes du silence et de la censure, dissimule évidemment ce que la populace ne doit absolument pas voir – ni comprendre – par rapport à cet aspect de la question. Et pour ce faire, comme d’habitude, la géo-ingénierie, telle qu’expliquée publiquement par tous ces ayatollahs de la Vérité, se pare du costume de la vertu en ce que ces gens :

— prétendent vouloir se servir de ces procédés pour régler les sempiternels « changements climatiques », c’est-à-dire ceux-là même, bien sûr, qui feront censément disparaitre toute trace de vie sur la planète d’ici quelques années (changements climatiques qui sont, répétons-le, une fumisterie aussi fictionnelle que l’a été celle de la plandémie de covid) ;

— nous forcent – par les sentiments – à approuver de notre plein gré l’usage de ces méthodes immensément controversées (qui, en effet, serait contre le fait, par exemple, de sauver des millions de personnes de la sécheresse ou d’inondations saisonnières ?) ;

— font ainsi de cette activité discutable une science « noble » pour couvrir et légitimer les expériences qui sont effectuées à nos dépens partout dans le monde (précisément la même tactique qui a été utilisée lors de la plandémie pour justifier l’expérience médicale à grande échelle de la thérapie génétique de l’ARN messager) ;

Cette fausse vertu dissimule en réalité le véritable objectif de cette politique, qui est – comme toujours – la fabrication d’armes (qui se retourneront tôt ou tard contre nous) ;

Étant donné le secret qui entoure ces expériences, nous ignorons bien entendu la teneur exacte de celles-ci ainsi que les endroits où elles ont lieu. Et cette difficulté est décuplée de par la roublardise perverse de ceux qui les mettent en œuvre : les catastrophes naturelles qu’elles provoquent sont évidemment attribuées aux « changements climatiques » qui auront toujours eux-mêmes le dos suffisamment large pour en être sans cesse responsables.

Juste comme ça, en passant, un indice d’une de ces expérimentations qui se déroule peut-être sous nos yeux – ou plutôt : au-dessus de nos têtes – est la présence de plus en plus fréquente de ces étranges quadrillages de « chemtrails » qui sillonnent pratiquement tous les cieux de la planète. Que sont-ils au juste ? De simples condensations de moteurs d’avions à réaction ? Internet est inondé de fact checkers qui soutiennent cette seule thèse et qui s’évertuent à ridiculiser les millions de personnes qui tentent de l’expliquer sous un angle différent.

Voilà d’ailleurs un sujet qui devrait éveiller la curiosité de nos brillants journaleux de médias de masse. Ne serait-il pas intéressant pour vous, chers spécialistes de l’information, d’enquêter sur ce phénomène ? Ne serait-ce que pour faire taire toutes ces « stupides » théories conspirationnistes. Je ne sais pas, moi… en cherchant quels avions sont responsables de ces trainées lors de certaines journées et de certaines heures très irrégulières. En vérifiant leurs plans de vol et leurs cargaisons ? Ou en utilisant d’autres moyens que vous vous targuez de connaitre. Après tout, n’est-ce pas vous, les prétendus experts de l’investigation ? Dans ce cas, qu’attendez-vous au juste ?

Les savants fous qui provoquent des catastrophes “naturelles”

La Turquie a tout récemment subi un séisme de 7,8 à l’échelle de Richter et un autre de 7,5 peu de temps après et à une centaine de kilomètres du premier. Au moment où ces lignes sont écrites, on parle de 40 000 morts, faisant ainsi de ce cataclysme l’une des pires tragédies « naturelles » des annales de la planète.

Ce tremblement de terre a toutefois remis sur le tapis l’épineuse question de ces savants fous – et surtout de ceux qui les paient – qui travaillent peut-être actuellement à provoquer volontairement ce genre de désastres à travers le monde en se servant des technologies les plus avancées qui puissent se concevoir en ce début du XXIe siècle.

Impossible ? Pourquoi impossible ? Nous le faisons en tout cas sans même le faire exprès de par nos activités habituelles.

Pour en revenir à la catastrophe de la Turquie, celle-ci est fortuitement survenue dans ce pays membre de l’OTAN qui venait tout juste d’utiliser son droit de veto en refusant l’adhésion de la Finlande et de la Suède dans cette organisation. Et depuis le déclenchement de l’opération spéciale de la Russie en Ukraine, il est l’un de ces mêmes pays membres de l’OTAN qui ne s’est pas montré ouvertement hostile à Vladimir Poutine, c’est-à-dire au monstre-sanguinaire-à-côté-de-qui-Hitler-est-un-enfant-de-chœur. Ce qui est encore pire qu’un crime de haute trahison en ces temps de propagande de guerre. Toujours est-il que ce séisme a justement frappé cette nation, et au moment pile où l’Occident exerçait d’énormes pressions pour qu’elle « rentre dans le rang ».

Comme l’a analysé Zed dans son émission du 9 février dernier, trois thèses sont possibles pour expliquer cette catastrophe à ce moment-ci :

— ou bien il s’agit d’une intervention de Dieu qui en a marre de constater la situation déplorable de la race humaine, et qui nous a lancé un sévère avertissement dans le but que nous revenions à une conduite morale plus sensée et plus digne de notre condition ;

— ou bien il s’agit d’une pure coïncidence (et dans ce cas, le hasard a très bien fait les choses) ;

— ou bien il s’agit de l’œuvre du Deep State qui, en se servant de la technologie dont ils financent les travaux, aurait voulu punir la Turquie pour son obstination à ne pas se conformer à ses règles et menacer du même coup toutes les autres nations occidentales de ce qui les attend s’il leur prenait la fantaisie de se comporter comme cette récalcitrante. Le même Deep State qui, en plus, aurait fait d’une pierre deux coups en expérimentant concrètement le résultat de ses recherches ; exactement comme ils l’ont fait en larguant deux bombes atomiques (inutiles) sur le Japon à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

Le maire turc d’Ankara, Ibrahim Melih Gökçek, semble quant à lui tout à fait convaincu de la 3e explication puisqu’il a ouvertement incriminé les États-Unis d’être à l’origine de cette catastrophe, tout en pointant du doigt l’observatoire militaire de recherche américain H.A.A.R.P. (High Frequency Active Auroral Research Program) en Alaska. Ce n’est d’ailleurs pas d’aujourd’hui que cette installation est accusée de tels méfaits. Chaque fois que l’une de ces incroyables anomalies tectoniques survient, elle est régulièrement remise sur la sellette comme étant la responsable potentielle. Ce que les autorités militaires nient toujours en bloc, bien sûr.

Base militaire de recherche américaine H.A.A.R.P. (High Frequency Active Auroral Research Program) en Alaska

Il est sain de se montrer sceptique devant les théories à caractère conspirationniste, et d’analyser les faits avec un regard critique pour ne pas avaler n’importe quelle couleuvre. Mais de constamment réfuter les moindres hypothèses sans jamais prendre le temps d’en prendre connaissance démontre un esprit obtus qui ne fait pas honneur à l’intelligence humaine.

Et croire que les psychopathes du Deep State et que les militaires dédaignent ce genre de technologies susceptibles de devenir des armes de destruction massive relève d’une déconcertante naïveté. Ainsi que de prétendre qu’elles n’existent pas parce que les médias n’en parlent pas. Il faut bien garder à l’esprit que les militaires (et les gouvernements par le fait même) ne parlent JAMAIS de leurs recherches en public, et surtout pas à ces imbéciles de journalistes qu’ils paient justement pour se taire et désinformer.

Ceux qui s’intéressent au projet H.A.A.R.P. sont invités à écouter cette vidéo de quarante-cinq minutes de Jesse Ventura. Comme pour tous les reportages américains, celui-ci fait malheureusement très « spectacle » et « complotiste », mais il nous force au moins à nous pencher sur certains questionnements basiques. Il en foisonne toutefois bien d’autres sur ce sujet et qui vont dans le même sens – ou tout autant dans le sens contraire !

LES SAVANTS FOUS ET LA SANTÉ

On les connait très bien, ceux-là : ce sont les diaboliques savants fous qui travaillent volontairement pour les compagnies pharmaceutiques – plus communément et « rapacement » appelés Big Pharma.

Big Pharma ou l’archétype du Mal déguisé en modèle de Vertu

Les compagnies pharmaceutiques représentent tout d’abord sans doute ce qui existe de plus hypocrite et de plus perfide au sein de l’univers du capitaliste sauvage. Cette industrie déploie effectivement une inlassable énergie et des sommes d’argent astronomiques dans l’unique but de se donner une image vertueuse tout en s’adonnant aux plus abjectes malversations criminelles par en dessous.

Le cartel des pharaoniques compagnies pharmaceutiques se compare aisément aux plus dangereux cartels de la drogue qui sévissent partout dans le monde, en ce que tous les deux :

— inondent le globe de substances chimiques qui rendent les humains physiologiquement dépendants de ces produits et dont les multiples effets secondaires tuent ou handicapent physiquement ou psychiquement à vie une vaste proportion de leurs usagers ;

— ont recours au mensonge, au soudoiement à grande échelle et au chantage, pour arriver à leurs fins ;

— utilisent la violence, et même le meurtre, pour se débarrasser de quiconque s’oppose à eux ;

— s’enrichissent au-delà de toute compréhension humaine.

Il y en aurait pour des pages et des pages à décrire toutes les malversations mafieuses auxquelles s’adonnent les compagnies pharmaceutiques à travers la planète, et ce, en toute impunité, étant donné qu’elles ont gangrené – corrompu jusqu’à l’os – les plus hautes instances décisionnelles de nos nations (gouvernements, corps médicaux, justice et médias).

Les compagnies pharmaceutiques – Pfizer largement en tête – sont parmi les multinationales qui se sont retrouvées le plus souvent en procès et qui paient les amendes les plus faramineuses pour diverses raisons telles que corruption, mensonges, fabrication de faux rapports, dissimulation de données, effets secondaires extrêmement graves ou même mortels de médicaments, négligences criminelles ayant entrainé la mort, etc. Il ne manque que l’assassinat dans cette panoplie d’accusations dignes des actions de toutes les pègres du monde – tout simplement parce qu’ils ne se sont pas encore fait prendre ouvertement.

Les compagnies pharmaceutiques sont finalement totalement dépourvues de toute moralité (zéro à la puissance zéro) : ils mettent sur le marché des médicaments en sachant parfaitement les incidences médicales irréversibles de leurs produits sur des millions d’êtres humains ; ils font interdire les plantes médicinales dont ils ne possèdent pas les brevets (l’Artemisia étant l’exemple le plus connu de cet acte condamnable par la loi) ; ils se servent de cobayes humains à leur insu pour tester leurs expériences… Leurs méfaits sont sans fin, ainsi que toutes les souffrances physiques et psychiques dont ils sont responsables partout sur la planète.

Mais comme ce sont des modèles de vertu, ils se défendent arrogamment en rétorquant qu’ils sauvent en contrepartie des millions de vies et qu’en dépit du fait qu’on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs, le bilan ultime de la santé publique mondiale est néanmoins en leur faveur.

Ce qui est loin – très très loin – d’être prouvé.

Une chronique complète ne suffirait pas à ne serait-ce qu’effleurer leurs crimes de même que les malheurs qu’ils génèrent au sein de l’Humanité prise dans son grand ensemble. Des livres entiers ont d’ailleurs été édités à ces sujets. Une multitude de reportages ont également été réalisés. Livres et reportages qui se sont presque tous soldés par des mises à l’index de la part des gouvernements, des médias et des Big Tech, tous autant corrompus les uns que les autres ; ainsi, parfois, que par la mort inexplicable des lanceurs d’alerte qui en sont les auteurs.

Les savants fous qui s’amusent avec les corps humains

Comment, en leur âme et conscience, des êtres humains ayant la moindre éthique personnelle ou le plus minuscule gramme de déontologie peuvent-ils moralement travailler pour cette industrie ? Cela semble quasi impensable, mais cette réalité existe pourtant bel et bien, et pas rien qu’un peu.

Des dizaines de milliers de scientifiques sont bel et bien en ce moment même à l’emploi de ces organisations criminelles (ou financés « philanthropiquement » par elles) et occupent leur temps à tripoter des cellules microscopiques, à synthétiser des molécules artificielles, et à inoculer des maladies à des animaux. Et ceux-là ne représentent que les plus « honnêtes » d’entre eux. Des milliers d’autres, davantage en paix avec leur conscience, s’adonnent quant à eux à falsifier leurs rapports de recherches, à tester leur merde sur des cobayes humains sans leur consentement, et à profiter sans vergogne de l’impunité dont ils croient bénéficier pour s’activer en secret à des expérimentations interdites par toutes sortes de traités.

Tout cela dépasse tellement l’entendement qu’il est sans doute préférable de ne pas tous les mettre dans le même panier et de tenter de catégoriser leurs motivations personnelles. De cette façon, parmi eux, probablement y en a-t-il :

— pour qui leur travail correspond tout bonnement à un emploi comme un autre — métro-boulot-dodo –, et qui se foutent comme de leur première chemise des conséquences de leurs occupations quotidiennes et des manigances de leurs patrons ou de leurs bailleurs de fonds, pourvu que la paie rentre toutes les semaines ;

— qui ne sont absolument pas au courant des malversations de leurs employeurs ou des organismes qui les subventionnent (et dans ce cas, il faudrait qu’ils soient d’une maladive naïveté ou complètement enfermés dans leur bulle tels des autistes pathologiques) ;

— qui, en dépit de toutes les répercussions désastreuses du fruit de leurs recherches sur des milliers de « victimes collatérales », sont néanmoins profondément convaincus de sauver éventuellement des millions de vie et d’œuvrer ainsi pour le bien de l’Humanité (ce qui s’appelle « se donner bonne conscience ») ;

— qui sont simplement corrompus à l’os, comme les gens qui les arrosent, et qui n’ont, de ce fait, aucune morale ;

— qui sont excités comme des puces qu’on leur donne carte blanche et des fonds illimités pour satisfaire leur démence (ce qui est la définition même du « savant fou » typique).

Bref, qu’ils soient conscients ou (plus ou moins) inconscients de ce qu’ils font, et en tenant compte du fait qu’ils en sont maintenant rendus à trifouiller l’ADN humain, tous ces scientifiques sont aujourd’hui parvenus à une frontière qu’ils sont en train de franchir sans se questionner le moindrement sur la bombe à retardement qu’ils manipulent avec une inquiétante insouciance. Et c’est pour cette raison qu’il nous est permis de tous les qualifier de « savants fous », et ce, quelles que soient les motivations qui animent chacun d’entre eux.

Le summum a été atteint avec cette nouvelle thérapie génique de l’ARN messager. Des millions, sinon des milliards de personnes viennent d’être injectés de ce produit expérimental dont les conséquences à court, moyen et – encore moins – à long terme n’ont jamais été étudiées. Des milliers de sacrifiés de par le monde sont déjà décédés ou souffrent de pathologies incurables à cause de cette expérience humaine à grande échelle et qui a été menée sans le consentement éclairé de quiconque. Et des millions de « mutants potentiels » transmettront ce poison à leurs progénitures ; ce qui aura possiblement un effet exponentiel au fur et à mesure que les années s’écouleront.

En fait, peut-être qu’il ne se passera rien de mondialement génocidaire. Mais il se peut également que si. Le problème c’est qu’ON N’EN SAIT RIEN DU TOUT ! De là, la prudence dont tout être humain normal devrait faire preuve dans cette sorte d’initiatives.

Mais non…

Les savants fous continuent malgré tout leurs recherches et leurs expériences dans nos corps en se considérant comme des dieux vivants.

Et nous les laissons faire…

LES SAVANTS FOUS ET LA NOUVELLE SCIENCE DU TRANSHUMANISME

Les lecteurs les plus âgés se souviendront sans doute de ces deux séries fort populaires qui sont sorties à la télévision dans les années 70 : The Six Millions Dollar Man et The Bionic Woman. Ces deux productions relataient l’histoire d’un homme et d’une femme à qui l’on avait greffé des membres et des organes artificiels « bioniques » (bras, jambes, yeux et oreilles) à la suite de très graves accidents ; ce qui avait décuplé leurs performances physiques, faisant ainsi de ces deux miraculés des personnes mi-humaines mi-robots avec des pouvoirs quasi surnaturels.

Ce concept a depuis lors été répété à de très nombreuses reprises dans d’autres séries et dans une pléthore de films qui l’ont trituré à toutes les sauces, les héros mortellement blessés, sinon cliniquement morts, se faisant remplacer tout leur organisme interne – incluant leur cerveau – par des pièces mécaniques et des circuits électroniques. Au fil du temps, on a même inventé un nouveau mot pour désigner ce genre d’humains : des « cyborgs ».

Jusqu’à maintenant, ces cyborgs n’avaient toujours été que des divertissements littéraires et cinématographiques de science-fiction. Or, nous sommes aujourd’hui à l’aube de la concrétisation effective de cette technologie.

Toutes les « instances officielles » en parlent d’ailleurs ouvertement : les scientifiques, les médias et les gouvernements. Et ceux qui frétillent le plus à l’idée de se jeter corps et âme dans cette nouvelle mêlée sont évidemment les « savants fous » qui, au demeurant, n’ont pas attendu aucune permission légale avant de se ruer sur les expérimentations. Ceux-là se voient déjà les égaux du docteur Frankenstein – ou de Dieu Lui-même – en train de créer – littéralement – des êtres vivants à l’aide de molécules et de puces électroniques. Ils en ont même des orgasmes permanents.

« TRANSHUMANISME » TEL QUE DÉFINI PAR WIKIPÉDIA

« Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l’usage des sciences et des techniques afin d’améliorer la condition humaine par l’augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains et de supprimer le vieillissement et la mort ».

Le transhumanisme représente entre autres le vieux rêve du fondateur mégalomane du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab. C’est également celui de quelques intellectuels influents dans la communauté des « philosophes » du XXIe siècle, tels que Yuval Noah Harari et – surtout – Laurent Alexandre. Ce Laurent Alexandre, chirurgien-urologue de formation, qui peut par ailleurs être considéré à juste titre comme étant l’archétype du « savant fou » moderne.

Trois dangereux chantres fanatiques du transhumanisme

Klaus Schwab (homme d’affaires, idéologue), Yuval Noah Harari (historien, auteur et conférencier) et Laurent Alexandre (scientifique et homme d’affaires)

Grosso modo, le transhumanisme, aussi appelé la « convergence bionumérique », comprend deux branches : 1) l’amélioration du corps humain en amalgamant – ou en greffant – la technologie (dont l’intelligence artificielle) à la biologie ; et 2) l’amélioration du même corps humain en trifouillant directement son génome (ADN). Dans les faits, ces deux approches n’en font qu’une seule.

Cette nouvelle doctrine qui est prônée partout comme étant l’avenir de l’Humanité et comme étant celle qui sauvera celle-ci de la destruction – on se demande d’ailleurs de quelle destruction il s’agit –, et qui est apparemment inéluctable quoi qu’il advienne, cette nouvelle doctrine, donc, n’est rien de moins que la version moderne de celle de l’eugénisme du régime nazi. Les gens qui en font l’apologie ne rêvent en effet que d’une chose : fabriquer des surhommes – et de préférence tous identiques. Des surhommes qui éclipseront un jour obligatoirement l’humain vulgaire et improductif tel qu’il existe encore aujourd’hui – vous et moi –, en vertu de la loi universelle de la sélection naturelle de Darwin.

PARENTHÈSE

À ce propos voir ou revoir le film Bienvenue à Gattaka qui explore vers où mènera réalistement une société entièrement dédiée au transhumanisme

L’aventure du transhumanisme va déjà bon train. Les scientifiques – les savants fous – travaillent en ce moment comme des déments dans leurs laboratoires pour développer cette société futuriste, les médias produisent des articles et des reportages sur cette dangereuse réalité, et nos « élus » encouragent ouvertement les recherches en ce sens.

Les sceptiques n’ont qu’à cliquer sur cette page officielle du gouvernement canadien et lire le très long texte dédié à cette question et dont voici seulement un extrait qui explique les raisons pour lesquelles nous devons – selon eux – absolument adopter cette route en tant que société moderne :

« La convergence bionumérique ouvre la voie à des façons entièrement nouvelles de :

— modifier l’être humain – notre corps, notre esprit, notre comportement ;

— modifier ou créer d’autres organismes ;

— modifier des écosystèmes ;

— percevoir, stocker, traiter et transmettre des renseignements ;

— gérer l’innovation dans le domaine de la biologie ;

— structurer et gérer la production de chaine d’approvisionnement. »

Ce seul extrait donne froid dans le dos en ce que le gouvernement canadien, celui que nous avons prétendument élu, et sans aucune consultation auprès de son peuple, oriente franchement ses politiques pour – entre autres – transformer ses citoyens en robots et en modèle de docilité. Relisez bien attentivement ce qu’il considère comme le premier bienfait de cette approche, et pesez chaque mot :

« MODIFIER L’ÊTRE HUMAIN – notre CORPS, notre ESPRIT, notre COMPORTEMENT ».

Et ce qui provoque davantage la chair de poule est que PERSONNE N’EN PARLE à l’exception de quelques lanceurs d’alerte qui sont ridiculisés par les médias – comme d’habitude – ou carrément censurés.

 IL N’Y A AUCUN DÉBAT SUR CETTE QUESTION.

Et pendant ce temps-là, les « savants fous », toujours eux, trop heureux d’avoir le feu vert directement de la part des instances décisionnelles, s’en donnent actuellement à cœur joie dans leurs laboratoires et sur leurs microscopes, à jouer encore une fois les apprentis sorciers, en faisant fi de toute notion d’éthique et de morale, et en se foutant allègrement des conséquences à long terme que leurs travaux auront éventuellement sur le monde de nos enfants et de nos petits-enfants.

Ce sujet du transhumanisme est tellement vaste et tellement majeur pour l’avenir de l’Humanité qu’il fera l’objet d’une prochaine chronique à part entière – restez à l’écoute.

MOT DE LA FIN : LES SAVANTS FOUS SONT-ILS RÉELLEMENT FOUS ?

Cette chronique traite des « savants fous ». Cette épithète est-elle exagérée ? Ne reflète-t-elle pas un vulgaire préjugé personnel ? Correspond-elle à une millième étiquette facile ?

Si la santé mentale – ou du moins la santé « psychologique » – de tous ces scientifiques qui gagnent leur vie dans les secteurs précédemment décrits se porte bien, alors je pose franchement la question : quelles sortes d’hommes et de femmes peuvent bien accepter d’œuvrer volontairement sur des projets…

— qui tuent, blessent, mutilent, torturent et handicapent à vie leurs frères et de leurs sœurs ?

— qui contribuent à asservir des populations entières et à en faire des esclaves ?

— qui se servent de cataclysmes environnementaux pour assassiner des milliers de victimes innocentes qui n’ont rien fait de mal à personne ?

— qui fabriquent des médicaments non pas dans un but désintéressé et altruiste, mais avec des objectifs bassement mercantiles, sans aucune éthique professionnelle et qui n’ont rien à cirer des décès et des souffrances qu’ils infligent à des millions de personnes qui leur font confiance ?

— qui trifouillent le cœur du génome humain en se foutant complètement des conséquences – possiblement désastreuses – à long terme de ces travaux sur le futur de l’Humanité ?

— qui rêvent de créer une nouvelle forme d’êtres humains basés sur la notion d’eugénisme (celle-là même qui animait Hitler et sa doctrine nazie) ?

Si ces gens sont mentalement équilibrés, dans ce cas, comment s’y prennent-ils donc pour vivre concrètement avec leur conscience en se convainquant que ce qu’ils font est juste ?

Comment font-ils donc pour s’endormir le soir avec l’esprit en paix ?

Pour toutes les personnes saines d’esprit, ou qui ont un minimum de morale – la majorité d’entre nous, j’espère –, cela demeurera probablement toujours un mystère insondable…

Toutes les autres chroniques d’Ivanhoé sont ici


1 commentaire

Jo · 26 février 2023 à 22 h 26 min

Vraiment un excellant article, Merci

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