Z Radio

Richard Martineau et son rapport (fécal) avec la Charte des droits et des libertés

   Par Ivanhoé – Publié sur mon blog personnel le 12 mai 2021, mais toujours plus que jamais d’actualité étant donné l’abjection permanente du personnage

On le sait depuis longtemps : l’enfant chéri de Québécor n’en manque jamais une pour attirer l’attention des regards et des conversations vers lui. Dans une de ses récentes tirades dont lui seul a le secret, il a même été jusqu’à souiller sciemment de ses excréments le document qui a pourtant fait de lui la « vedette » qu’il est devenu au fil du temps dans les médias de masse. Le document (sacré), en fait, à qui il doit toute sa vie.

RICHARD MARTINEAU ET LE QUÉBEC : UNE HISTOIRE D’AMOUR  – OU PRESQUE

Richard Martineau… Richard Martineau… Richard Martineau…

On ne se lasse jamais de prononcer ce nom au Québec, et on le décline de toutes les manières possibles… Richard Martineau / Richard (tout court) / Rick / Dick / Richie / Richie Martineau… On le surnomme même souvent affectueusement Ricky / mon ‘tit Marti / mon beau gros nounours en peluche… Ses fans finis n’hésitent pas, quant à eux, à transférer ses textes sur leur ‘tit Facebook, avec des like à n’en plus finir, et avec des commentaires, tel celui-ci, que l’on voit très souvent : « Tellement vrai ! J’approuve à 100 % ! »

On t’aime, Richard. Tu es notre idole, notre gourou, notre maitre à penser. Sans toi, le Québec ne serait plus le Québec. Si tu disparaissais, qui dirait les « vraies affaires », et qui s’indignerait à notre place ?

Tout cela est une blague, évidemment…

La vérité est que certains l’adorent, oui. Mais quelques-uns l’exècrent également – des analphabètes, pour la plupart, bien sûr.

Qui, en tout cas, ne connait pas Richard Martineau ? L’illustre Richard Martineau ? Sa notoriété dépasse même les frontières du Québec : elle s’étend en effet aujourd’hui jusque dans une partie de la francophonie. En France, notamment. Dans ce pays, toutefois, il n’a pas très bonne presse, et il a tendance à nuire à notre réputation. Mais qu’est-ce qu’on a à foutre de l’opinion des Français concernant nos affaires personnelles ? Richard Martineau ne leur appartient pas. C’est le patrimoine privé de notre petit patelin tellement important au sein du reste du monde.

Québec : le (tout) petit nombril du monde

Et chez nous, il n’y a que quelques imbéciles qui ne comprennent rien à… à « l’idéologie » (appelons ça comme ça) de ce grand homme.

RICHARD MARTINEAU,  « LE » POLÉMISTE

Richard Martineau est un polémiste. Et pas juste ça : il est sans conteste « le » polémiste en chef de la province de Québec au grand complet (ce titre qui lui revient de droit est expliqué plus loin). Autrement dit, Richard Martineau est un fouteur de merde qui adore que les caméras soient braqués sur sa pomme. C’est comme ça qu’il a décidé de gagner sa vie : en braillant contre tout et contre rien, en parlant fort et à tort et à travers, en insultant les citoyens qui ne sont pas de son avis, en disant les « vraies » affaires (of course), et en se considérant le maitre à penser du Québec, convaincu (est-il) d’affirmer tout haut ce que le petit peuple (celui qui a du bon sens) murmure dans son coin – faute d’une tribune comme la sienne pour s’exprimer.

C’est un gueulard professionnel, en fin de compte. Ça existe, effectivement. Ben quoi ? Vous connaissez le proverbe : « Il n’y a pas de sots métiers ; il n’y a que de sottes gens. » Eh bien, voilà.

Je soupçonne le beau Rick d’avoir fantasmé sur Jean-Luc Mongrain lorsqu’il était jeune, et d’en avoir fait son idole.

Ça se peut. Mais si c’est le cas, il a définitivement raté son coup pour l’imiter. Jean-Luc Mongrain avait au moins le mérite de se renseigner sur ses sujets avant de vomir ses flots d’indignation devant la caméra. Et il était rare qu’il s’abaissait à la vulgarité. Il avait une certaine classe, quoi. Tandis que le petit Ricky, lui, question classe et question maturité…

En dépit de ses envolées lyriques à l’emporte-pièce sur tous les sujets inimaginables (sans à peu près jamais citer ses sources), Richard Martineau est souvent invité à la radio et à la télévision pour les exprimer (spectacle oblige). Et il écrit aussi dans le très intellectuel Journal de Mourial. Il est en fait (surtout) le porte-parole-pit-bull de Québécor, propriétaire de cette feuille de chou et de TVA. La classe, en effet.

Mais c’est pour ça qu’on le voit un peu partout, justement, et qu’il peut dire ce qu’il veut, et de la manière qu’il le veut : parce qu’il est protégé par les puissants…

Sans son parrain, invisible serait-il, le pauvre petit Martineau, lui et ses pauvres petites indignations d’ado boutonneux.

RICHARD MARTINEAU ET LES AUTRES JOURNALEUX

Entre autres choses, Richard Martineau est donc journaleux. Hey oui.

Je le spécifie, car habituellement, une personne qui écrit dans un journal, ça s’appelle un journaleux. Mais ce n’est pas si clair que ça en ce qui le concerne, lui, car le reste des journaleux, pour leur part, contestent justement ce titre à ce genre d’écrivain en herbe (parce qu’ils en ont honte ?). Ils les désignent plutôt sous le vocable de « chroniqueux ». Ce qui est apparemment différent. Un chroniqueux donne son opinion (très) personnelle sur toutes sortes de sujets. Tandis que les vrais journaleux ne rapportent que la vérité brute de façon absolument neutre, sans prendre aucun parti. Oui, oui, exactement : la vérité, rien que la vérité. C’est même leur crédo. Je jure que c’est ce qu’ils disent d’eux-mêmes. Sans blague !

Pour en revenir à notre Richard Martineau national, celui-ci n’est pas le seul journaleux-chroniqueux du Québec – et tant s’en faut. Mais il trône tout en haut de la petite oligarchie de ses semblables. Jusqu’à tout récemment, il disputait d’ailleurs la première place des journaleux-chroniqueux du Québec avec quelques autres élites journalistiques comme lui – notamment avec Patrick (tit-Jo Connaissant) Lagacé et Denise (l’Hystérique) Bombardier…

Mais il vient récemment de les déclasser à plate couture grâce à un formidable texte paru le 25 avril dernier dans le grand tabloïd qui lui donne carte blanche depuis des années.

Cette (nouvelle) montée de lait correspond sans nul doute possible au summum de son art. Tant et tellement que le reste de cet article sera consacré à ce court billet qu’il a écrit et qui prouve maintenant hors de tout doute qu’en frais d’intelligence, tous les intellectuels-philosophes de la province peuvent aller se rhabiller et rentrer chez eux. Ils ne font décidément plus le poids devant le roi Richard 1er. Et nous, les citoyens ordinaires, encore moins.

Inclinons-nous devant Sa Majesté…

LA CHARTE DES DROITS ET DS LIBERTÉS DU QUÉBEC

pour prendre connaissance de ce document sacré dans son intégralité, c’est ici)

Dans son texte, Richard Martineau s’en est pris à ceux qui ne croient pas une miette qu’un virus banal est en train de décimer la planète entière. Peu importe (pour le moment) les milles et une sources sur lesquelles ces gens appuient cette affirmation, ces mêmes gens croient de ce fait que ce canular a été inventé de toutes pièces et que les marionnettes au pouvoir en ont profité pour abolir (graduellement, mais inexorablement) tous les droits et les libertés de ses citoyens.

Ce qui représente la plus grande attaque jamais survenue contre le document le plus sacré de notre province, celui qui préserve chaque citoyen des abus de ses semblables et de ceux de ses dirigeants : la Charte des droits et des libertés de la province de Québec.

Chaque pays « démocratique » possède sa Charte des droits et des libertés. Et chacune d’entre elles contient à peu près toutes les mêmes clauses : liberté de mouvement, liberté de parole, défense d’entrer dans nos maisons sans mandats, etc.

Ce document est tellement important qu’il prime sur toutes les autres lois émises par les gouvernements. Autrement dit, aucun dirigeant ne peut promulguer une loi, un décret, une directive (peu importe) qui va à l’encontre d’une seule des clauses de la Charte des droits et des libertés.

La Charte des droits et des libertés est à un pays ce que Dieu est à certaines religions.

Elle est SACRÉE. Personne n’a le droit d’y toucher. PERSONNE.

M’enfin, jusqu’à ce que survienne ce canular de pandémie au mois de mars 2020. Depuis cette date, plusieurs gouvernements mondiaux ont piétiné leur Charte dont ils avaient justement le mandat de protéger. En fait, ils agissent exactement comme si ce document n’avait jamais existé.

Avec la destruction systématique de la Charte des droits et des libertés (par notre gouvernement, et avec notre propre assentiment), notre démocratie est en train d’agoniser avec elle…

RICHARD MARTINEAU ET SA MANIÈRE DE DISPOSER DE LA CHARTE DES DROITS ET DES LIBERTÉS DU QUÉBEC

Depuis le tout début de cette fraudémie, le célèbre chroniqueux, dans ses tirades comme lui seul a le secret, s’en prend à ceux qui se sont rendu compte que notre Charte des droits et des libertés était en train d’être bafouée et jetée aux ordures ; et que, de ce fait, le semblant de démocratie que nous avions encore dans notre pays était en train de disparaitre inexorablement.

Il faut dire en aparté que Richard Martineau déteste ces gens. Et c’est peu dire. Il les voudrait morts (et on se demande bien pourquoi, en fait ; mais ceci fera éventuellement l’objet d’une thérapie – dont il a vraisemblablement grandement besoin). Il les exècre tant et tellement que, dans son dernier article, pour les atteindre dans leurs revendications, il s’en est pris à la Charte des droits et des libertés. Voici un extrait de ce qu’il a écrit textuellement, noir sur blanc (le texte en entier se trouve ici

« Savez-vous ce que je fais de vos droits, ô chères personnes qui ne voulez pas être vaccinées ? Je les prends, je les roule très serré et je me les fous dans le schtroumpif. Le plus profondément possible. J’en ai strictement rien à cirer de vos droits. »

Eh oui, Richard Martineau, celui qui serait le premier à s’indigner et à déchirer publiquement sa chemise si on faisait mine de le faire taire, LUI, ou de le censurer, celui-là même qui serait le tout premier à crier haut et fort en faisant appel à la Charte des droits et des libertés du Québec pour contester les abus à son égard…

… eh bien voilà ce que ce brave homme fait aujourd’hui de cette même Charte des droits et des libertés lorsque les héros du Québec se battent pour la secourir (essayez de bien visualiser la chose)…

Il prend le texte écrit de cette Charte. Il le roule et en fait un cylindre bien serré. Une fois cela fait, il baisse ses pantalons et son slip, et il glisse l’un des deux bouts roulés dans son rectum. Et il pousse jusqu’à ce que le tout soit bien enfoncé dans sa merde. Et il tourne finalement le tout pour bien malaxer la mixture que ça donne.

(image censurée)

Quand je disais que Richard Martineau avait de la classe. Non seulement, c’est un gentleman, mais c’est un gentleman extrêmement respectueux des choses sacrées.

Et en passant, juste pour en rajouter un peu plus sur la dépravation – et sur l’exhibitionnisme – de ce personnage abject (n’ayons pas peur des mots), voici ce qu’il a rajouté (essayez encore une fois de bien visualiser la chose)…

« Non seulement je vais aller au resto avec ma blonde lorsque j’aurai mon passeport vaccinal, mais j’espère que le resto où j’irai sera situé en face d’un antivaccin pour que je puisse le mooner en sirotant mon verre de Sancerre et en mangeant mon tartare au saumon. »

Alors là, voilà une promesse qui a du panache. Si vous voulez voir les belles grosses foufounes blanches et  bien enveloppées du gros Ricky Martineau, juste à vous rendre au restaurant qu’il aura choisi pour manger son tartare, un soir. Et là, payez un mec qui criera « Libarrrrrrté ! », de l’autre côté de la rue. Le beau gros Ricky Martineau se lèvera aussitôt en plein milieu du restaurant, et il baissera ses pantalons et son slip devant tout le monde.

Préparez vos kodaks !

LA CHARTE DES DROITS ET DES LIBERTÉS PAR RAPPORT À RICHARD MARTINEAU

C’est bizarre quand même…

S’il en a été un au Québec qui s’est prévalu – et qui se prévaut encore aujourd’hui à tour de bras – des clauses de la Charte des droits et des libertés, notamment celle de la liberté d’expression, c’est bien lui : Richard Martineau. En fait, il doit intégralement son job à notre Charte. Il lui doit sa « carrière » entière. Sans cette Charte, et plus spécifiquement sans la clause 3, il serait peut-être aujourd’hui… je ne sais pas, moi… plombier, peut-être ? Un métier qui lui irait bien au demeurant. Car s’il est capable de tourner la Charte dans sa merde, sûrement pourrait-il en faire autant avec un outil dans une cuvette. Au moins, là, il aurait rendu des services utiles à la population.

Mais bref, s’il y en a un au Québec qui devrait considérer cette Charte comme un texte sacré – ce qu’elle est d’ailleurs justement, humainement parlant –, c’est bien lui, Richard Martineau, qui lui doit toute sa vie. Et il devrait, en plus, monter aux barricades et la défendre bec et ongles lorsqu’elle est bafouée de la plus ignoble des façons, comme c’est le cas depuis un an, par le petit despote qui a décidé de la piétiner, et de faire désormais une dictature de ce pays.

Eh bien, non : la Charte des droits et des libertés, Richard Martineau se l’enfonce plutôt dans le… « schtroumpif »… et il la tourne dans sa propre merde. C’est comme si un chien se mettait tout à coup à mordre son maitre sans raison, et à déféquer sur lui pendant qu’il dort.

Bravo Ricky…

MESSAGE À RICHARD MARTINEAU (EN MODE FAMILIER)

Cher Richard,

Y’en a qui pensent que tu crois vraiment que l’Humanité est en train de vivre un holocauste à cause d’une maladie qui n’est pas plus dangereuse qu’une grippe et dont les chiffres prouvent depuis longtemps qu’elle ne tue à peu près personne dans le monde.

Extrait du site de l’Organisation mondiale de la santé

« Parmi les malades qui développent des symptômes (de la COVID-19), la plupart (environ 80 %) guérissent sans qu’il soit nécessaire de les hospitaliser. »

Extrait de Wikipédia

« La majorité des personnes atteintes de la COVID-19 ‎ne ressentiront que des symptômes bénins ou ‎modérés et guériront sans traitement particulier. »

Et que c’est pour ça que tu t’en prends comme un hystérique à ceux qui se battent contre la tyrannie que nous sommes en train de vivre. Ce qui, à ce moment-là, ferait de toi un journaleux parfaitement incompétent.

Y’en a d’autres – ceux qui te croient un tantinet plus intelligent que ça – pensent pour leur part que tu sais exactement à quoi t’en tenir à propos de la fraudémie, mais que tu fais tout ça seulement pour préserver ton job, ta maison, ta piscine et tous tes autres acquis de banlieusards. Étant donné que ton salaire n’est dû qu’aux subventions gouvernementales et qu’à la publicité-covid que notre despote au pouvoir achète aux merdias pour qui tu travailles, cette explication a le mérite de tenir solidement la route

Mais ce n’est pas tout…

Et étant donné la virulence avec laquelle tu t’exprimes en public contre les lanceurs d’alerte, y’en a certains autres qui sont convaincus que tu reçois une ristourne pour en remettre une couche afin d’attiser exprès la peur et la haine au sein de la population. Autrement dit, que tu serais corrompu à l’os. Ce qui est très loin d’être con comme hypothèse.

Quoi qu’il en soit, il existe une expression pour désigner cette attitude de courte vue que tu as décidé d’adopter depuis le début de cette crise sociale : « Ne pas regarder plus loin que le bout de son nez ».

C’est exactement ce que tu es en train de faire, mon beau Ricky Marti : ne pas regarder plus loin que le bout de ton nez.

Car plutôt que de te ranger du côté du peuple, tu as choisi – comme tous les autres journaleux – de te ranger du côté du despote. Probablement pour sauver ton job, oui, mais également parce qu’en faisant copain-copain avec les puissants (d’aujourd’hui), tu es convaincu de te construire un avenir de privilégié.

Tu te sens bien aise aujourd’hui de bafouer ce qui reste de la Charte des droits et des libertés (rempli de ta merde), de ridiculiser les citoyens qui n’ont plus droit de parole (ceux qui te contestent, en fait), et ceux qui sont publiquement démolis par tes confrères pour leurs opinions. Tu te sens fort parce qu’en servant d’organe de propagande au despote le Goth, tu n’as plus besoin de cette Charte qui t’a rendu tant de services par le passé.

Tu te sens fort. Tu te sens puissant.

Mais n’oublie pas une chose, mon petit Richard : le vent risque de tourner aussi vite qu’il est apparu. Il y a des signes qui ne trompent pas, en effet, et la fraudémie est en train de craquer de toutes parts. Ce qui n’est qu’une question de temps avant que tout ce canular s’écroule comme un château de cartes.

Et que se passera-t-il lorsque toute cette mascarade tombera ? Et que se passera-t-il lorsque viendra le temps de faire le bilan de cette catastrophe (car il y a eu des milliers de morts pendant le temps qu’elle a duré : non pas des malades de la covid, mais plutôt des personnes âgées laissées sans soins, des suicidés de désespoir, des décès dus au poison intraveineux..) ? Et que feras-tu, TOI, lorsque tu te trouveras devant un tribunal en tant qu’accusé, et obligé d’expliquer les raisons pour lesquelles tu as contribué au désordre public, et à tous les morts qui sont survenus ?

Voici ce qui risque d’arriver, mon petit Richard. Et cela clora ce message qui t’es directement adressé, à toi, et à tous les journaleux-chroniqueux de ton acabit.

Tu risques de te retrouver en prison pour trahison, mensonge, duperie et incitation à la haine.

Et lorsque tu seras en dedans, tu auras tout le loisir de les montrer à qui tu voudras, tes grosses foufounes blanches bien dodues. Notamment dans les douches. Et quand un énorme bagnard tatoué te la rentrera dans le rectum et qu’il enfoncera la Charte des droits et des libertés – déjà à cet endroit, tu te souviens ? – encore plus creux dans tes viscères, tu hurleras « libaaaarrté ! » à ton tour.

Mais de libarté, il n’y en aura plus aucune pour toi.

Et tout le monde se foutra de ta petite opinion désormais. Car tout le monde t’aura oublié dans ton trou.

Quatrain de Nostradamus dédié à Richard Martineau

dans ses célèbres prédictions

Héros aurais-tu pu être consacré par la postérité

Si tu avais choisi de te dédier à la Vérité

Mais à la lâcheté as-tu préféré te dévouer

Alors, oublié seras-tu pour l’éternité, et sodomisé