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UNE BOUTEILLE DE VIN AVEC LE PM

Par Alain Patenaude – Publié le 20 mars 2024

La semaine dernière, Pascal Bérubé du PQ a avoué dans un podcast qu’il avait trinqué avec le PM pendant le confinement. Il trouvait très drôle de ne pas être assujetti au couvre-feu, puisque Legault était prêt à lui signer un papier pour lui donner l’absolution du moment, s’il était arrêté par la police, à son retour chez lui. Ce podcast a fait beaucoup jaser.

Prendre un verre de vin fait partie d’un petit plaisir que s’accordent les gens pour relaxer. Il n’y a rien de mal à ça. Mais, lorsqu’une supposée pandémie frappe comme elle aurait supposément frappée et que le PM décide de confiner la population au grand complet, est-il justifié pour lui, d’inviter un membre de l’opposition dans son bureau, pour vider une bouteille de vin, pendant que le petit peuple est soumis à de sévères amendes, s’il défie ses propres décrets ? N’y a-t-il pas une arrogance et un mépris évident envers la population, dans le fait de poser ce genre de geste, dans ces circonstances ?

Pascal Bérubé a participé récemment à un podcast où il a raconté l’anecdote avec le PM.     Peut-on se demander si, dans leur petite incartade, ils étaient masqués et respectaient la distanciation sociale, pendant que les manifestants, eux, recevaient des contraventions pour non-port du masque à l’air libre ?

Comme le racontait Legault, lors de ses points de presse, pour expliquer sa décision d’instaurer un couvre-feu : « La principale raison d’un couvre-feu, c’est d’empêcher les rassemblements, même les plus minimes. C’est l’addition de toutes les petites entorses aux règles qui nourrit le virus. » C’est drôle de voir que ses recommandations n’étaient pas valides pour lui.

Nous savons aujourd’hui que ces mesures de confinements et de distanciation n’avaient rien de scientifique et qu’elles étaient uniquement d’ordres politiques.

Legault et Bérubé ont eu du plaisir ensemble, sans contraintes, parce que personne ne les aurait dénoncés. Les policiers complices ne leur auraient jamais remis d’amendes. Nous savons très bien pour qui les forces de l’ordre travaillent et ce n’est pas pour la population. Il faut dire que Bérubé et Legault se connaissent depuis longtemps. Legault est un ancien caribou péquiste devenu caquiste. Bérubé, de son côté, est encore au PQ. Est-il sur le point de devenir un Caquiste ? Il a beaucoup d’admiration pour Legault. Soit.

Nous pensions naïvement que les gens qui se trouvaient dans l’opposition à l’Assemblée nationale étaient les ennemis politiques du gouvernement et qu’ils étaient là pour s’opposer à leurs décisions douteuses. Nous avons maintenant la preuve que ce n’est pas le cas. Pascal Bérubé, du Parti Québécois, a validé toutes les mesures que Legault nous a imposées. Il n’est pas le seul. Tous les politiciens, tous partis confondus, se sont prosternés devant François Premier. Bérubé a été contre le fait qu’une enquête publique soit instituée concernant les 6,700 morts dans les CHSLD.

En février 2021, Bérubé avait même demandé à ce que les barrages routiers soient de nouveau instaurés. C’est pour vous dire son radicalisme concernant les mesures nazitaires. Pourtant, il se plaint de ne pas avoir vu sa blonde pendant 9 semaines. Il ne pouvait pas la voir, mais il pouvait aller voir son chum Legault. Petite question indiscrète qui me turlupine : que faisait Bérubé à Montréal en plein confinement ? Il ne vit pas dans le Bas-du-Fleuve, lui ?

La preuve que les politiciens ne croyaient pas aux mesures qu’ils nous imposaient, en 2020, Legault et Doug Ford, le premier ministre de l’Ontario s’étaient rencontrés pour discuter en prenant une bonne bière autour d’une table à carte dehors, sans masques, sans distanciation. Les deux politiciens n’avaient pas suivi leurs propres mesures, parce qu’il est évident qu’ils n’y croyaient pas. Nous en avons la preuve flagrante. Ne soyons pas dupes ! Les politiciens n’ont eu aucune perte de rien pendant la fausse pandémie. Ils ont touché leurs salaires, ils ont vécu comme s’il n’y avait pas de mesures. Juste ce fait en dit long.

Personnellement, l’histoire racontée par Bérubé me trouble énormément parce qu’elle démontre le fait que les politiciens, peu importe le parti, se foutaient carrément du virus et qu’ils n’y croyaient même pas eux-mêmes. Depuis 4 ans, les politiciens ont atteint un degré d’arrogance jamais vu envers la population. Ils ne se cachent plus de rire de nous en pleine face.

Pour faire amende honorable, s’il avait une once de logique en lui, Legault cancellerait toutes les contraventions et rembourserait ceux qui les ont déjà payées pour démontrer sa bonne foi et se reconnecter avec la moitié de la population qu’il s’est mise à dos. Le 26 août 2011, Jean Charest dont je ne suis pas le plus ardent défenseur, nous avait mis en garde, dans le journal Le Devoir en disant que si Legault devenait premier ministre, il ferait des choses très radicales. Il avait raison.

https://www.ledevoir.com/politique/quebec/330153/francois-legault-prepare-des-gestes-radicaux-et-brutaux-selon-jean-charest

Éric Duhaime, à la suite de la déclaration de Bérubé, a émis un commentaire sur X, concernant cette rencontre. Bérubé a répliqué ceci sur le réseau social :

Je m’excuse, mais Bérubé n’a pas suivi les règles. Des mensonges et des mensonges ! Ce n’est pas une tempête dans un verre d’eau, c’est la preuve que ces politiciens ont des avantages que les petits citoyens n’ont pas. Les politiciens, de par le monde, sont à la recherche d’un contrôle total sur les peuples.

Ils ne sont pas les seuls politiciens à avoir transgressé les décrets gouvernementaux. Boris Johnson en Angleterre a démissionné après qu’on ait appris que tous les vendredis, pendant les confinements, il organisait des partys avec ses ministres à Downing Street. Il avait même caché un frigidaire rempli de boissons, pour pouvoir transgresser ses propres règles, à l’abri des regards.

Nancy Pelosi, une démocrate aux USA allait chez sa coiffeuse très souvent, sans contraintes d’avoir des amendes ou des restrictions pendant le confinement.

Neil Ferguson, celui qui avait prédit des millions de morts et qui a été responsable des confinements mondiaux, allait voir sa maîtresse en cachette et il s’est fait attraper.

Ces politiciens nous ont enfermés chez nous, non pas pour nous sauver la vie, mais pour mieux nous contrôler et pour jauger notre taux d’acceptabilité. Ils nous ont divisés pour mieux régner. Ils nous ont empêchés de voir nos familles. Les politiciens du Québec, tous partis confondus, n’ont pas vécu les alinéas d’un confinement généralisé. Ils étaient libres comme l’air et avec la déclaration de Bérubé, ils nous confirment qu’ils se crissaient complètement des citoyens.

6,700 personnes âgées dans les CHSLD (c’est deux fois et demie le nombre de morts au World Trade Center en 2001) sont mortes à cause des mesures implantées et à cause de la peur fabriquée par la propagande journalistique, qui a fait déguerpir les employés de ces institutions, laissant seuls les résidents qui sont morts de soif et de faim, étouffés dans leurs excréments, sans que leurs familles ne puissent aller les accompagner avant le grand départ. Aujourd’hui, Bérubé, nonchalant, raconte sa petite virée avec le premier ministre, certain qu’il n’a rien fait de mal. Il faut être complètement déconnecté pour ne pas réaliser l’ironie de la chose.

Bien que je suivais depuis toujours la politique, je savais que ce milieu était corrompu et rempli de menteurs compulsifs parce que ces gens sont complètement déconnectés des véritables besoins de la population. Ils se complaisent de tous les droits qu’ils ont, au détriment de la population. Mais j’ai toujours osé croire que ces gens dans l’opposition, quelque part, étaient là pour nous défendre contre les abus d’un gouvernement abusif. C’était complètement faux. Ils font tous partie de la même secte. Quelle secte ? Le wokisme, le transgenrisme, le sanitarisme, le « jemencolicedescitoyens », le World Economic Forum. Le fait de se le demander fait de nous des complotistes.

Ils nous ont menacés en nous demandant de nous faire injecter. Si nous étions réticents, Dubé menaçait de nous suspendre sans soldes, sans assurance-emploi, au plus tard, le 15 octobre 2021. Ce fut un énorme bluff. Dubé avait même remis la menace au 15 novembre, mais il l’a laissé tomber. Le but était de forcer les récalcitrants à se faire injecter. Qui aime travailler sous la menace ?

S’il avait mis sa menace à exécution, plusieurs d’entre-nous aurions tout perdu, incapables même de se nourrir, pour le simple fait d’avoir refusé une injection qui n’a servi à rien, puisque beaucoup d’injectés ont attrapé le virus par la suite. De plus, la charte confirme ce choix que les gens avaient, mais semble-t-il que les décrets font abstraction de tout !

Geneviève Guilbault, la vice-première ministre, nous a demandé, de façon très arrogante, d’être docile, avec, en arrière-plan, un tank de police, histoire de nous faire comprendre ce qu’il arriverait, si nous n’étions pas obéissants. Quelque temps plus tard, elle avouait, dans une entrevue, pour essayer de se refaire du capital de sympathie, que ses parents l’avaient beaucoup aidée pendant la pandémie, parce qu’ils avaient gardé ses enfants pendant les confinements. Qui d’autres avaient le droit de faire ça, à part les politiciens ? Guilbault allait porter ses enfants chez ses parents, défiant les propres décrets de son gouvernement. Par la suite, des journalistes indépendants ont vu des photos de notre vice-première ministre nationale qui était dans son automobile non attachée. Elle s’est présentée devant la presse pour présenter de fausses excuses, mais n’a jamais eu de contraventions de la part de la police, toujours au service des élus.

Pendant ce temps, ces gens nous ont imposé de faire de la prison chez nous pendant des mois. Ils ont incité les voisins à dénoncer les récalcitrants. Personne ne les dénonce, eux ? Bérubé le souverainiste, veut faire du Québec, un pays indépendant ? Indépendant de cette façon ? Pas pour moi, merci.

Je crois que si le Québec était indépendant, il serait encore plus communiste qu’il ne l’est en ce moment. J’ai été indépendantiste toute ma vie, sans réaliser que le fait français, la société distincte et toutes ses récriminations québécoises n’avaient pour but que de nous enfermer sous un dôme où l’information venant d’ailleurs était divulguée au gré de la propagande. L’information doit être traduite pour les petits Québécois qui ne parlent aucune autre langue, sous peine d’être punis par la loi 101. Nous avons vu comment s’est comporté le Québec pendant cette fausse pandémie. Nous avons été l’un des endroits les pires au monde avec plusieurs États démocrates aux USA. Souvenez-vous de Jocelyne Cazin qui engueulait un serveur dans un resto en Floride, parce qu’il ne portait pas de masque ! Vous avez là, un joli portrait de notre société distincte.

Nous avons les politiciens que nous méritons. Pascal Bérubé, PSPP, Legault, Blanchet bloquent des citoyens sur X parce que ces gens ne pensent pas comme eux. Ça va faire un beau pays indépendant avec juste des gens qui pensent de la même façon. Ceux qui ne sont pas d’accord seront envoyés où ? À Gagnon, comme l’a suggéré l’ineffable Mario Dumont ?

La petite déclaration de Bérubé, qui semblait anodine, a révélé, en réalité, la démesure de ces politiciens déconnectés du petit peuple qui doit subir leurs folies, jour après jour. Ils n’en ont rien à foutre de nous. Ils se servent de notre argent pour leurs besoins. Nous sommes leurs esclaves, dans leurs têtes.

La preuve c’est qu’ils recommencent leur petit manège de la peur avec la rougeole pour 19 cas. Je vais faire mon complotiste : et si les injections contre la rougeole n’étaient que les restants d’injections qu’ils ont distribuées pour le cas vide ? À voir comment les politiciens nous mentent, jour après jour, avez-vous assez confiance en eux pour les écouter et faire vacciner vos enfants ?

À royure!


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Alain Patenaude

Je suis un retraité de 65 ans, presque 66 (Un vieux crisse). J’étais musicien de studio, mais je continue à jouer et à composer pour mon plaisir personnel. Au début de la fausse pandémie, je me suis réveillé juste à temps pour voir le Grand Réveil. Avant, je me levais le matin et j’allumais la télé à LCN en prenant mon journal de Montréal que je lisais de bord en bord. Le 16 mars 2020, trois jours après le début de cette mascarade, j’ai coupé le câble et je me suis désabonné du journal à Péladeau pour ne pas participer financièrement à cette propagande de peur. J’ai perdu des membres de ma famille parce qu’ils pensent que je suis fou de ne pas penser comme le gouvernement et les médias. Mais la vie continue. Depuis 2009, j’écrivais sur Vigile Québec des articles sur l’idéologie de l’indépendance du Québec, mais je n’y crois plus. J’en ai 108 à mon actif. Si jamais ça vous intéresse de les lire.