Z Radio

LA GRANDE OMERTA COLLECTIVE

Une véritable tragédie se déroule en ce moment même sur la planète : des gens en bonne santé meurent subitement par dizaines de milliers ou deviennent handicapés à vie. Pourtant, sauf dans les milieux informés, personne n’en parle ouvertement : ni les médias de masse, ni les citoyens qui ont été volontairement injectés. Pourquoi cette omerta collective ? Serait-ce parce que le venin expérimental pourrait être responsable de cette catastrophe sanitaire ?

Par Ivanhoé – Publié le 6 février 2023

Avant de nous concentrer sur le drame qui est en train de se dérouler actuellement – celui qui fait l’objet du silence en titre –, faisons un rapide retour en arrière de trois ans à peine, et attardons-nous brièvement sur une autre « catastrophe ». Qui n’a pas été passée sous silence, pour sa part, celle-là. Et tant s’en faut.

UN PÉTARD MOUILLÉ

À ce moment-là – en mars 2020 –, on se rappelle que les gouvernements et les médias du monde entier – surtout ceux des nations occidentales – ont déclenché une campagne de terreur sans précédent au sein des populations. Ils ont hurlé haut et fort que la pire pandémie de tous les temps était sur le point de décimer l’Humanité. En comparaison, la Peste noire, de triste mémoire, n’avait correspondu qu’à un incident de l’Histoire sans importance à côté de la terrrrrrible COVID-19 (!!) qui entrait dans nos foyers pour nous tuer tous.

On connait la suite : une série de mesures complètement abracadabrantes et disproportionnées ont été imposées aux peuples de ces pays dans le but de faire face au prétendu génocide qui était en train d’anéantir la planète : confinement, distanciation sociale, fermeture des commerces, port obligatoire du masque en tissu de rideau, couvre-feu, interdiction de prendre le médicament de circonstance (l’hydroxychloroquine), etc. Et tout cela en attendant la venue de la seule arme qui allait nous sauver de l’extermination : le VACCIN. Pourvu que les êtres humains soient encore vivants lors de son arrivée !

Or, avec le recul, on sait maintenant que cette « pandémie » n’a fait absolument aucun ravage au sein des nations. La fameuse covid-19 n’était tout bonnement qu’une variante de notre banale grippe que tout le monde connait et avec laquelle nous avons appris à vivre en symbiose depuis des millénaires. Ainsi, dans la très grande majorité des cas, parmi ceux qui attrapaient cette maladie, quelques-uns demeuraient au lit pendant quelques jours, d’autres n’en étaient que très légèrement incommodés, et finalement, plusieurs n’avaient aucun symptôme de rien. Cette affection pulmonaire s’est même avérée moins dommageable que la grippe ordinaire du fait qu’elle ne s’attaquait nullement aux jeunes gens en santé – et encore moins aux enfants.

En fait, comme d’habitude, elle n’était réellement dangereuse que pour les deux catégories d’individus suivantes :

1) les personnes âgées (70 ans et plus) dont le système immunitaire était affaibli par d’autres maladies ;

2) les personnes de tout âge dont le système immunitaire, ici aussi, était affaibli par des comorbidités ou par des problèmes d’obésité.

S’il n’y avait pas eu tout ce bordel absolument ridicule déclenché et maintenu à bout de bras par les gouvernements et les médias de masse, la vie se serait écoulée comme elle l’avait toujours fait jusque là pour à peu près toute la population, et personne ne se serait rendu compte d’aucun changement dans son quotidien habituel.

Bref, les dirigeants et les médias ont créé de toutes pièces une tempête (un cyclone, plutôt, oui !) dans un verre d’eau.

Il est toutefois vrai qu’il est survenu une surmortalité dans la plupart des pays durant les mois d’avril et de mai 2020. Et le Québec n’a pas fait exception.

Source : statistique.quebec.ca

La presque totalité des décès en trop de ces mois d’avril et de mai 2020 est toutefois survenue dans les Centres hospitaliers de soins de longue durée (CHSLD) – l’équivalent des EHPAD en France. Et ils n’ont pas été dus à la fameuse covid en tant que telle.

L’hécatombe survenue dans ces établissement de santé a plutôt été tributaire de la désertion en masse du personnel infirmier qui a fui ces endroits à cause de la panique engendrée par la propagande de terreur du gouvernement et des médias (autrement dit, les travailleurs de la santé ont eu la trouille de mourir), laissant ainsi leurs patients sans aucun soin. Du coup, ceux-ci ont trépassé par manque de médicaments, de faim, de déshydratation et dans leurs déjections.

Une période de notre histoire au souvenir de laquelle bien des gens auront désormais à vivre avec leur conscience jusqu’à la fin de leur propre vie. Quant aux véritables responsables de ce crime (le gouvernement et les médias, entre autres), puisqu’ils s’en foutent royalement, la seule façon – peut-être – de leur inculquer une once de regret sera de les faire éventuellement passer en justice pour homicides à grande échelle.

Mais ceci est une autre histoire.

PARENTHÈSE

Et nous ne nous attarderons pas ici non plus sur la scandaleuse fraude statistique perpétrée par les instances gouvernementales pour gonfler le nombre d’hospitalisations et de décès liés à la covid. Fraude en lien avec 1) les tests PCR ; et 2) le décompte de toutes les personnes décédées « avec » la covid et non pas « de » la covid.

UN AUTHENTIQUE PÉTARD, CETTE FOIS

Pourquoi avoir fait ce rapide retour en arrière ?

Simplement pour exposer le contraste surprenant entre ce qui s’est passé, sanitairement parlant, en 2020-2021, c’est-à-dire à peu près rien du tout, et ce qui se passe aujourd’hui, c’est-à-dire une réelle hécatombe, cette fois, mais dont à peu près personne ne fait mention à part les médias alternatifs.

Depuis plus d’un an maintenant, presque tous les pays du monde connaissent en effet une augmentation sans précédent de leur taux de mortalité. Et le Québec, encore une fois, n’est pas en reste sur cette question : comparativement à la moyenne de décès de 2010 à 2021, l’année 2022 a subi une hausse de 15,7 % !

Source : statistique.quebec.ca NOTE : au moment de mettre cet article en ligne, il manquait les deux dernières semaines de décembre 2022 aux données de SQ. Une règle de trois a été réalisée pour compléter ce mois en particulier. Le chiffre de 7469 est donc approximatif.

Cette affaire a commencé vers le milieu de l’année 2021, mais elle est devenue d’une criante évidence en 2022. Et elle continue de plus belle en cette année de 2023 qui débute.

De quoi s’agit-il ?

D’une hécatombe, oui.

Mais d’une vraie, cette fois.

Il se passe en effet actuellement une sorte de terrible anomalie sanitaire dans toutes les nations occidentales du monde. Le taux de mortalité a curieusement augmenté de façon considérable un peu partout (de près de 40 % dans certains pays) : autrement dit, les gens décèdent selon une proportion beaucoup plus importante qu’avant. Cette réalité est en outre accompagnée d’une foule de phénomènes supplémentaires tout autant étranges qu’inquiétants :

– le nombre de décès prétendument attribué à la covid s’est accru en dépit du fait que le fameux vaccin devait le réduire ;

– le taux de natalité a drastiquement chuté ;

– les fausses couches sont en expansion ;

– des athlètes professionnels s’écroulent brusquement et mortellement en pleine action ;

– les crises cardiaques subissent une montée fulgurante au sein de toutes les strates d’âge ;

– on ne compte plus les embolies dues à des caillots de sang dans les artères ;

– les cas de cancer connaissent une croissance surprenante ;

– un nombre sans précédent de figures publiques (non seulement des athlètes, mais aussi des artistes, des commentateurs à la télé, des politiciens, des médecins…) meurt de façon subite, et souvent directement devant les caméras.

– un nombre effarant de jeunes gens, incluant des enfants, sont maintenant aux prises avec des myocardites ;

– on remarque une soudaine augmentation des blessures neurologiques et des paralysies 

– les entrepreneurs de pompes funèbres sonnent l’alarme par rapport à deux nouveaux phénomènes : la foudroyante montée en flèche des décès, tout d’abord, et la présence de caillots blancs fibreux de différentes grosseurs et longueurs dans le sang des cadavres (un documentaire est d’ailleurs en ligne dans les sites non censurés exposant cette situation inédite et extrêmement inquiétante – cœurs sensibles s’abstenir) ;

– et j’en passe…

LA CAUSE

Quelle est la cause de tous ces décès ? De ces crises cardiaques à foison ? De ces « morts subites » ? De cette multiplication d’embolies ? De cette recrudescence de fausses couches et de cancers ? De ces myocardites chez les jeunes en santé ? De ces caillots blancs fibreux qui se retrouvent dans nos artères ? De ces soudaines blessures neurologiques… ?

Tout porte à croire que le fameux « vaccin » contre la covid-19 pourrait en être à lui seul le grand responsable.

Il y a effectivement un lien causal de plus en plus évident à établir entre toutes ces anomalies médicales et la vaccination de masse étant donné que les deux ont commencé à peu près en même temps. Certains troubles sont apparus tout de suite après l’injection ; d’autres quelques jours, quelques semaines et mêmes quelques mois plus tard.

Plusieurs études ont en outre démontré – graphiques à l’appui – la corrélation directe entre les hospitalisations urgentes pour diverses affections et les moments forts des injections successives. Un phénomène identique est visible avec les décès. Une vidéo, ici, le prouve clairement.

Et pour rajouter un indice de poids sur la responsabilité de ces « vaccins », la compagnie mafieuse Pfizer a enfin dévoilé – sous la contrainte judiciaire – les effets secondaires de son poison qu’elle avait recensés pendant ses essais cliniques avant les campagnes de vaccination. Cette liste est beaucoup trop longue pour être énumérée dans cet article, car elle comporte près de 1300 (!) pathologies différentes. Vous pouvez toutefois en prendre connaissance en cliquant ici.

Pour être absolument certain que cette thérapie génique expérimentale soit vraiment la cause du désastre sanitaire que nous sommes en train de vivre, il faudrait évidemment qu’il y ait une enquête sérieuse sur le sujet. Mais malheureusement, pour qu’une telle enquête voit le jour, il faudrait préalablement que les instances décisionnelles en donnent l’ordre.

Or, on est très loin de cette initiative. Non seulement le vaccin n’est jamais incriminé, mais personne ne semble admettre – ni même remarquer ! – l’importance de la situation qui vient d’être précédemment décrite. À part les « réveillés », tout le monde dort au gaz sur cette réalité : les gouvernements, les médias, les médecins, et les injectés eux-mêmes. Pour tous ces gens, tout va bien, madame la marquise, et il n’y a pas lieu de s’alarmer en rien.

On croirait rêver, effectivement.

LE SILENCE DES MÉDIAS DE MASSE

Le silence, oui…

Un silence qui est par ailleurs ironique quand on pense que ces mêmes médias ont hurlé au génocide pendant deux longues années alors qu’il ne se passait absolument rien de terrible sur la planète. Mais maintenant qu’il se produit quelque chose de réellement dramatique, et même de critique… eh bien… c’est bouche cousue… La tombe

Pour entendre parler de ces morts et de tous ces drames médicaux, il faut être un lecteur/auditeur des médias sociaux indépendants. Ceux et celles qui ne prennent leurs informations que par l’entremise des médias de masse passent totalement à côté de cette réalité qui les entoure pourtant de toutes parts– comme une foule d’autres réalités, en passant.

Cette réalité dans toute son ampleur n’est en effet visible que dans les réseaux sociaux alternatifs, du moins dans les réseaux qui n’appliquent aucune censure à leur contenu (ce qui exclut YouTube et Facebook, mais plus Twitter maintenant).

Dans ce monde – celui des réseaux sociaux alternatifs –, des images, des vidéos et des témoignages circulent sans discontinuer depuis plus d’un an dans lesquels des milliers de gens en pleurs et en colère dénoncent ce qui leur est arrivé ou ce qui a frappé leurs proches. Des centaines de scientifiques tentent en outre d’alerter la population sur ce qui est en train de se dérouler dans leurs champs d’expertise. Une panoplie de journalistes indépendants en font autant.

Mais dans les médias de masse ? À part quelques mea culpa qui commencent à poindre timidement ici et là à l’extérieur du Canada, à peu près rien. Ce qui, dans l’univers médiatique, revient au même que rien du tout.

La grande majorité font certes quelquefois mention de certains de ces événements dans d’obscurs entrefilets comme ils le font habituellement pour couvrir des faits divers curieux : le décès inattendu d’une célébrité ici et là, par exemple, quelques questionnements sur la montée inquiétante des crises cardiaques, quelques articles sur le nouveau syndrome de la « mort subite »… Mais rien à voir avec la réelle et tragique étendue des dommages qui ont cours partout et qui devraient faire la une de leurs feuilles de chou.

LE VAUDEVILLE MÉDIATIQUE

Les médias de masse dépensent en fait une énergie considérable pour « ne rien voir » de ce qui se passe.

Non seulement ils refusent catégoriquement d’admettre la gravité de la situation, mais ils s’obstinent même comme des ânes butés à affirmer que le vaccin n’a que très peu d’effets secondaires, et ils continuent criminellement de le promouvoir. Et ils déploient en outre toutes sortes de stratagèmes pour détourner hypocritement l’attention du public de ce problème ultra-inquiétant.  

Depuis plusieurs mois, par exemple, au lieu d’aborder de front le phénomène majeur de l’explosion des crises cardiaques à travers le monde, ils ont plutôt entrepris de publier des entrefilets absolument ridicules sur les facteurs qui augmenteraient prétendument les risques de cette affection.

Cette fois, par contre, ils se sont joyeusement surpassés dans le grotesque. Personnellement, j’essaie encore de me convaincre que leurs lecteurs/auditeurs sont suffisamment intelligents pour se moquer de leurs inepties, mais je sais bien, au fond, que cela ne tient pas la route puisque je vois toujours des gens les lire et les écouter sérieusement.

Bref, un internaute s’est récemment amusé à recenser tout ce que ces pitoyables pisse-copies ont écrit sur le sujet dans leurs canards.

Étant donné la petitesse des images, j’extrais quelques perles de ce fatras de conneries. Or donc, parmi les facteurs possibles qui accroitraient le risque de crises cardiaques selon nos ayatollahs de la Vérité, on retrouve, entre autres (et essayez de ne pas rire) :

– les éruptions solaires

– le changement climatique

– la pollution

– le temps chaud

– le temps froid

– l’activité physique

– le sexe

– s’endormir avec une télé allumée

– regarder la télé pendant quatre heures et plus

– rire

– le stress des vacances

– avancer l’horloge d’une heure

– travailler plus que d’habitude

– la répartition inégale des tâches ménagères dans le couple

– s’agenouiller

– la mauvaise heure pour aller au lit

– se faire plâtrer un membre fracturé

– la période électorale

– les bruits de la circulation urbaine

– ne pas se brosser les dents

– transpirer plus que d’habitude

– le ronflement en dormant

– l’alcool (même minime)

– les boissons énergisantes

– le mozzarella

– les homards

– les œufs

– les potages

– l’huile de poisson

– la viande rouge

– saler ses plats

– sauter le petit-déjeuner

– manger seul à table

Vous rigolez toujours ? Dans ce cas, prenez le temps de vous calmer…

Personnellement, si j’étais journaliste et qu’on m’avait obligé à écrire un seul de ces « articles », cela aurait été la honte. Mais bon, l’amour-propre est un concept élastique et exclusif à chacun, disons ça comme ça. Une chance que le ridicule ne tue pas à tout le moins, car il y aurait très certainement une autre hécatombe, mais dans le milieu journalistique, cette fois.

L’on aura par ailleurs remarqué, en passant, que l’injection expérimentale n’est JAMAIS mentionnée dans cet inventaire extrêmement « exhaustif » de facteurs de risque.

LE SILENCE MÉDICAL

Dans le secteur des professionnels de la santé, c’est également la tombe – à part les quelques courageux médecins qui s’expriment dans les médias alternatifs. La totalité d’entre eux gardent en effet eux aussi le silence sur cette affaire sans précédent. Et plus encore, on ne compte plus les témoignages de victimes tentant d’alerter leurs médecins en leur décrivant que tout ce qu’ils ont subi comme pathologies à la suite de leurs injections, et ceux-ci réfutant cette hypothèse, en leur répondant mollement que « cela arrive quelquefois », ou qu’il s’agit de « coïncidences », sans plus.

Pourquoi cette obstination du corps médical 1) à ne pas voir cette réalité de surmortalité qui se produit en ce moment même sous leurs yeux ? et 2) à rejeter systématiquement l’idée de la corrélation entre cette surmortalité et l’injection expérimentale ?

Et le pire, sûrement, est de constater que des médecins refusent toujours d’admettre, en plus, que l’injection peut avoir des séquelles secondaires graves, et qu’ils continuent de la promouvoir !

LE SILENCE DES INJECTÉS VOLONTAIRES

Je classerais ces injectés volontaires silencieux en quatre catégories :

1) Les injectés volontaires qui n’ont eu aucun effet secondaire. Convaincus d’avoir fait le bon choix, heureux sont-ils désormais d’être à l’abri de cette terrible maladie qui n’est absolument pas dangereuse pour 98 % des gens, mais qui n’en demeure pas moins dévastatrice dans leur cerveau brainwashé par trois années de propagande médiatique.

2) Les injectés volontaires qui ont eu très peu d’effets secondaires. Ceux-là attribuent quant à eux ces légers malaises à quelque chose de tout à fait normal dans les circonstances, et comme les injectés précédents, ils se sentent maintenant en sécurité de ne pas éventuellement mourir d’une affection moins grave que l’influenza.

3) Les injectés volontaires qui ont quand même attrapé la covid (il y en a à la tonne). Ceux-là cherchent avec rage le non injecté qui leur a refilé cette saloperie, mais sans aucunement se questionner sur la nature même de l’injection qu’ils viennent de prendre : la raison d’être d’un vaccin n’est-elle pas, en effet, de se protéger de la maladie pour laquelle on a été injecté ? Bref, pour eux, avoir été les cobayes d’une thérapie expérimentale demeure la chose qui devait absolument être faite, en dépit du fait que cette thérapie n’a servi strictement à rien.

4) Les injectés volontaires qui ont eu des effets secondaires importants. Ceux-là, très étrangement, ne font pas le lien entre ce qui leur arrive et l’injection elle-même. Ou s’ils le font, ils l’attribuent rapidement à une « coïncidence ». Une explication qui leur est par ailleurs généralement confirmée par leur propre médecin. Considérant les problèmes médicaux avec lesquels ils sont maintenant aux prises versus la maladie bénigne pour laquelle ils voulaient se protéger, ils devraient être les premiers à monter aux barricades afin d’obtenir justice. Mais non…

Bref, qu’il s’agisse d’une catégorie de ces injectés volontaires ou d’une autre, le dénominateur commun qui les relie tous est le silence pour eux aussi. Les « non-vax » en ont pratiquement tous fait l’expérience : ce sujet – celui du venin expérimental – est en effet absolument inabordable dans une conversation avec eux depuis quelques mois.

L’ambiance a bien changé, en passant, non ? Et en très peu de temps…

Alors que pendant le plus fort de la campagne de publicité du venin (souvenez-vous de la loto-vaccin et du hotdog gratuit pour une dose…), tout le monde y allait de son joli petit pansement sur l’épaule affiché fièrement dans son Facebook, et que tout ce même monde était prêt à lyncher les non-vax sur la place publique, aujourd’hui : plus rien, sujet tabou.

LES RAISONS DU SILENCE

Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre les raisons de cette omerta générale.

Si l’injection du venin expérimental est réellement la cause de toutes ces nouvelles anomalies médicales qui surviennent sur la planète – et tout semble d’ailleurs accuser ce présumé coupable –, alors dans ce cas, beaucoup ont un intérêt MAJEUR à ce que cette « affaire » ne fasse aucune vague et qu’elle tombe dans l’oubli de l’inconscient collectif le plus rapidement possible. Les conséquences, pour eux, seraient catastrophiques (euphémisme). De cette façon, des millions de personnes à travers le monde pèsent de toutes leurs forces sur le couvercle de la cocotte-minute pour ne pas que celle-ci explose.

Les raisons du silence des félons

J’entends par le mot « félons » les criminels, les traites, les ennemis publics, les opportunistes sans foi ni loi, etc.

Qui sont les félons en question ? Ils sont des centaines de milliers répartis dans une foule de pays, mais pour une meilleure compréhension, il est possible de les catégoriser eux aussi. Alors, allons-y un par un, et les raisons de leur silence sauteront aux yeux comme une flagrante évidence au fur et à mesure de cette description.

Les véritables instigateurs du grand canular de la covid et de l’injection massive du venin

Ce sont cette poignée de psychopathes mégalomaniaques multimilliardaires à la tête des organisations les plus influentes du globe (le groupe Bilderberg, le Council on Foreign Relations, la Commission trilatérale et le Forum Économique Mondial). Autrement dit : les plus puissants de ce monde ; ceux qui tiennent financièrement toutes les « démocraties » occidentales par les couilles. Ce sont en outre les plus hautes têtes gouvernantes du Marais (du Deep State) avec toutes les images putrides que suscite cette expression. On y retrouve évidemment des banquiers et des financiers aux fortunes colossales. Certains demeurent dans l’ombre comme des rats, mais d’autres n’hésitent pas à s’afficher publiquement devant les caméras – mais sans dévoiler leurs véritables plans, bien entendu.

Big Pharma (le cartel pharmaceutique)

Les dirigeants de ce cartel font possiblement partie des précédents. Ce mot – cartel – évoque souvent celui de la drogue en Colombie. Et justement, il y a un rapprochement extrêmement clair à établir entre ces deux regroupements. Les deux, en effet, inondent l’Humanité de produits qui rendent dépendants et qui empoisonnent les organismes. Les deux n’hésitent pas en outre à mentir pour arriver à leurs fins, à frauder, à soudoyer, à corrompre les puissants, à menacer et à assassiner, même, tous ceux qui se mettent au travers de leur chemin.

Le fameux venin expérimental est sorti directement de leurs laboratoires, comme l’héroïne, par exemple, est sortie de ceux des cartels de la drogue.

Les gouvernants

Que dire de ces pseudo-dirigeants de nos « démocraties » ? Corrompus jusqu’à la moelle par les deux précédents, ce ne sont que de vulgaires marionnettes – des bouffons – qui leur ont vendu leurs pays et leur âme  pour quelques sous et pour bénéficier des privilèges accordés par leurs maitres. Ils sont directement impliqués dans cette catastrophe médicale mondiale du fait que ce sont eux, de par leur statut d’autorité, qui ont incité – obligé, même, dans certains cas – leurs citoyens à s’injecter le fameux venin.

Les médias de masse

Qu’ils soient la propriété directe des grandes corporations ou non, ils sont tellement dépendants des subventions gouvernementales, ceux-là, qu’ils sont devenus au fil des ans de vulgaires organes de propagande des dictateurs en place.

S’ils n’avaient pas fait leur cinéma en mars 2020, la Terre aurait poursuivi son petit bonhomme de chemin exactement comme elle l’avait toujours fait par le passé. Personne ne se serait rendu compte du moindre changement par rapport à d’habitude. La grippe saisonnière annuelle – qui allait déjà bon train – aurait continué de sévir comme elle le faisait chaque année depuis des siècles, et tout serait rentré dans l’ordre un mois ou deux plus tard. Pour reprendre l’hiver suivant. Point final.

Mais non…

Obéissant aux directives de leurs maitres, comme des animaux bien dressés, ils ont soudain mis en branle une campagne de terreur au sein des populations en faisant croire que la réalité était tout autre que celle que tout le monde pouvait observer autour de soi.

Et ils ont été, en plus, et c’est peut-être là leur pire crime, ils ont eux également été les instigateurs directs de l’injection expérimentale à grande échelle qui a mené à la situation sanitaire catastrophique que nous connaissons maintenant.

Les gros réseaux sociaux

Il est ici question de Facebook, de Twitter, d’Instagram, de YouTube, de Google et de quelques autres. Du fait de l’immensité de leur puissance financière, ils font même peut-être partie de la première catégorie.  

Grâce au dévoilement public des « Twitter Files » par Elon Musk, on connait maintenant le rôle abject que cette entreprise a joué dans la campagne de publicisation du venin expérimental à travers le monde en censurant – entre autres – à grande échelle toutes les oppositions et les doutes à son sujet. Et il est fort à parier que les autres géants ont fait exactement la même chose.

Les Collèges des médecins

Honte à eux. Les Collèges des médecins sont en principe les chiens de garde du secteur médical de leurs pays respectifs. Ils ont pour mission de surveiller les dérives des médecins et de protéger la population des charlatans.

Or, ils ont été les premiers à se faire corrompre et à participer à la catastrophe sanitaire que nous avons vécue et qui se poursuit encore aujourd’hui : ils ont interdit à leurs membres de prescrire les médicaments de circonstances (l’hydroxychloroquine et l’ivermectine entre autres) ; ils ont menacé de radiation tous ceux qui osaient contredire le narratif officiel gouvernemental concernant le canular plandémique ; et ils ont fait la promotion à grande échelle, eux également, du venin expérimental.

Non seulement ont-ils renié leur serment d’Hippocrate (sauver les vies, quelles que soient celles-ci), mais ils ont fait exprès de faire exactement le contraire.

Les collabos mineurs provenant de tous les secteurs de la société (médecins et scientifiques de plateaux, artistes, juristes, dirigeants syndicaux, chefs d’entreprises…)

Ce sont tous ces gens qui auraient pu au moins se taire et faire profil bas pendant cette tragédie, mais qui ont sciemment décidé de faire partie intégrante de la propagande covidienne allant jusqu’à promouvoir le venin expérimental sur les différentes tribunes qui leur étaient offertes. Ce sont également les entreprises privées qui ont obligé leurs employés à se faire vacciner alors que cette mesure n’était absolument pas exigé.

Pourquoi ont-ils agi de la sorte ? Par opportunisme ? Par corruption directe ? Seules des enquêtes pourraient faire la lumière sur leur odieux comportement. Et éventuellement des mises en accusation formelles.

Mais on n’en est pas encore là – malheureusement.

………

L’animatrice de télé Julie Snyder utilisant des enfants dans son émission pour promouvoir la mise au pas des gens non vaccinés

Bref, pour quelle raison tout ce beau monde garde-t-il aujourd’hui le silence sur la tragédie médicale qui est en train de sévir en ce moment même à travers la planète ?

N’est-ce pas assez évident ?

Tout simplement pour éviter des procès au cours desquels ils devraient faire face à de multiples accusations de « crimes contre l’Humanité ». La potence, ni plus ni moins, attendrait la plupart d’entre eux.

Avouer leurs « erreurs » leur est donc catégoriquement impossible. C’est une question de survie. Conséquemment, ils n’ont aucun autre choix que de persister de jour en jour davantage dans leurs mensonges et leur silence, en se démenant comme des diables dans l’eau bénite pour étouffer cette affaire tant qu’ils le peuvent – et pour qu’elle tombe éventuellement dans l’oubli collectif.

Les raisons du silence des citoyens injectés volontaires

Personnellement, dans leur cas, je ne vois que trois raisons qui expliquent leur silence…

1) Plusieurs ne savent tout simplement pas ce qui se passe.

Perfusés aux médias mainstream de façon permanente, et étant donné le silence de ceux-ci (voir plus haut), ces gens – ces « endormis », les appelle-t-on souvent – sont de ce fait dans la totale ignorance  de ce qui est en train de se dérouler autour d’eux. De cette façon, si des personnes de leur entourage meurent subitement ou tombent brusquement malades, ils attribuent ces phénomènes au hasard ou à la malchance, sans approfondir davantage.

Peut-on leur en vouloir ?

Dans un sens, non : si le sujet ne vient pas jusqu’à eux, ils ne peuvent pas deviner.

Mais dans un autre sens, oui : les moyens de s’informer autrement aujourd’hui – avec Internet – sont légions. Pour ne pas les utiliser, il faut ou bien manquer de curiosité intellectuelle, ou bien faire montre d’une persistante mauvaise foi.

2) Plusieurs ont honte de leur comportement passé envers les « complotistes ».

Et il y a de quoi avoir honte, en effet.

L’on se rappelle nécessairement que pendant le temps de la campagne de vaccination à grande échelle, ceux qui refusaient le venin se sont fait littéralement harceler, assaillir, matraquer, dénigrer, ridiculiser, pourfendre, persécuter, dénoncer, et menacer par tout le reste de la société, incluant leurs amis personnels et les membres de leur famille. Ils ont été traités publiquement de pestiférés, d’égoïstes, d’édentés, de touristatatas… Symptomatiques ou non, ils ont été accusés sans aucune preuve d’être les transmetteurs de la « covid-qui-tue », de mettre leurs grands-mères en danger, d’être la cause de tous les maux de la Terre. Avec l’instauration du pass nazitaire, ils ont subi la pire ségrégation de tous les temps depuis l’Apartheid de l’Afrique du Sud. Certains ont perdu leur emploi sans droit à l’assurance-chômage. Certains se sont retrouvés tellement isolés et malheureux qu’ils se sont même suicidés…

J’en rajoute ?

Tout cela étant (re)spécifié, maintenant, imaginez : ces pestiférés de complotistes de merde AVAIENT FINALEMENT RAISON, en fin de compte. Ils avaient raison, oui, lorsqu’ils affirmaient que ce vaccin était une thérapie génique expérimentale qui était cent fois plus dangereuse que la grippe-covid. Ils étaient d’ailleurs apparemment en dessous de la vérité.

Conséquemment : les pestiférés d’aujourd’hui sont ceux-là mêmes qui avaient conspué les membres de leurs familles et leurs amis et qui les avaient bannis de leur entourage.

Comment se sort-on d’une telle bévue et d’une telle honte ? En demandant pardon pour tout le mal que l’on a fait aux gens qui tentaient de nous mettre en garde ? Certains le font, mais pas beaucoup, car passer de la sorte par-dessus son ego exige une gigantesque dose d’humilité. Ce qui est beaucoup demandé à un être humain normalement constitué.

La plupart réagissent donc en ravalant leurs remords de conscience… en gardant le silence… et en faisant semblant que cette réalité n’existe pas…

3) La crainte de vivre désormais avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Je ne m’étendrais pas très longtemps sur cette raison afin d’éviter de créer une nouvelle psychose.

Juste mentionner que si j’étais moi-même un injecté – merci, mon Dieu, de m’avoir donné la force de résister à toute cette pression que j’ai dû subir –, si j’étais moi-même un injecté, dis-je, je vivrais aujourd’hui très mal psychologiquement en entendant toutes ces rumeurs à propos des « morts subites », des caillots dans les artères, des crises cardiaques, des problèmes neurologiques, etc., et qui auraient peut-être pour cause le venin que j’aurais moi-même décidé de me faire injecter voilà peu de temps (et ce serait mille fois pire si j’avais fait volontairement injecter mes propres enfants).

Pour me dérober à ce stress, sans doute me réfugierais-je dans le déni.

PARENTHÈSE

Déni : Refus de reconnaitre une réalité perçue comme étant traumatisante

Je déploierais ainsi probablement une importante somme d’énergie à faire semblant que le problème n’existe pas : je ne me renseignerais pas, j’éviterais tous les entrefilets médiatiques qui ne feraient même qu’ effleurer le sujet, je n’en parlerais pas moi-même à personne, et je traiterais de conspirationniste quiconque tenterait d’aborder ce propos en ma présence – ce qui clorait comme d’habitude le moindre début de discussion en deux coups de cuillère à pot.

Et je m’en remettrais aux bons soins de la grâce divine pour que tout continue « à bien aller » dans mon corps.

MOT DE LA FIN

Nous sommes vraiment en train de vivre une époque historique. Mais très peu de gens s’en rendent compte.

Qui se doute, en effet, que les professeurs des générations futures enseigneront à nos petits-enfants que dans les années 2020 à 2023, il s’est produit :

– le plus gros canular de tous les temps ;

– la plus gigantesque fraude médicale de tous les temps ;

– le plus vaste système de corruption de tous les temps ;

– la plus monumentale erreur médicale de tous les temps ;

– les plus effroyables conséquences sanitaires et sociales à court, moyen et long terme de tous les temps ;

– et finalement, la plus grande omerta collective de tous les temps.

Ce qui, avouons-le, fait beaucoup de records Guinness battus à l’intérieur d’une période aussi restreinte – trois ans à peine, rappelons-le.

Je termine cet article un peu morbide sur une note d’humour ironique –mon style d’humour préféré…


0 commentaire

Laisser un commentaire

Avatar placeholder

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *