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LE MARIAGE MALÉFIQUE DE L'EXTRÊME DROITE ET DE L'EXTRÊME GAUCHE POUR UNE DICTATURE MONDIALE

   Par Ivanhoé – Publié sur mon blog personnel le 12 décembre 2022

Comment l’extrême droite en est-elle venue à s’allier à l’extrême gauche dans son combat pour établir son « nouvel ordre mondial » ? Mais avant tout, que sont au juste la droite et la gauche en politique ? Un texte qui aurait intérêt à être lu par les analphabètes politiques qui hurlent sans arrêt à l’extrême droite sans paraitre en connaitre le concept.

INTRODUCTION (1) : UNE POSITION POLITIQUE CLAIRE

D’aussi loin qu’il m’est permis de remonter dans le passé, mon cœur a de tout temps été à gauche ; c’est-à-dire de tendance idéologique socialiste. Si j’avais été un Américain, j’aurais de ce fait été un Démocrate convaincu.

C’est sans doute cliché, mais dans ma tête, la gauche a toujours été associée aux notions de justice pour tous, de soutien aux démunis et aux minorités, de distribution équitable des richesses, d’entraide communautaire et d’adaptation constante aux circonstances vers un mieux-être pour tous les humains.

À contrario, je considère la droite conventionnelle comme étant trop réfractaire au changement, trop encline au capitalisme et au chacun pour soi ; je trouve également qu’elle juge trop sévèrement les minorités et que sa forme de nationalisme est dépassée.

Bref, selon les valeurs qui m’animent – et cela demeure bien sûr une affaire très personnelle –, socialement et spirituellement parlant, la gauche représente pour moi le progrès, tandis que la droite est synonyme de stagnation. Et c’est pour toutes ces raisons que je me suis sans cesse affiché comme un citoyen de cette allégeance.

INTRODUCTION (2) : UNE POSITION POLITIQUE MOINS CLAIRE

Cela précisé, je dois ici avouer que j’ai encaissé un très sérieux coup sur la tronche lorsque j’ai appris, voilà maintenant près de trois ans de cela, que mes idées pétries d’idéalisme social ne faisaient pas du tout de moi un personnage de gauche en fin de compte, comme je l’avais sans cesse affirmé tout au long de ma vie.

Non.

D’après ce que je lis dans les journaux, et d’après ce que les gouvernements prétendent à mon sujet, je serais au contraire un individu avec des convictions de droite pure et dure. Et non seulement de droite, mais également d’extrême droite ! Selon ceux qui me qualifient de la sorte (monsieur Selfie Trudeau en tête), je serais en effet un authentique fasciste – autrement dit un apôtre de la dictature – teinté de racisme, d’homophobie et de misogynie ; si ce n’est, en plus, un défenseur sectaire de la Terre plate et de la théorie biblique créationniste.

N’en jetez plus, la cour est pleine !

Que s’est-il donc passé, ma foi, depuis trois ans, pour que j’aie ainsi été propulsé du jour au lendemain à l’autre bout de l’échelle du spectre politique, et ce, sans n’avoir jamais modifié mes opinions en cours de route ? Comment ai-je fait pour me transformer en militant acharné de valeurs qui sont contraires aux miennes ? Si l’on m’avait taxé d’extrémiste de gauche, je n’aurais certes pas davantage compris, mais cela aurait eu au moins l’avantage d’être plus logique.

Mais non : le qualificatif utilisé est bel et bien : extrémiste de droite

Il ne s’agit pas seulement que de moi, en passant. Nous avons été des dizaines et des dizaines de milliers de citoyens à être étiquetés de la sorte dans mon pays. Mais pas que : des millions de socialistes à travers le monde sont également et soudainement devenus des extrémistes de droite d’un simple coup de baguette magique – alors qu’ils sont pourtant toujours restés gauchistes de cœur dans leurs convictions.

Qui sont donc ceux qui sont à l’origine de cet aberrant illogisme ? Comment sont-ils parvenus à introduire et à ancrer cette idée dans la psyché collective ? Et pourquoi ont-ils fait ça ?

Avant de répondre à ces questions, il faut faire un détour en commençant par reprendre quelques principes basiques…

LA GAUCHE VS LA DROITE

Voilà moins de trois ans à peine, qu’entendait-on encore par la gauche et la droite en politique ?

La même chose qu’aujourd’hui, en fait, car les définitions que l’on retrouve dans n’importe quel dictionnaire ne se sont pas modifiées en si peu de temps, bien sûr. Mais certaines personnes, de façon volontaire ou par pur analphabétisme politique, ont complètement dénaturé ces concepts.

Alors, puisque nous y sommes obligés, revenons donc à ce qui est enseigné aux ados dans les écoles de niveau secondaire.

Grosso modo, les gens de gauche croient que la meilleure manière de fonctionner pour un pays est d’encourager l’État à intervenir le plus fréquemment possible dans les divers domaines économiques et sociaux. Les gens de droite sont au contraire convaincus qu’il est préférable que l’État délaisse ses pouvoirs au profit de la libre entreprise et qu’elle se mêle ainsi le moins possible de la gestion de la société.

% D’INTERVENTION DE L’ÉTAT DANS LA SOCIÉTÉ

EN FONCTION DU SPECTRE POLITIQUE

Les partisans de la gauche modérée portent souvent le nom de « socialistes » ; ceux de la droite modérée sont quant à eux généralement appelés « conservateurs ».

De façon tout à fait objective, lorsqu’elles sont modérées, aucune de ces deux doctrines ne peut prétendre supplanter moralement sa vis-à-vis. Et adhérer à l’une de celles-ci ne dépend que des valeurs qui nous animent. Car une série de valeurs personnelles, en effet, ni bonnes ni mauvaises en soi, sont traditionnellement associées à ces deux courants de pensée qui s’opposent l’un à l’autre.

En voici quelques-unes, à titre de tendances, et elles ne sont pas exhaustives :

LES GENS DE LA GAUCHE MODÉRÉE SONT PLUTÔT PARTISANS…

LES GENS DE DROITE MODÉRÉE SONT PLUTÔT PARTISANS…

de l’élargissement du rôle de l’État dans la société

de l’élargissement du rôle de l’entreprise privée dans la société

du progrès social

de la conservation des traditions

de l’ouverture sur le monde / de la souplesse des frontières

de nationalisme / de mesures frontalières protectionnistes

de la distribution des richesses / de l’égalité des classes

de la propriété privée / de l’accumulation libre des profits

de la solidarité humaine / de l’entraide sociale

du chacun pour soi / du mérite en fonction de son labeur

de la ligne souple envers les criminels et de l’abolition de la peine de mort

de la ligne dure envers les criminels et du maintien de la peine de mort

Plus on tend vers le milieu de cette échelle gauche-droite, et moins ces valeurs sont étanches. Dans les environs du centre, il arrive même fréquemment que des gens adhèrent à des points de vue du camp adverse sans que cela ne provoque chez eux la moindre crise d’urticaire. À titre d’exemple, certaines personnes de droite, très à cheval, donc, sur la liberté d’accumuler des richesses, sont en même temps ouvertes à donner une partie de leurs avoirs à des œuvres philanthropiques afin d’améliorer le sort des moins nantis.

Mais plus on s’éloigne du centre, par contre, et plus les opinions se durcissent. Poussés vers les extrêmes, c’est-à-dire lorsque les citoyens se radicalisent, ceux de la gauche versent carrément dans le communisme, tandis que ceux de la droite sombrent dans le fascisme. Et les valeurs citées dans le tableau précédent se métamorphosent alors en véritables principes sectaires, en même temps que la violence commence pratiquement toujours à se manifester dans les rues.

IDÉES GÉNÉRALEMENT DÉFENDUES PAR LES RADICAUX DE GAUCHE…

IDÉES GÉNÉRALEMENT DÉFENDUES PAR LES RADICAUX DE DROITE…

Prise en charge de tous les aspects de la société par l’État

Prise en charge de tous les aspects de la société par l’entreprise privée

Primauté de la collectivité sur l’individu, abandon des libertés individuelles pour une plus grande cause que soi

Primauté du droit des individus sur la collectivité, défense à tous crins des libertés individuelles

Abolition des frontières, ouverture sur le monde, mixité et métissage des peuples

Fermeture des frontières, nationalisme dur, xénophobie

Promotion de l’élargissement du concept de la famille

Promotion de la famille traditionnelle

Très grands privilèges accordés aux minorités, wokisme

Homophobie, racisme, sexisme

Libération totale des mœurs, ouverture de la sexualité à tous les courants

Conformisme, fondamentalisme

Promotion du multigenrisme, élargissement de cette idée même jusqu’à l’enfance

Homophobie, transphobie

Légalisation de l’avortement quelque soit l’âge du fœtus

Interdiction de l’avortement quelque soit la cause de la maternité

Primauté sans condition de l’écologie sur le développement économique

Primauté sans condition du développement économique sur l’écologie

Il n’y a toutefois plus aucune différence dans les faits quant à la forme de gouvernement qui est mis en place pour faire fonctionner ces deux doctrines lorsque les radicaux prennent le pouvoir d’un pays : on les appelle toutes les deux des « dictatures ». La dictature étant un régime politique où tous les pouvoirs sont exercés par un individu, une classe ou un parti, sans contrôle démocratique. Et la liberté des peuples en prend alors pour son rhume dans un camp comme dans l’autre :

DICTATURE PAR L’EXTRÊME GAUCHE

(COMMUNISME)

DICTATURE PAR L’EXTRÊME DROITE

(FACISME)

Abolition de la démocratie

Abolition de la démocratie

Contrôle de tout par l’État

Contrôle de tout par les grandes corporations

Disparition de la libre entreprise, car toute l’économie est nationalisée 

Disparition de l’État en tant que tel ; les « gouvernants » ne sont là qu’à titre de gardiens de l’ordre et des lois

Transformation des citoyens en esclaves-robots 

Transformation des citoyens en esclaves-consommateurs.

Un exemple notoire de pouvoir communiste déjà mis en place par les extrémistes de gauche fut l’URSS des années 1922-1991. À l’autre bout de l’échelle, des exemples de pouvoirs fascistes exercés par les extrémistes de droite furent ceux de l’Italie de Mussolini et de l’Allemagne nazie dans les années 1930-40.

Comme on le sait, les citoyens qui ont vécu ces deux expériences extrémistes en ont bavé autant d’un côté que de l’autre. Ce qui démontre que, quel que soit le doctrinaire extrême qui s’occupe de lui, l’homme de la rue est baisé d’une façon identique par les deux factions.

LA GAUCHE ET LA DROITE DANS NOS SOCIÉTÉS OCCIDENTALES

Ces précisions élémentaires étant maintenant clarifiées, chacun est désormais en mesure de se positionner soi-même sur cette échelle gauche-droite du spectre politique en toute connaissance de cause et tout en étant capable d’expliquer intelligemment son point de vue.

En ce qui me concerne, par exemple, et quoi qu’en disent les bien-pensants, je confirme que je suis bel et bien une personne de gauche, comme j’ai toujours prétendu l’être. Mais une personne de gauche modérée, me rapprochant davantage du centre que de l’extrême gauche. Je peux même ajouter que mes prises de position sur certains sujets particuliers sont légèrement de droite. Et si j’affirme tout cela avec autant d’assurance, c’est parce que je connais les valeurs qui m’animent, que je connais mes opinions sur divers enjeux de société, et surtout que je connais le concept politique de la gauche et de la droite. Autrement dit, je sais de quoi je parle, contrairement à tous ces analphabètes politiques qui n’ont que les mots « extrême droite » à la bouche pour répondre à quiconque n’est pas de leur avis, sans même comprendre le sens de cette insulte.

Cela dit, pour en finir avec mon exemple personnel, je me situe en fin de compte dans la grosse moyenne des ours.

Et en parlant de moyenne, si un sondage sérieux était mené pour répartir les citoyens de nos sociétés occidentales le long de cette échelle, il est fort à parier qu’elle serait à l’image de la fameuse « courbe normale » que l’on apprend très tôt à connaitre dans les cours de méthodes quantitatives.

Courbe normale tirée d’aucun sondage et ne reflétant aucune réalité dûment calculée à titre de démonstration seulement

Une catégorie de citoyens devrait cependant être considérée à part dans ce pseudo-sondage d’opinions : celle des gens d’affaires. Sauf quelques exceptions – il y en a toujours –, ces personnes devraient en effet toutes se retrouver en principe sur le côté droit de l’échelle.

Cela s’explique du fait que la droite tend à promouvoir ouvertement le capitalisme et à privilégier le secteur privé dans la gestion des affaires de l’État. De cette façon, plus la tendance est vers la droite et plus s’accroissent les opportunités de niches et de contrats pour la libre entreprise (en santé, par exemple, en éducation, etc.) ; et plus s’accroissent en même temps pour elle les possibilités de prendre de l’expansion grâce à des mesures fiscales avantageuses et sans être importunés par des lois trop limitatives.

À contrario, plus les politiques sont de gauche, et plus la tendance est à l’étatisation des services, à l’obligation pour les entreprises de participer au développement social, et même quelquefois à se faire nationaliser purement et simplement.

LES PAYS OCCIDENTAUX ET LEUR RAPPORT AVEC LA DICTATURE

Nous sommes maintenant en mesure d’analyser un phénomène qui pourrait paraitre étrange à première vue : est-il possible pour un pays de vivre sous un régime dictatorial d’extrême gauche ou d’extrême droite tout en demeurant une démocratie ?

D’après ce qui a été précédemment mentionné, cela semble impossible, car nous avons vu que l’un exclut l’autre. Et pourtant, la réponse est oui : nous pouvons très bien être régentés par ce genre de gouvernement. Mais cela exige évidemment de recourir à un subterfuge, de faire un tour de passe-passe. Pour qu’une telle forme de gouvernance puisse exister, deux conditions doivent être remplies :

1) cette « démocratie » doit se limiter uniquement à un processus électoral se déroulant tous les quatre ou cinq ans ;

2) ce processus électoral doit être un spectacle – et une formalité – dont les résultats sont contrôlés et connus d’avance par les dictateurs qui tirent réellement les ficelles.

Si ces deux conditions sont respectées, vous aurez votre dictature d’extrême gauche ou d’extrême droite sous couvert de démocratie. Et si les dictateurs s’y prennent bien, cette pseudo-démocratie aura l’air d’autant plus réelle et concrète qu’elle sera intégrée et secondée par les citoyens eux-mêmes qui vivront dedans comme les humains du film Matrix vivaient sans le savoir dans une réalité virtuelle.

Cette forme de dictature est appelée « dictature douce » du fait qu’elle tient en place en n’utilisant pas la terreur, comme c’est le cas dans plusieurs républiques de bananes, ou comme cela a été le cas pour l’ex-URSS ou l’Allemagne nazie. Elle s’assure plutôt du soutien des citoyens eux-mêmes qui considèrent ce mode de régime politique comme le plus adéquat et le plus juste qui puisse exister – et qui le défendent même bec et ongles.

Ce style de gouvernance n’est pas une exception. Il est même extrêmement commun puisqu’il s’agit du nôtre, c’est-à-dire de celui qui prévaut dans presque tous les pays dits « occidentaux », « riches », « libres » et supposément « démocratiques ».

Et si nous avons un mal fou à l’admettre nous-mêmes en tant que citoyens à part entière de ces pays, c’est parce cette réalité politique est enterrée sous des années de lavage de cerveau et de programmations neuronales. On nous répète en effet depuis notre plus tendre enfance dans les écoles, dans les médias et partout ailleurs que nous vivons réellement en démocratie. Cette « vérité » nous a été ressassée tellement de fois et depuis tellement d’années qu’elle est devenue une certitude indécrottable, au point tel que ceux qui la remettent en question sont considérés par leurs pairs comme des hurluberlus devant être enfermés.

Mais lorsque nous nous élevons un tant soit peu au-dessus de la forêt dans laquelle nous avançons depuis notre naissance, et que notre regard prend enfin de la perspective, nous constatons tout de suite que nous ne vivons aucunement dans des États où le pouvoir est celui du peuple exercé par le peuple et pour le peuple (Abraham Lincoln), mais bel et bien sous des dictatures ploutocratiques camouflées en démocraties – ploutocratie : forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est entre les mains des plus riches. Et que nous votions tous les quatre ou cinq ans ne change absolument rien de rien à cette réalité.

Pour saisir et intégrer cette vérité, il faut tout d’abord adhérer au fait que nos gouvernants – ceux que nous élisons tous les quatre ou cinq ans – ne gouvernent rien du tout, car ils sont eux-mêmes gouvernés par d’autres gens. C’est la clé de la compréhension de toute cette supercherie.

Les citoyens avisés savent en effet très bien, et ce, depuis longtemps, que des personnes extrêmement riches et influentes, qui ne sont pas élues, dictent leurs quatre volontés à nos instances gouvernementales qui n’ont de comptes à rendre qu’à eux.

Ces individus qui demeurent dissimulés à tous les regards portent le nom générique d’état dans l’état, ou d’état profond, ou de marais. Et même si nous ne les connaissons pas, ils sont indubitablement les vrais maitres de nos pays.

Image : Marianne TV

COMMENT GÉRER UNE DICTATURE (D’EXTRÊME DROITE) SOUS COUVERT DE DÉMOCRATIE

Le pouvoir par les dettes…

L’on croit – à tort – que ce ne sont que les républiques de bananes qui se sont outrancièrement endettées auprès des grandes banques mondiales. Les pays occidentaux ne sont pas en reste, et tant s’en faut. Au fil des décennies, ceux-ci se sont également endettés au-delà de toutes limites auprès de ces mêmes crapuleuses institutions financières, et sont devenus – littéralement – les vassaux de leurs créanciers.

Cette réalité, curieusement difficile à accepter pour plusieurs, est toutefois admise très facilement par ces mêmes personnes lorsque nous demeurons à un niveau microcosmique. De cette façon, si un individu (vous, moi, un voisin…) est surchargé de dettes auprès d’un usurier, tout le monde s’entend pour dire que celui-ci devient dès lors le maitre de sa pauvre victime et qu’il peut lui faire faire n’importe quoi.

Cette situation élémentaire au niveau des individus obéit pourtant exactement au même principe lorsqu’il s’agit des États (n’oublions pas que ce sont également des individus qui sont à la tête des États), et ce, même si cette vérité parait à première vue inconcevable tellement elle heurte nos croyances ancestrales.

La presque totalité des pays du monde – incluant ceux qui sont supposément riches – sont aujourd’hui littéralement étranglés par les banques, comme tous les consommateurs surendettés de la planète le sont par leurs créanciers. Et ils sont de ce fait à leur merci. S’ils ne marchent pas au pas, les conséquences peuvent être terribles. D’un seul claquement de doigts, les banquiers sont en mesure de faire basculer n’importe quelle nation dans une crise financière majeure (voir l’exemple de la crise de la dette publique de la Grèce).

Les raisons de ce surendettement sont multiples, mais le résultat final reste le même : les banquiers tiennent bel et bien les nations par les couilles et sont devenus nos véritables maitres au détriment de la démocratie qui n’est plus depuis longtemps qu’une sorte de poudre aux yeux se déroulant une fois tous les quatre ou cinq ans.

Cela dit, en sachant que les banques sont aussi les propriétaires, ou à tout le moins les partenaires à part entière, d’une grande partie des multinationales de ce monde, ce sont donc celles-ci, à travers les lobbys, ou de façon beaucoup plus secrète et sournoise, qui gèrent les nations en édictant leurs propres lois aux gouvernements en place. Ces derniers ne sont plus, au bout du compte, que de vulgaires laquais administrant les décisions des corporations. Ce qui est la définition même d’un régime d’extrême droite (petit rappel de certaines notions précédentes dans le tableau ci-dessous).

DICTATURE PAR L’EXTRÊME DROITE (FASCISME)

Abolition de la démocratie

Contrôle de tout par les grandes corporations

Disparition de l’État en tant que tel ; les « gouvernants » ne sont là qu’à titre de gardiens de l’ordre et des lois

Transformation des citoyens en esclaves-consommateurs.

Et ce qui, en passant, est devenu d’une criante évidence au cours des trois dernières années avec la fausse pandémie qui a été directement gérée par le cartel des compagnies pharmaceutiques via les instructions de la firme privée McKinsey à presque tous les pays occidentaux de façon simultanée.

Image : L’Aut’journal

Le pouvoir par la manipulation des masses…

Pour que ce système fonctionne bien, c’est-à-dire pour que les citoyens ne se rebellent pas contre cette forme d’autocratie, les extrémistes de droite qui opèrent dans l’ombre (l’état profond) ont eu le choix, au départ, de recourir à deux méthodes différentes afin que nous les laissions agir à leur guise sans les déranger :

1) ils auraient pu tout d’abord se servir de la force brute pour nous mettre au pas, comme dans les régimes fascistes purs ; mais l’Histoire a depuis longtemps démontré que cette solution comporte une foule de tracas inutiles et qu’elle ne perdure jamais éternellement dans le temps de toute façon – si ce n’est même qu’elle se termine même quelquefois très mal ;

Benito Mussolini et sa maitresse Claretta Petacci pendus par les pieds par la foule en colère et exposés sur une place publique milanaise, en avril 1945 Dessin de Jim Carrey

2) ils pouvaient ensuite agir plus insidieusement en nous maintenant simplement dans l’illusion que nous vivions toujours dans des pays démocratiques, et que nos élus étaient les véritables dirigeants en place.

La deuxième solution était évidemment beaucoup plus pratique en ce qu’elle éliminait un grand nombre de soucis, en ce qu’elle se parait d’un costume de moralité à première vue irréprochable, et en ce qu’elle éradiquait directement à la base toute idée de révolte de la part des citoyens (en vertu du principe bien connu qu’un peuple heureux de son sort ne se rebelle jamais).

Cette méthode s’avérant en outre relativement facile à mettre en œuvre et à maintenir dans le temps, eh bien c’est ce qu’ils ont fait. Et avec un retentissant succès.

Jusqu’à maintenant, et pour que le système fonctionne rondement, les têtes dirigeantes de l’état profond se sont simplement et régulièrement assurées que les principes suivants étaient respectés (cette liste n’étant pas exhaustive) :

– ils sont constamment demeurés dans l’ombre (évidemment puisqu’une « démocratie » ne peut en être une sans que les preneurs de décisions soient « élus ») ;

– ils ont permis un certain niveau de liberté et de confort matériel aux citoyens (en vertu du vieil adage universel : « Donnez-leur du pain et des jeux et ils resteront tranquilles ») ;

– ils se sont occupés des têtes fortes en les faisant passer pour une poignée d’hurluberlus illuminés aux yeux du reste de la population, ou en les réduisant au silence par divers procédés ;

– ils ont fait intervenir les forces de l’ordre uniquement pour mater les plus importantes rébellions ;

– ils ont contenu comme ils ont pu la liberté d’expression ; ce problème ayant été résolu lorsqu’ils ont réussi à prendre le contrôle quasi total des médias de masse et de l’industrie cinématographique (leurs principaux outils de propagande) vers le début des années 2000 ;

– ils ont manipulé les élections de façon à toujours placer des gens à leur solde à la tête des gouvernements – CET ITEM ÉTANT LA PIERRE ANGULAIRE DE TOUT LE SYSTÈME.

Le pouvoir par la corruption, le chantage et les menaces…

Pour que ces états d’extrême droite aient réussi à se maintenir en place de la sorte au nez et à la barbe des citoyens pendant toutes ces années, le dernier point mentionné précédemment – s’assurer de la collaboration des dirigeants – était crucial.

C’est pour cette raison que les multimilliardaires de l’état profond investissent toujours aujourd’hui autant d’argent non seulement dans le processus électoral en tant que tel (en contribuant largement au financement de tous les partis politiques importants, par exemple), mais également en corrompant allègrement les politiciens eux-mêmes ainsi que la plupart des détenteurs de postes-clés dans la société.

Et si la corruption ne fonctionne pas – ce qui est très rare –, ces criminels passent alors à un autre moyen de persuasion : le chantage basique (tous les politiciens ayant des secrets inavouables à cacher). Et si cela ne suffit pas encore, ils menacent finalement de démolir leur réputation par des campagnes de salissage en règle, ou même de s’en prendre physiquement à eux ou aux membres de leurs familles.

Certains diront que ces méthodes ressemblent étrangement à celles de la pègre des bas-fonds de ruelles. C’est exactement le cas, du coup, mais en plus subtil et discret, comme toujours.

Différences entre le mafioso milliardaire et l’homme d’affaires multimilliardaire : la classe et le raffinement

Évidemment, tous ces pantins assis bien confortablement sur les sièges de leur gouvernement respectif sont interchangeables à tout moment. Lorsqu’ils cessent d’être populaires au sein des populations, ou lorsqu’ils se font prendre la main dans le sac dans des scandales – ce qui survient très fréquemment –, ils sont tout simplement sacrifiés et remplacés par les prochains collaborateurs sur la liste.

Bref, avec tous ces moyens mis en œuvre, les élus, quelles que soient leurs programmes électoraux, ou quelles que soient leurs supposées allégeances de gauche ou de droite, n’ont jamais été rien d’autre que des larbins avec de gros ego au service de l’état profond dans une dictature d’extrême droite. Une « dictature douce », certes, pour ne pas que nous nous réveillions de notre sommeil léthargique, mais ce qui ne change strictement rien au fait que le peuple n’a aucunement son mot à dire dans les décisions qui le concernent.

Ce qui a toujours fait de nos pseudo-démocraties des sortes de vaudevilles grotesques auxquelles pratiquement tout le monde croit encore dur comme fer en la réalité, cette certitude étant vissée très tôt dans nos cerveaux – dès l’école – à grands coups de bourrage de crâne par les professeurs et par d’autres membres émérites formatés de la société.

L’ÉVOLUTION  DU RÊVE DES PSYCHOPATHES

Jusqu’à un passé très récent, les multimilliardaires de l’état profond s’étaient contentés de dominer économiquement le monde, pays par pays, dans un but uniquement mercantile ; c’est-à-dire essentiellement pour s’enrichir (indument) de façon à assouvir leurs fantasmes.

Fantasmes qui sont nombreux, soit dit en passant, et qui feraient frémir d’horreur le citoyen moyen s’il était mis au courant ne serait-ce que d’un pour cent de leurs contenus. Et c’est sans parler de leurs penchants prononcés pour l’eugénisme (science qui étudie les méthodes génétiques susceptibles d’améliorer les populations humaines, en limitant ou en encourageant la reproduction des individus porteurs de caractères jugés défavorables ou favorables). Science qu’ils ont même déjà tenté de mettre quelquefois en application – durant la Deuxième Guerre mondiale, notamment – et dont ils ont récemment peaufiné le concept grâce à la technologie, et à un degré tel que le genre humain en subira nécessairement un jour des conséquences désastreuses et irréversibles.

Las de tous leurs milliards accumulés et ne sachant plus comment en disposer, ces désœuvrés ont décidé depuis quelques années de passer à une seconde phase de leur soif de pouvoir. Phase qui, en termes de santé mentale, les a fait également passer du stade de la simple psychopathie chronique au delirium tremens mégalomaniaque. Et c’est peu dire.

Leur but ultime, plus ou moins avoué publiquement, est en effet maintenant de devenir les « maitres du monde ». Littéralement. Rien de moins. Exactement comme ces psychopathes-mégalomanes que l’on voit au cinéma, qui se prennent pour Dieu, qui croient qu’ils sont les sauveurs de l’Humanité, et qui ont – malheureusement – les moyens financiers illimités pour réaliser leurs rêves de déments. Même chose…

Klaus Schwab, président du Forum Économique Mondial, idéologue et porte-parole de l’État profond

Cette nouvelle phase de leurs délires – qu’ils appellent eux-mêmes l’avènement d’un « Nouvel Ordre Mondial » – comprend deux volets :

1) Abolir toutes les frontières de façon à ce que Terre ne forme plus qu’une seule nation ; nation qui serait gouvernée par un gouvernement unique mondial (et non-élu) – eux.

De façon vulgairement mercantile, l’abolition de la notion de pays comporte des avantages indéniables pour toutes les grandes corporations de ce monde. Est-il nécessaire de les énumérer ? La disparition de toutes les mesures protectionnistes nationales chiantes ; la liberté totale de piller les ressources naturelles de la Terre sans égard à leurs propriétaires – puisqu’il n’y aurait plus (officiellement, cette fois) de propriétaires ; la liberté totale d’installer leurs industries là où ils le désirent sans être obligés, désormais, de magouiller ou de soudoyer qui que ce soit pour le décider ; la liberté totale de déplacer à volonté la main-d’œuvre bon marché là où les besoins l’exigent ; …

Quelle multinationale ne rêve pas d’un tel eldorado ?

Mais pour en arriver à ce stade de leurs délires, différentes actions à long terme doivent être menées graduellement. Et il y en a eu effectivement quelques-unes jusqu’à maintenant. La création de l’Union européenne, par exemple. Ainsi que les guerres qui ont obligé les peuples opprimés à fuir partout dans le monde en vastes mouvements migratoires. Sans oublier l’autorité de plus en plus grande que se sont octroyées les organisations internationales sur les nations (l’ONU, l’UNESCO…).

2) faire de tous les habitants de la planète des êtres semblables, des robots indifférenciés, en contrôlant tous leurs faits et gestes ; c’est-à-dire en gérant directement leurs comportements et leurs déplacements.

Ce qui n’est possible que si l’on procède systématiquement à la désintégration de l’identité des individus et en développant de nouvelles technologies pour non seulement les contrôler, mais aussi pour se passer de la biologie naturelle dans la mécanique de reproduction. Et ce qu’ils ont également commencé à faire depuis quelques années, alors que le processus va d’ailleurs en s’intensifiant :

– désintégration des identités nationales et culturelles par l’immigration massive et sauvage, le but étant de métisser les populations et de réduire ainsi les risques de revendications nationales ;

– désintégration des identités familiales en sapant graduellement l’autorité parentale et en instaurant même de nouvelles lois sur la primauté parentale, faisant de cette façon des enfants non plus la propriété des parents, mais celle de l’État ;

– désintégration des identités biologiques homme-femme en imposant sauvagement les nouvelles « philosophies de genres » jusque dans l’enfance ;

– développement à grande échelle de l’utérus artificiel, sans que cela ne provoque nulle part AUCUN début d’éthique ;

– développement et promotion à grande échelle de la technologie du transhumanisme, sans que cela, encore une fois, ne fasse l’objet d’AUCUN débat éthique.

LE MARIAGE MALÉFIQUE DE L’EXTRÊME DROITE ET DE L’EXTRÊME GAUCHE

L’on remarquera que cette mégalomanie – qui relève de la santé mentale – est le fantasme ultime non plus seulement de l’extrême droite, mais également celui de l’extrême gauche. De là le mariage maléfique de ces deux doctrines en une seule pour que l’infime minorité de psychopathes milliardaires parvienne à son but.

Ces mondialistes d’extrême droite qu’ils étaient au départ sont donc devenus des extrémistes d’extrême gauche avec le temps. Mais sans pour autant renier ce qu’ils sont vraiment dans leur essence. Un revirement qui parait à première vue étonnant, mais qui ne l’est aucunement si l’on tient compte de la valeur ultime qui unit ces deux doctrines à la base : la DICTATURE.

L’extrême droite et l’extrême gauche sont en effet tous les deux des ennemis acharnés de la démocratie, cette enquiquineuse qui empêche ces gens d’aller où ils le veulent, quand ils le veulent, et à la vitesse qu’ils le veulent. Dans ce sens, il est tout à fait normal que les mondialistes aient fusionné ces deux doctrines en une seule afin de se débarrasser de cette plaie.

Ce qu’ils ont fait en prenant un modèle déjà existant, et en le peaufinant.

L’ADOPTION DU MONDÈLE CHINOIS

La gauchisation de la minorité des psychopathes d’extrême droite de nos pays occidentaux a en fait commencé avec la Chine de Mao qui était devenue une nation communiste à partir de l’année 1949 et qui menait son peuple de façon autocratique depuis ce temps. Au fil des années, les différents dirigeants qui se sont succédé à la tête de ce pays ont toutefois fait évoluer cette doctrine en permettant un moment donné aux multinationales étrangères d’intégrer allègrement leur économie tout en conservant cependant une mainmise de fer sur leurs citoyens.

De sorte que ce pays est aujourd’hui géré simultanément selon deux idéologies politiques historiquement opposées l’une à l’autre :

– par la doctrine de la droite – si ce n’est même par celle de l’extrême droite –, en étant très souple vis-à-vis l’immixtion des multinationales dans leur économie ;

– par la doctrine de l’extrême gauche, en continuant d’exercer socialement un contrôle extrêmement  dictatorial au sein de sa population.

On ne sait d’ailleurs pas encore comment désigner ce nouveau système, qui est un mélange d’extrême gauche et d’extrême droite. Certains le nomment « communisme chinois », d’autres, « capitalisme à la chinoise » ; sans oublier les appellations « socialisme de marché », « capitalisme autoritaire », et quelques autres.

Image : L‘OBS

Quoi qu’il en soit, cette façon de gouverner à la chinoise fait depuis longtemps baver d’envie notre infime minorité de psychopathes multimilliardaires occidentaux qui rêvent depuis des décennies de se débarrasser de cette foutue pseudo-démocratie dont ils ont dû constamment tenir compte et qui les a sans cesse royalement emmerdés. Un peu comme une démangeaison énervante et persistante dans le milieu du dos. Et c’est sans compter que cette méthode leur permettrait, en plus, de concrétiser enfin leur fantasme de toujours : celui de devenir les « maitres du monde » dans le sens le plus mégalomaniaque du terme.

Klaus Schwab, président du Forum Économique Mondial, idéologue et porte-parole de l’État profond

Pour parvenir à concrétiser ce rêve, ils ont donc choisi de nous imposer maintenant le modèle chinois comme régime politique – après l’avoir savamment amélioré. Le processus est actuellement en cours. Et une fois que tout sera définitivement en place – ce qui ne saurait tarder si nous ne faisons rien, comme d’habitude –, nous serons alors dominés :

1) non seulement par les psychopathes multimilliardaires à la tête des banques et des grandes multinationales monopolistiques de ce monde (extrême droite) – ce qui est d’ailleurs déjà le cas depuis longtemps (voir plus haut) ;

2) mais également par ces mêmes psychopathes multimilliardaires qui nous auront dépossédés de tous nos biens et qui contrôleront désormais d’une main de fer toutes les facettes de nos vies privées (extrême gauche).

Le processus est d’ailleurs passablement avancé. Cette phase « d’extrême gauchisation » forcée de nos sociétés par l’extrême droite a été mise officiellement en branle au début de l’année 2020 avec le canular de la covid.

LA NOUVELLE GUERRE

Emmanuel Macron 16 mars 2020

Cette nouvelle guerre oppose deux camps adverses :

– les mondialistes qui, comme on l’a vu, veulent abolir la notion de pays, et qui souhaitent instaurer un gouvernement unique qui serait dirigé par eux, bien sûr, des non-élus, via une technocratie à l’échelle planétaire ; cette forme de gouvernement n’ayant aucune place pour la moindre parcelle de démocratie ;

– les nationalistes, ou les patriotes, qui se battent quant à eux pour que la notion de pays demeure telle quelle, et qu’une réelle démocratie soit instaurée au sein de ceux-ci.

Cette nouvelle guerre que livre l’infime minorité de psychopathes milliardaires contre l’humanité est belle et bien réelle, mais elle n’est pas conventionnelle. Dans le sens, comme d’habitude, qu’elle n’est pas menée ouvertement avec des armes à feu et avec des polices du genre de la Gestapo qui entrent la nuit dans nos maisons en défonçant les portes.

Ces gens continuent en fait de faire avec nous ce qu’ils ont toujours fait jusqu’à maintenant, c’est-à-dire de NOUS ENDOCTRINER et de NOUS MANIPULER, de façon à ce que nous décidions nous-mêmes de nous faire enchainer de la sorte, à ce que nous le demandions, à ce que nous supplions à genoux nos gouvernements d’en venir là où ils le désirent.

Ils s’y sont pris toutefois cette fois de façon beaucoup moins subtile qu’avant. On dirait en effet qu’ils sont tout à coup devenus de plus en plus pressés de parvenir à leurs fins. (C’est d’ailleurs le cas, et les causes de ce soudain empressement feront l’objet d’un article ultérieur.)

Pourtant, nonobstant cette soudaine précipitation et ce flagrant laisser-aller dans le raffinement de leurs méthodes traditionnelles, il n’en demeure pas moins, grâce au grand canular de la covid, et grâce à l’hypnose habituelle collective des peuples, qu’ils sont presque parvenus à leur fin. En un temps record, ils ont en effet réussi à faire cautionner par les citoyens eux-mêmes une foule de mesures qui relèvent directement de la panoplie de la gouvernance dictatoriale autant des régimes de l’extrême droite que de ceux de l’extrême gauche.

Ainsi, en l’espace de quelques mois, et grâce à la terreur due à un virus moins dangereux que celui de la grippe ordinaire, les populations des nations « démocratiques » occidentales :

– ont accepté de plein gré que leurs nations respectives ne soient dirigées que par une seule personne pendant plus de deux ans, sans que celle-ci ne rende de comptes à personne ;

– se sont laissés emprisonnés dans leurs propres maisons pendant plusieurs semaines ;

– ont laissé crever la petite et moyenne entreprise de leur pays ;

– ont consenti de porter un masque – symbole de soumission – qui, non seulement ne protège en rien contre les virus, mais qui en plus, oblige à réinhaler son propre gaz carbonique et ses propres germes ;

– ont fait porter ce même masque à leurs propres enfants (!) en dépit de toutes les conséquences dommageables et irréversibles sur leur développement physique et mental ;

– ne se sont plus approchés les uns des autres à moins de deux mètres ; ont cessé de se toucher et de s’embrasser ;

– ont laissé mourir leurs propres parents dans la solitude et sans plus aucun soin de base ;

– ont cessé de célébrer Noël et les autres fêtes traditionnelles ;

– ont accepté de vivre sous des couvre-feux ;

– ont dénoncé leurs voisins à la police ;

– ont maudit et renié leurs amis et des membres de leur famille à cause de leurs opinions ;

– se sont portés volontairement cobayes pour une nouvelle thérapie génique en phase d’expérimentation ;

– ont fait injecter cette même thérapie génique expérimentale à leurs propres enfants (!) ;

– ont accepté de vivre dans un pays où la censure est pratiquée à grande échelle ;

– ont accepté de vivre dans un pays dans lequel le gouvernement cloue au pilori ceux qui s’opposent à lui ;

– ont accepté de vivre dans un pays qui impose la ségrégation (!) entre ses citoyens.

Autrement dit, les habitants de ces nations « démocratiques » ont donné leur propre et plein consentement pour devenir les esclaves de leurs gouvernements.

Et de cette façon, l’état profond a – presque – gagné cette nouvelle guerre qu’elle a déclarée à l’Humanité – sans armes, sans Gestapo, sans putsch. « Presque », oui, car ces gens semblent avoir récemment reculé. Mais ce n’est que partie remise. Le Bonhomme Sept Heures de la covid est en effet peut-être derrière nous, mais un autre épouvantail est en train de prendre le relai pour nous terrifier. Et j’ai nommé… (voix caverneuse, ici) le terrible, le cauchemardesque, l’apocalyptique RÉ… CHAUFFE… MENT… CLI… MA… TIIIIIIQUE…

Le but ultime, évidemment, étant d’en arriver à l’adoption d’un passeport sanitaire, ou d’un passeport carbone, ou d’un autre passeport de contrôle quelconque ; qui sera lui-même le prélude à l’implantation obligatoire de la puce électronique dans nos corps qui servira à régenter définitivement nos déplacements et nos décisions.

Une fois parvenus à ce stade, nous serons prisonniers de ce que l’on nomme couramment dans les milieux avisés le système de crédit social à la chinoise, au sein duquel le « passeport du bon citoyen » sera intégré à notre mode de vie.

Et l’infime minorité de psychopathes milliardaires aura réalisé son plus grand fantasme – grâce à notre apathie habituelle. (Et c’est sans parler des nouvelles technologies qui leur auront permis, en même temps, de passer de l’eugénisme au transhumanisme.)

LES FORCES EN PRÉSENCE ET LEURS ALLIANCES

Dans cette nouvelle guerre que nous livre ouvertement l’infime minorité de psychopathes milliardaires depuis le début de 2020, il n’y a plus de gauche, ni de droite, ni d’extrême gauche ni d’extrême droite ni plus rien de la sorte. Ces notions ne sont encore valables que pour les esprits manipulés qui ne voient pas ce qui est en train de se passer au-dessus d’eux. En réalité, dans le spectre politique actuel, il n’y a plus maintenant que deux seuls et uniques idéologies : celle de la dictature (menée par les Mondialistes) et celle de la démocratie (menées par les Patriotes).

Comme dans le célèbre roman de Tolkien – Le Seigneur des Anneaux –, il s’agit en fin de compte d’un combat mettant aux prises les Forces du Bien contre les Forces du Mal. Ni plus ni moins.

Au sein de cette nouvelle guerre, le monde occidental est divisé en six factions. Cinq d’entre elles sont du côté du Mal. Une seule le combat. Pour plus de commodité, donnons-leur des noms :

– les Psychopathes ;

– les Collabos corrompus ;

– les Collabos de l’extrême gauche ;

– les Collabos silencieux ;

– les Endormis ;

– les Gardiens de l’Humanité.

Les Psychopathes

Les Psychopathes sont évidemment cette infime minorité de psychopathes milliardaires, grands patrons des banques et des tentaculaires corporations multinationales, qui dirigent économiquement le monde depuis des décennies et qui sont désormais passés à la prochaine étape de leur projet de domination des masses. Ce sont l’équivalent de Sauron dans le Seigneur des Anneaux, ou de Voldemort dans Harry Potter… Ce sont les « élites » de l’État profond, ceux qui tirent les ficelles de tout. Ils ont toujours existé (voir plus haut), mais leur démence s’est accrue avec le temps.

Klaus Schwab, président du Forum Économique Mondial, idéologue et porte-parole de l’État profond

Les Collabos corrompus

Les Collabos corrompus sont tous ceux que l’État profond tient directement ou indirectement sous sa coupe par le biais de la corruption ou du chantage. Ils sont des milliers répartis dans tous les pays occidentaux, les chefs d’État étant les plus nocifs en ce qu’ils détiennent d’immenses pouvoirs sur nos destinées ; pouvoirs que nous leur avons nous-mêmes donnés, au demeurant, via le cirque des élections.

Les trois dernières années nous ont permis de faire apparaitre tous les autres. Ils occupent des postes-clés au sein des sociétés ou bien ils influencent les citoyens de par leur popularité. Parmi eux se retrouvent des politiciens secondaires, de hauts fonctionnaires, des directeurs d’ordres professionnels, des dirigeants de syndicats, des journalistes, des animateurs à la télé, des médecins, des artistes, et bien d’autres. Certains ne sont que de vulgaires opportunistes, mais ils sont néanmoins inclus dans cette catégorie, car un opportunisme de cet acabit n’est rien d’autre, au final, qu’une sous-classe de la corruption.

Si nous étions pendant la période de l’Occupation allemande en France, ils auraient été les collabos directs du régime de Vichy, et ils auraient contribué activement à envoyer les Juifs vers les camps d’extermination.

Pacte du diable entre le maréchal Pétain et Hitler, 1940

Ce qui, avouons-le, n’est pas une façon très glorieuse de passer à la légende…

Les Collabos de l’extrême gauche

Les Psychopathes ont eu la brillante idée de s’allier la faction des citoyens radicaux de gauche, c’est-à-dire de tous ces activistes qui n’ont toujours représenté jusqu’à maintenant qu’une infime partie de la population, mais qui ont désormais leur heure de gloire grâce à toute la publicité qui leur est accordée. Parmi leurs rangs, on compte les communistes purs et durs, les antifas, les wokes, les adeptes du « multigenrisme », et même les promoteurs de la banalisation de la pédophilie.

En mettant médiatiquement tout en œuvre pour banaliser les concepts (tordus) de cette frange minoritaire des citoyens et en les transformant en normes sociales standardisées, on fait ainsi paraitre les gauchistes modérés comme des droitistes, et les droitismes modérés comme des fanatiques d’extrême droite. C’est en tout cas le message qui est véhiculé depuis quelques années : tous ceux qui n’adhèrent pas à ces nouveaux préceptes sont dorénavant taxés en bloc d’extrême droite (voir plus haut) et sont même menacés de représailles s’ils donnent ouvertement leurs opinions sur ce qu’ils pensent de toutes les absurdités qui sont propagées par les médias (un exemple, ici, parmi tant d’autres, des dangereuses dérives qui nous sont imposées par les radicaux de gauche, et que nous devons subir en silence sous menace d’être traités d’extrême droite).

De gauche à droite, quatre banalités wokes intégrées dans notre vie actuelle : une femme-homme (ou vice-versa), une drag queen s’amusant avec un enfant, le mariage d’une femme avec un mannequin de chiffon, et une manifestation « pacifique » antifas.

Les Collabos silencieux

« Qui ne dit mot consent ». Vieil adage populaire pour parler de la majorité silencieuse, cette forte proportion de la population, mouton dans l’âme, craintive de nature, qui ne donne jamais son opinion de peur de se compromettre et de perdre ses amis, qui suit le troupeau, même si celui-ci se dirige directement vers l’abattoir et croyant qu’en agissant de la sorte, tous les malheurs seront évités sans trop de casse.

Les Collabos silencieux se doutent bien, au fond, de ce qui se passe, mais ils font semblant de ne pas s’en rendre compte. Ils s’inventent mille raisons pour ne pas voir et ne pas entendre, préférant comme d’habitude se tenir peinards dans leur coin en espérant qu’ils passeront inaperçus et que les choses s’arrangeront d’elles-mêmes.

Le seul motif qui les pousse au pied du mur et qui les fait réagir est celui de menacer directement leurs comptes en banque ou leurs biens personnels. Rien d’autre ne peut les secouer et les faire sortir de leur léthargie. Même le fait de s’en prendre à leurs enfants n’est pas suffisant. La preuve étant que pendant la crise de la covid, ils ont été jusqu’à masquer leurs enfants et à leur faire injecter une thérapie génique au stade expérimental pour ne pas être obligés de se révolter ouvertement.

En attendant qu’on s’en prenne à leur argent : rien, ils endurent, ils font comme si tout était normal, comme si la vie était belle et qu’il n’y avait pas lieu de s’énerver.

Les Endormis

Ceux-là, on peut également les appeler les Hypnotisés graves ou les Sectaires.

La différence entre les Collabos silencieux et les Endormis tient en la « conscience » de chacun d’entre eux. Tandis que Collabos silencieux savent, au fond, la tragédie qui est en train de se dérouler, mais qu’ils font semblant de ne pas s’en rendre compte, les Endormis, quant à eux, sont totalement hypnotisés par ce qui se passe. Ils vivent dans une bulle, complètement déconnectés du monde réel.

Ils ont une foi aveugle dans les dires du gouvernement et, partant, dans la propagande véhiculée par les médias de masse. Il ne leur viendrait jamais dans l’idée de douter une seule seconde qu’on peut leur mentir. Ils font donc tout ce que les autorités leur ordonnent de faire, sans réfléchir, sans poser aucune question et en étant virulents envers ceux qui contestent.

Durant le canular de la covid, ce sont ceux qui ont obtempéré sur-le-champ à toutes les mesures absurdes qui ont été imposées par la dictature en place parce qu’ils croyaient dur comme fer qu’un virus était réellement en train de détruire l’Humanité. Et ils y croient d’ailleurs encore. On reconnait les plus fanatiques dans les places publiques. Ce sont ceux qui, en dépit de la levée de l’obligation de porter le masque, le portent toujours (et le font même porter à leurs enfants), convaincus sont-ils que ce masque de papier les protège d’un danger de mort qui n’est pas encore éradiqué.

Dans le nouveau canular du réchauffement climatique, ce seront les premiers à se conformer au passeport carbone. Ils se porteront même volontaires pour s’en prévaloir avant même qu’il soit obligatoire.

Dans ce combat que mènent les Patriotes contre les Mondialistes, ils sont malheureusement irrécupérables. Ce serait comme de parler à un mur de pierres.

Les Gardiens de l’Humanité

Dans cette nouvelle phase de domination des peuples, les ennemis à abattre sont évidemment les dissidents : ceux qui n’ont pas été dupes du grand canular de la covid, et qui ne sont pas davantage dupes des autres couleuvres que l’on cherche à leur faire avaler – l’arnaque du réchauffement climatique, entre autres, et l’histoire du grand méchant ogre russe qui veut envahir la planète entière. Ceux, finalement, qui tentent d’alerter la population sur les vrais objectifs de ces psychopathes mégalomaniaques.

C’est David qui se bat contre Goliath.

Pour les faire taire, les gouvernements, toujours sous l’égide de ceux qui leur donnent des ordres, ont mis en œuvre divers moyens :

– ne leur allouer aucune place dans les médias de masse (télévision-radio-journaux) ;

– les bannir des grands réseaux sociaux tels que YouTube, Facebook et Twitter ;

– les censurer de toutes les façons possibles ; les « fact chécker » à outrance et de mauvaise foi ;

– les faire détester par leurs concitoyens (incluant par leurs amis et par les membres de leurs familles) ;

– se moquer d’eux, leur accoler toutes sortes d’étiquettes idiotes, telles que « complotistes » (leur préférée), « covidiots », « touristes tatas », « coucous », et bien d’autres ;

– en faire des gens qui menacent la société et la démocratie, des fanatiques sectaires, des rebelles dangereux, des terroristes et… et des extrémistes de droite (!) – incluant tous les clichés qui viennent avec : misogynes, racistes, réfractaires à la science, ennemis de la démocratie, etc.

L’expression « extrémistes de droite » étant particulièrement ironique en tenant compte du fait que les gens de pouvoir qui l’utilisent à tour de bras contre leurs adversaires et qui la promotionnent tant qu’ils peuvent sont justement eux-mêmes ceux qu’ils accusent d’en être (voir tout ce qui vient d’être dit à son sujet).

Ils utilisent en somme la bonne vieille méthode de manipulation que tous les psychologues connaissent sous le nom « d’inversion accusatoire »

INVERSION ACCUSATOIRE

Technique de manipulation psychologique consistant à tenter de faire porter la responsabilité de ses propres tares à autrui en l’accusant de celles-ci.

C’est comme l’homme, par exemple, qui est cocu, et qui se fait accuser d’infidélité par sa femme. On comprend le principe, car il est vieux comme la Terre.

Ce qui explique, comme il a été mentionné au début de cette article, que je me suis soudainement retrouvé, moi, l’éternel socialiste modéré de gauche, à l’instar de millions d’autres gauchistes, un extrémiste de droite, alors que je suis toujours farouchement épris de démocratie, de liberté, de justice, d’ouverture sur le monde, de progrès social et d’entraide universelle.

Cela ne me ferait ni chaud ni froid, remarquez, si ce n’était que cette étiquette est souvent reprise par tous les analphabètes politiques qui l’utilisent comme des niais en ignorant totalement de quoi il est question.

COMPTE-RENDU DE LA SITUATION ACTUELLE

Pour le moment, il n’y a plus de droite ni de gauche dans nos pays occidentaux.

D’un côté, il n’y a qu’une extrême droite et une extrême gauche unies dans une alliance maléfique pour prendre possession de toutes les ressources de la planète, de toutes ses richesses, et de tous les citoyens pour faire de ceux-ci des robots indifférenciés qui seront éventuellement sous leurs ordres. Cette frange psychotique de l’Humanité porte différents noms selon ceux qui la dénoncent et qui la combattent : l’infime minorité de psychopathes milliardaires, les Mondialistes, l’État profond ou le Marais. C’est en fonction de l’humeur de chacun.

De l’autre côté, il y a ceux qui se battent contre eux, oui. Auparavant, il s’agissait de modérés de gauche et de modérés de droite (et de centristes). Mais pour le moment, ils ont eux aussi fédéré leurs forces pour contrer les véreux. On les nomme les Patriotes, les Combattants pour l’instauration d’une vraie démocratie, ou les Gardiens de l’Humanité.

Si ces Patriotes n’étaient composés que de citoyens ordinaires et de lanceurs d’alerte, ils ne réussiraient probablement jamais à vaincre le Goliath qu’ils ont en face d’eux. Mais ils comptent en outre dans leurs rangs des gens très puissants qui travaillent dans l’ombre, eux aussi, à tenter de démanteler l’énorme monstre qui a pris tant de place dans nos sociétés depuis tant d’années.

Et ils comptent en plus dans leurs rangs, mais indirectement, cette fois, des alliés inattendus qui ne veulent rien savoir de ce projet de « grande réinitialisation » que souhaitent imposer les psychopathes sur toute la planète. Des pays entiers, et non les moindres (la Russie et la Chine, notamment), ont en effet déjà dit « non » à ces fous furieux et sont en train de les combattre eux également de tous les côtés.

Avec un peu de chance – et de temps –, le Marais sera asséché, et il est à espérer, d’ici l’avènement de ce grand jour, que l’Humanité aura évolué de façon telle qu’elle se donnera ensuite des valeurs dignes de l’être humain qu’elle se targue d’être pour bâtir le nouveau monde qui l’attend. Des valeurs, par exemple, qui transcenderont peut-être cette éternelle opposition gauche-droite qui n’est basée, somme toute, que sur la notion de l’argent.

Et qu’elle mettra désormais tous les psychopathes mégalomaniaques au pas pour ne plus jamais – jamais – qu’une telle engeance nuise à l’ensemble de la planète comme elle l’a fait impunément jusqu’à présent.


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