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LES DRAG QUEENS : POURQUOI VEULENT-ILS LIRE DES CONTES AUX ENFANTS DÉGUISÉS EN FEMMES ?

Par Alain Patenaude – Publié le 4 mai 2023

Avez-vous déjà pensé que, parmi ces hommes déguisés en femme dans les bibliothèques et les écoles, il pourrait y avoir des prédateurs sexuels qui en profitent ? Un pédophile pourrait facilement se déguiser en femme pour tenter d’assouvir ses bas instincts ? Tout le monde sait que les pédophiles usent de tous les stratagèmes possibles pour arriver à leurs fins.  

Dans la vie de tous les jours, je n’ai jamais rien eu contre les drag queens. Je ne suis pas un amateur de ce genre de spectacles, mais je respecte le fait que ce doit être une forme d’expression artistique de se déguiser en filles de cette façon exagérée. En fait, je trouve qu’une drag queen est une vulgaire caricature de la femme et je suis surpris que les mouvements féministes ne se soient pas braqués de les voir exagérer leur féminité. Mais bon, quand ça restait dans les clubs, il n’y avait pas de problème ! J’ai toujours pensé que ce genre de divertissement était réservé aux adultes dans les bars. C’est un peu comme les danseuses nues, elles dansent dans les clubs en présence d’adultes masculins (ai-je encore le droit de dire cela ?), mais si elles se déplacent dans les écoles, les seins nus pour aller raconter des histoires de cul à nos enfants, j’ose imaginer que les parents s’y opposeraient.

Souvenez-vous de l’énorme contestation qu’il y avait eu sur la Rive-Sud de Québec, il y a quelques années, concernant Samantha Ardente, une actrice porno à ses heures, qui était secrétaire dans une école secondaire. Elle avait dû démissionner, tellement les parents étaient offusqués de connaître son deuxième métier. Aujourd’hui, ces mêmes parents accepteraient le fait que des hommes déguisés en femmes aillent raconter des histoires à leurs enfants dans les écoles ou les bibliothèques ?

Vous me corrigerez, mais je n’ai pas l’impression que les drag queens sont des transgenres. Ai-je raison ? Ce sont des hommes qui se déguisent en femme. Pourquoi le gouvernement fait-il des motions pour les protéger des critiques de ceux qui ne sont pas d’accord avec le fait qu’ils viennent lire des histoires à leurs enfants dans les écoles ? Ce ne sont pas des propos discriminatoires, ce sont des interrogations et des constatations. Si je me fie à cette photo, je ne comprends pas que tous ceux qui ont voté pour la motion de QS (les 125 députés sans exception, tous partis confondus) n’y voient même pas le fait que des enfants pourraient subir ce genre d’agression émotionnelle ici. N’oubliez qu’aux USA, c’est carrément ce qui arrive.

Regardez ce drag queen qui présente le micro à l’enfant comme si c’était son sexe. Vous trouvez cela normal, chers politiciens et gens des médias ? Chers parents qui êtes en train de lire ceci et qui n’êtes pas d’accord avec mes propos, aimeriez-vous que vos enfants soient confrontés à ce genre de situation ? Que le petit garçon soit le vôtre ?

Pourquoi cette offensive sexuelle dans les écoles avec les drag queens tout d’un coup ? On se relève à peine de cette arnaque pandémique et tout ce qu’on a, c’est qu’il est devenu très important que des drag queens aillent dans les écoles pour lire des histoires aux enfants.

Si on a le malheur de s’y opposer, on nous traite d’intolérants avec tous les termes que les médias nous ont baptisés depuis trois ans. Bienvenue dans le monde des wokes ! Cherche-t-on à sexualiser les enfants ou à minimiser une forme de pédophilie, en laissant des hommes déguisés en femme venir dire aux jeunes enfants qu’il est normal de se pogner le zizi et qu’ils ont le droit de devenir autre chose que ce qu’ils sont biologiquement ?

Quand on voit ce genre de photos, ça devrait révolter toute personne qui a à cœur le sort des enfants et de leur évolution comme être humain. Sexualiser des enfants à cet âge, c’est la pire chose qui peut leur arriver. Un enfant n’est pas apte à comprendre la sexualité, car il ne la vit pas encore, ou du moins, il n’est pas supposé la vivre. Mais comme je n’ai aucun titre d’expert en la matière, les wokes qui n’aiment pas se faire contredire et qui refusent la discussion me traiteront de tous les noms et je m’en fous. La liberté d’expression est-elle devenue à sens unique ? Ils voudraient bien qu’elle soit dans leur sens à eux.

Si je regarde cette photo où le drag queen a l’air d’un être diabolique sorti de l’enfer, je peux vous dire, hors de tout doute, que j’aurais été traumatisé de rencontrer une personne déguisée de cette façon, quand j’allais à l’école. Imaginez comment doivent se sentir certains enfants ! Je n’en reviens pas que des parents ne réagissent pas à cette intrusion émotionnelle dans la vie de leurs petits. Commencez-vous à comprendre pourquoi la loi 15 a été adoptée ? Le but était-il d’enlever les droits de primauté parentale aux parents ? Surtout quand ils sont sous l’autorité des écoles ? Pourquoi les autorités ne parlent-elles jamais de cette possibilité que des gestes pédophiles pourraient se produire dans ce contexte de drag queen ? À trop protéger l’inacceptable, celui-ci risque de se produire. Pourrait-on faire de la prévention au lieu de tout accepter aveuglément au nom de la différence ?

À la fin mars 2023, François Amalega avait organisé une manifestation devant une bibliothèque municipale à ville Ste-Catherine sur la Rive-Sud de Montréal, pour protester contre le fait que Barbada, la drag queen préférée des médias mainstream, puisse venir y raconter des histoires aux enfants. Un autobus rempli d’une cinquantaine de personnes les attendait en retrait. Ces casseurs s’en venaient affronter Amalega et son groupe, pourtant pacifique, histoire de les faire passer pour des gens violents, avec l’aide des médias. C’est toujours la même rengaine. On connaît la tactique des autorités dans un cas comme celui-là. Ils aiment laisser croire aux moldus que les méchants manifestants sont des intolérants et qu’il faut légiférer pour empêcher toute cette intolérance insupportable. Eux, ils sont du côté du bien et nous sommes du côté du mal.  

Le lendemain de cette manifestation, Émilie Perreault, la chroniqueuse du 98,5 FM que j’aimais bien auparavant, a réagi sur Twitter. Voici ce qu’elle disait :

« C’est d’une telle absurdité. Je ne peux pas croire que ça se passe ici. Barbada collabore à ‘’toujours culture’’ et sa seule ambition est de donner le goût de la littérature jeunesse. L’ignorance et le manque de curiosité, c’est d’une grande tristesse »

J’aimerais bien demander à cette dame ce qu’elle pense des photos que j’ai publiées plus haut. Est-ce qu’elle accepterait que son enfant soit confronté à des gens déguisés en femmes, ressemblant à des monstres ? Si la seule ambition de Barbada est de donner le goût de la littérature jeunesse aux enfants, pourquoi le fait-il déguiser en femme ? Émilie me répondra sûrement que Barbada n’agit pas comme ceux qu’on peut voir sur les photos ci-haut, mais reste que, parmi les drags, il pourrait très facilement s’y infiltrer des pédophiles, surtout que le gouvernement les protège avec leurs motions. Je ne dis pas que les drags sont des pédophiles, mais ça pourrait être une option pour certains déviants de réorienter leur carrière dans le drag, vu qu’ils ont une forme de protection politique pour pouvoir approcher les enfants. N’oubliez pas que c’est déjà arrivé.

La semaine d’après la manifestation, Barbada a été invité à TLMEP à Radio-Canada où elle a pu nous vanter de sa bonne conscience, du fait qu’elle ne voulait qu’instruire les enfants. Barbada est interprétée par un dénommé Sébastien Potvin. Il y a quelque temps, cet homme avait organisé des masturbethons publics pour amasser de l’argent pour les enfants. Est-ce que nous sommes en droit de nous demander si ce genre de personnages ne pourrait pas, à un moment donné, utiliser cette même perversité à d’autres niveaux en présence des enfants ? En tant que parent, puis-je avoir un doute raisonnable concernant Barbada ? Suis-je si anormal de m’en faire ?

Comment les parents qui disent aimer leurs enfants, peuvent-ils être si tolérants pour ce genre de choses ? Je ne connais pas Sébastien Potvin. Il est sûrement une bonne personne et très bon dans ce qu’il fait, mais reste que s’il a un don pour raconter des histoires, pourquoi faut-il qu’il le fasse déguiser en mauvaise caricature de la femme ?  

Est-ce que le but de toute cette mascarade de drag queen, pour eux, ne serait pas d’enseigner la théorie du genre aux enfants pour que ça devienne une normalité ? Pourquoi QS a-t-il proposé une motion pour déplorer la montée de propos haineux envers les contes de Barbada ? Est-ce que le fait que Potvin se soit déjà présenté sous la bannière de QS y soit pour quelque chose ? Je n’accuse pas. Je me pose des questions.

À quoi sert une motion ? Une fois adoptée, celle-ci se transforme en ordre ou en résolution. Un ordre est l’acte par lequel l’Assemblée nationale enjoint à une commission, à un député ou à toute autre personne de faire quelque chose tandis qu’une résolution exprime une opinion ou une intention ou encore affirme un fait ou un principe. Cette distinction importe puisque le refus d’obéir à un ordre constitue une atteinte aux droits de l’Assemblée. 

Je le répète : je n’ai rien contre les drags, les transgenres, les gays, lesbiennes et tous les genres que vous voulez. Par contre, si vous me forcez à accepter que des hommes déguisés en femme viennent lire des histoires aux enfants à l’école, je crois avoir le droit d’accepter ou de refuser ce qu’on m’impose de force, sans me faire traiter de tous les noms. Puis-je être contre la théorie du genre, tout simplement parce pour moi, un homme est un homme et une femme est une femme ? Je comprends le principe que quelqu’un puisse se sentir dans le mauvais corps et veuille devenir de l’autre sexe, mais tout cela doit rester dans le monde des adultes. Quand un adulte d’une cinquantaine d’années se dit soudainement une petite fille de 6 ans ou qu’un autre devienne un renard, cette transformation est tout simplement de la maladie mentale. Si on peut devenir ce que l’on veut quand on veut, moi je décide, demain matin, de devenir PM du Québec et je veux ma limousine, mon compte de dépense, le fonds de pension qui vient avec et je le veux tout de suite. Et respectez-moi dans mon choix !

Que dire de la Ligue nationale de hockey qui a emboîté le pas en obligeant ses joueurs à porter les couleurs LBGTQ+++, comme s’il était important d’afficher la théorie du genre dans une partie de hockey ! Si un joueur avait refusé de porter les couleurs du mouvement, il aurait été crucifié sur la place publique comme c’est arrivé au joueur Ivan Provorov des Flyers de Philadelphie. Cette imposition de la théorie du genre n’est pas un hasard.

Il est évident que toute cette folie fait partie d’un plan bien établi. Ça se passe partout dans le monde. Ça vient de partout. On veut nous forcer à accepter l’inacceptable d’une sexualisation des enfants en bas âge, par idéologie. Ils utilisent la diversion, la perversion et traitent tous ceux qui sont contre cette théorie, comme ils ont traité les non-vaccinés, pour que les gens gardent le silence, sous peine d’être crucifiés sur la place publique. Les enfants n’ont pas besoin de se poser des questions sur leur sexualité en bas âge. Laissez-les tranquilles !

De mon côté, quand je vois les tendances médiatiques à vouloir me forcer à croire à quelque chose, tout bonnement, une certaine journée, sous peine d’être traité d’intolérants dans la société ou que l’on refuse que je me questionne pour mieux protéger mes enfants, un doute m’envahit sur les véritables intentions de nos gouvernements. Si ce doute fait de moi un intolérant, soit. En fait, ils ont raison : je suis intolérant à la pédophilie et à cette théorie du genre, dont le but semble malsain, à voir leur acharnement à nous l’imposer.

Le gouvernement a déjà forcé les enfants à porter le masque en classe sans que nous puissions nous y opposer. Ils ont ouvert les fenêtres des classes en plein hiver. Pour ceux qui croient aux bonnes intentions gouvernementales, posez-vous la question : pourquoi des drag queens dans les écoles ? Pourquoi pas des grands-parents qui viennent lire des histoires aux enfants ? Avant de leur enseigner les théories du genre, pourrait-on leur enseigner les théories de la vie ? Pourquoi une minorité (transgenres par exemple) devrait prendre possession de la bien-pensance dans la société, sans que personne ne puisse s’y opposer ? Tout n’est pas blanc ou noir. Les pédophiles existent. Le mal existe. La corruption existe.

Est-ce que les compagnies pharmaceutiques ne seraient pas en arrière de cette propagande de la théorie des genres ? Peut-on se poser la question ? Je m’explique : puisque les histoires de vaccins et de pandémie sont pratiquement en arrière de nous, se pourraient-ils que ces institutions très gourmandes, poussent ce narratif à l’échelle mondiale, pour pouvoir s’en mettre encore plein les poches ? Les chirurgies, les ablations de ci et de ça, ça doit être aussi lucratif que les vaccins, les antidépresseurs. On peut se le demander. Par contre, si c’est une diversion, je ne sais pas ce qui nous attend.

Dans mon livre à moi, un enfant a plus besoin de Passe-partout que de se faire enseigner une idéologie woke par des hommes déguisés en femme. Cette tentative de leur imposer des drag queens ne fera que les mélanger, plus que ça ne va les aider. La méthode qu’ils utilisent pour nous l’imposer ressemble étrangement à de la PROPAGANDE.

Comme l’a si bien dit un vrai journaliste Jérôme Blanchet Gravel sur Twitter :

« Je peux concevoir que certains parents ne soient pas réticents à l’idée de voir leur enfant fréquenter des #Dragqueens, dans une sorte de naïveté carnavalesque qui y voit des équivalents du père Noël ou de la Fée des étoiles. Mais qu’il soit devenu soudainement si important que les enfants écoutent ces personnages au point de voir tous les paliers de gouvernement financer ces activités relève du pur délire sociétal, sinon d’un agenda déconstructeur soutenu par des géants pharmaceutiques pour qui le changement de sexe est devenu un marché lucratif. »


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Alain Patenaude

Je suis un retraité de 65 ans, presque 66 (Un vieux crisse). J’étais musicien de studio, mais je continue à jouer et à composer pour mon plaisir personnel. Au début de la fausse pandémie, je me suis réveillé juste à temps pour voir le Grand Réveil. Avant, je me levais le matin et j’allumais la télé à LCN en prenant mon journal de Montréal que je lisais de bord en bord. Le 16 mars 2020, trois jours après le début de cette mascarade, j’ai coupé le câble et je me suis désabonné du journal à Péladeau pour ne pas participer financièrement à cette propagande de peur. J’ai perdu des membres de ma famille parce qu’ils pensent que je suis fou de ne pas penser comme le gouvernement et les médias. Mais la vie continue. Depuis 2009, j’écrivais sur Vigile Québec des articles sur l’idéologie de l’indépendance du Québec, mais je n’y crois plus. J’en ai 108 à mon actif. Si jamais ça vous intéresse de les lire.

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