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LES FEUX DE FORÊT AU QUÉBEC VS LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES

Par Alain Patenaude – Publié le 11 juin 2023

Avec les feux de forêt, Legault recommence ses points de presse quotidiens parce que ça devait lui manquer de faire peur au monde. Les autorités utilisent le même scénario qu’ils ont utilisé avec le cas vide. Les complotistes, même si ce terme est galvaudé, ont toujours dit que les prochains confinements seraient instaurés par la voie des changements climatiques.

Depuis quelques semaines, plusieurs feux de forêt sont devenus incontrôlables dans le nord du Québec. Comme toutes les années, des régions forestières s’enflamment pour diverses raisons. La foudre, les erreurs humaines en sont souvent la cause. Depuis quelques jours, dans certaines régions du Québec, il y a un smog qui persiste à cause de ces feux du nord, mais les médias ne cessent de nous alerter à tout bout de champ, comme si la fin du monde était proche.

Certaines régions ont mis en pause les événements sportifs de plein air en demandant aux gens de fermer les fenêtres chez eux et de fermer les échangeurs d’air. Le météorologue woke par excellence Gilles Brien de Météo Média nous promet les pires catastrophes à la moindre canicule. Pourtant, nous avons traversé notre première chaleur, sans trop de morts. Cette semaine, il y avait les feux, mais il fait froid au Québec et il pleut sur beaucoup de régions. Ça devrait aider.

Les écolo-anxieux pensent que les feux sont dus uniquement aux changements climatiques. Les sites du gouvernement du Canada propagent le même message, mais nous savons que c’est faux.

À écouter les autorités, on se croirait devant une situation qu’ils n’ont jamais vue venir et qu’ils ne prévoient jamais, année après année. Pourtant, il y a des feux de forêt depuis longtemps. Moi, j’y vois une corrélation avec ce que nous avons vécu avec le cas vide, c’est-à-dire qu’ils emploient le même processus médiatique de propagande sur un sujet établi. Ici nous sommes dans les changements climatiques. D’après l’agenda 2030, ils sont en retard d’un an sur leur projet.

Avec les feux de forêt, Legault recommence ses points de presse quotidiens parce que ça devait lui manquer de faire peur au monde. Les autorités utilisent le même scénario qu’ils ont utilisé avec le cas vide. Les complotistes, même si ce terme est galvaudé, ont toujours dit que les prochains confinements seraient instaurés par la voie des changements climatiques. On y est !

Sur le site du gouvernement du Québec https://mffp.gouv.qc.ca/les-forets/protection-milieu-forestier/gestion-feux-foret/causes-categories-saison-feux-foret/  il est dit qu’au Québec, environ 75 % des feux de forêt sont d’origine humaine. Ce n’est pas moi qui le dis. Pourtant sur Twitter, Maxime Bernier s’est fait ramasser par la journaliste Hélène Buzzetti parce qu’il avait twitté ceci : des gens de différentes provinces ont été arrêtés pour avoir allumé des feux de forêt délibérément.

Global News, un média mainstream a déjà fait un article sur une personne accusée de 32 chefs d’incendie en Alberta. Donc, ça veut dire que ça l’existe non ? Pourquoi Maxime Bernier n’aurait-il pas le droit de parler de cette possibilité, si c’est déjà arrivé ? Madame Buzzetti du Journal le Devoir semble avoir un immense besoin de redorer son blason des journalistes, après nous avoir menti sur tout, depuis 2020. Les journalistes croient ou essayent de nous faire croire que, tout ce qu’ils disent, est la vérité immuable, même sans arguments valables. Plusieurs personnes les croient. Surtout ceux qui les lisent encore. En ce qui me concerne, les médias mainstream sont à proscrire.

Pourquoi les changements climatiques seraient-ils la seule cause de ces incendies ? Quelles preuves scientifiques les experts de pacotilles comme Diane Lamarre ou encore les journalistes, comme Hélène Buzzetti, peuvent-ils nous proposer avec ce genre de réflexions unilatérales, basées sur aucune preuve valable ? La réponse est qu’ils alimentent une évidente propagande woke commandée par les hautes instances. Follow the money!

Il y a deux semaines, le sujet de l’heure était les drag queens, maintenant, ce sont les changements climatiques. Les feux de forêt sont arrivés comme une grâce venue du ciel pour les autorités qui se cherchaient un moyen de revenir sur la place publique. Il faut dire qu’avec le rejet du troisième lien, Legault rêvait d’une diversion.

Quand il y a une canicule, le gouvernement se frotte les mains de satisfaction, mais pendant ce temps, les CHSLD et les hôpitaux n’ont toujours pas de climatisations, malgré que le gouvernement sache qu’il y aura d’autres canicules pendant l’été. Ils envoient nos millions au fou de l’Ukraine Zelensky, mais nos vieux peuvent pourrir dans leur merde, qu’ils n’en ont rien à cirer. Cette semaine, on gèle et aucun média ne parle de changements climatiques, si ce n’est les feux qui font rage.

Rappelez-vous la semaine dernière, on nous annonçait une canicule meurtrière. Je commence à comprendre pourquoi ils insistaient à nous faire peur de la sorte. C’était pour justifier les feux de forêt et les changements climatiques.

On a vu comment les gouvernements et leurs journalistes propagandistes se réclamaient de la science pendant le cas vide, en se permettant de nous dire un paquet de niaiseries qu’ils propageaient allégrement. Pour moi, leur but c’est qu’ils se servent des feux de forêt pour tenter de refaire le même scénario catastrophe, qu’ils nous ont joué pendant trois ans avec le cas vide : c’est-à-dire instaurer la peur dans la population par tous les moyens, pour arriver à pouvoir réduire nos droits et libertés, sans que la plèbe ne s’en aperçoive. J’aimerais bien savoir pourquoi les feux de forêt canadiens ne traversent pas les frontières. Regardez cette carte : une photo vaut mille mots.

Je ne dis pas que les feux de forêt ne sont pas dangereux, mais ce serait plaisant que les médias arrêtent de nous mentir sur des histoires qu’ils inventent concernant des théories que l’agenda 2030 assume pourtant d’une façon transparente. Les feux ne sont pas causés par les changements climatiques, ils sont déclarés, soit par une origine humaine, soit par la foudre et ils pourraient être causés intentionnellement par des écologistes extrémistes qui voudraient accélérer le processus alarmiste de leur idéologie. Ça s’est déjà vu. Voici ce qu’écrivait à ce sujet, Mathieu Bock Côté en 2019;   https://www.journaldemontreal.com/2019/10/12/quand-les-ecologistes-sont-extremistes

J’aimerais vous montrer ce que j’ai trouvé en faisant une petite recherche rapide sur Google. Je ne suis pas journaliste et j’ai quand même trouvé cela sur le site du gouvernement du Québec. https://www.donneesquebec.ca/recherche/fr/dataset/feux-de-foret

 Dans cette étude, il est établi qu’un zonage territorial des principaux régimes de feux recensés au Québec méridional est évident et connu depuis longtemps. Pourquoi Legault n’en parle-t-il pas ? Pour ce faire, ils ont utilisé de l’information disponible sur les superficies brûlées au cours de la période 1890-2020 et d’autres variables environnementales potentiellement déterminantes. Les informations présentes dans la littérature scientifique sur l’historique des feux dans différentes régions ont aussi été considérées.

 Une analyse de groupement a permis de délimiter 13 zones présentant des régimes de feux distincts. Ces zones reflètent en bonne partie les dangers déjà connus, avec des fréquences de feux plus élevées dans les parties nord et ouest de l’aire d’étude. Ce zonage, délimité avec précision et basé sur les fréquences de feux historiques, pourrait être utile pour assurer une meilleure prise en compte du risque de feu dans un contexte d’aménagement forestier. Il pourra également servir d’assise territoriale pour projeter l’activité future des feux en tenant compte de différents facteurs comme les changements climatiques, la suppression des feux ainsi que les modifications des types et de la répartition des combustibles sur le territoire.

 Donc,

Connaissez-vous ce livre de Patrick Blanchet ? Il a été écrit en 2003. Il s’agit d’un livre d’histoire des feux de forêt, couvrant la période 1869-1972. Dans le tout dernier paragraphe de sa conclusion, l’auteur fait un petit retour sur un colloque portant sur l’aménagement forestier et le feu auquel il a assisté en 2002 (le livre a été publié en 2003). Il avait alors pu constater que notre relation avec les feux de forêt était en train de changer. Le feu ne faisait pas que « détruire » la forêt, il contribuait aussi à son renouvellement. « L’ennemi » d’hier était en train de devenir une source d’inspiration pour nos stratégies d’aménagement. De fait, aujourd’hui, l’aménagement écosystémique, qui s’inspire largement des perturbations naturelles, est au cœur de la nouvelle politique forestière du Québec en vigueur depuis le 1er avril 2013.

Ce livre de 183 pages est divisé en douze chapitres regroupés en trois grandes sections. Les informations se recoupent entre ces trois grandes sections, car elles représentent chacune un regard différent sur l’évolution de la lutte contre les feux de forêt au Québec.

  1. La première section, « le politique », est dédiée au développement des lois successivement votées dans l’optique de combattre les feux de forêt. Il y est naturellement question des jeux de coulisse politiques alors que les partisans du développement de l’aménagement (industriel) des forêts furent très longtemps en lutte avec ceux de la colonisation qui favorisaient la conversion des forêts en champs agricoles. Aussi, les jeux de pouvoir dans les relations entre le gouvernement et l’industrie forestière, relations depuis longtemps sujettes à des accusations de « copinage », sont bien présents.

  1. La deuxième section, sur les acteurs du terrain, s’attarde au développement en parallèle des différentes coopératives de protection mises en place par les concessionnaires forestiers et du Service de la protection du gouvernement du Québec en charge des territoires non couverts par les concessions. Point d’intérêt à souligner, car on en parle que trop peu souvent, la problématique des petites forêts privées (800 hectares) a droit à un chapitre complet. Les différentes initiatives qui ont vu le jour entre 1869 et 1972 ont depuis cette dernière date, laissé leur place à la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU). Le livre ne couvre cependant pas l’histoire de cette dernière organisation.

  1. La troisième section, qui s’attarde au développement des technologies pour combattre les feux de forêt, est celle que j’ai trouvé la plus fascinante à plus d’un égard. Elle montre tout d’abord tout le défi technologique et logistique qui a été nécessaire pour mettre en place une structure de combat à la fois efficace et technologiquement de pointe. Aussi, cette section est à contrario du contexte social d’aujourd’hui où l’industrie forestière a une image plutôt négative, car on y découvre des industriels forestiers à l’avant-garde du progrès (note : et le gouvernement n’était pas en reste). Par exemple, il y a eu de sérieux tests pour implanter la radiotéléphonie (ondes) alors que le câblage était la norme, une Ford T fut utilisée pour les patrouilles dès 1914 (début de production en 1908) et, si les tours à feu ont pendant longtemps été le symbole de la protection contre les incendies forestiers, les avions de détection ont commencé à être utilisés dès 1919.

 Les tours à feu, de par la place qu’elles occupent dans l’imaginaire collectif, méritent sans conteste un mot en propre. Si la toute première tour fut construite en Gaspésie en 1910, le « réseau » comme tel prit son envol avec la création de la St-Maurice Forest Protective Association. Une énorme logistique encadrait le réseau des tours. Par exemple, en 1925, environ 5 000 km de câbles téléphoniques rayonnaient entre les tours à feu et les autorités chargées du combat au sol. Ce chiffre devait monter à près de 13 000 km en 1942. En 1966, un total de 503 tours à feu couvrait le territoire québécois. Ci-dessous une petite anecdote de 1927, sous forme de citation, pour mieux visualiser l’importance du réseau des tours d’observation. Elle est de M. Henri Kieffer, alors grand patron du Service de protection au gouvernement.

Les tours devaient finalement laisser graduellement leur place à l’avion de détection à partir des années 1960-1970.

Pourquoi les écolo-anxieux veulent-ils nous faire croire que les changements climatiques sont la cause principale de ces feux ? Pour entretenir la peur et pour en arriver à réduire nos droits et libertés, comme ils l’ont fait avec le cas vide.

Maintenant, tous ceux qui s’opposent aux croyances des changements climatiques sont considérés automatiquement comme des climato-sceptiques. Ce terme a le même effet sur les disciples de TVA que le terme complotiste. Il court-circuite toute discussion avec la personne qui s’objecte à ce narratif. Si vous n’êtes pas d’accord avec ce que disent les médias et le gouvernement, vous devenez un paria de la société et vous méritez d’être ostracisé, voir même, enfermé.

La journaliste Josée Legault, la grande défenderesse des vaccins et des masques, reprend du service, mais, cette fois, sur la voie de la paranoïa des changements climatiques. Êtes-vous surpris?

Je crois que nous ne sommes qu’en début de cette nouvelle pandémie : les changements climatiques. Il est évident que le gouvernement Legault est impatient de nous reconfiner chez nous. Il est évident qu’il a beaucoup manqué de faire les points de presse quotidiens. Par le fait même, il redonne vie aux médias qui sont en train de mourir de leur belle mort. Les chroniqueurs des journaux mainstream vont recommencer à traiter tous ceux qui les contredisent, de tous les noms, en se demandant pourquoi ils sont tant détestés. Les mondialistes n’ont pas fini de nous en faire baver. Résistons !

À royure!


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Alain Patenaude

Je suis un retraité de 65 ans, presque 66 (Un vieux crisse). J’étais musicien de studio, mais je continue à jouer et à composer pour mon plaisir personnel. Au début de la fausse pandémie, je me suis réveillé juste à temps pour voir le Grand Réveil. Avant, je me levais le matin et j’allumais la télé à LCN en prenant mon journal de Montréal que je lisais de bord en bord. Le 16 mars 2020, trois jours après le début de cette mascarade, j’ai coupé le câble et je me suis désabonné du journal à Péladeau pour ne pas participer financièrement à cette propagande de peur. J’ai perdu des membres de ma famille parce qu’ils pensent que je suis fou de ne pas penser comme le gouvernement et les médias. Mais la vie continue. Depuis 2009, j’écrivais sur Vigile Québec des articles sur l’idéologie de l’indépendance du Québec, mais je n’y crois plus. J’en ai 108 à mon actif. Si jamais ça vous intéresse de les lire.

1 commentaire

Christiane Petit · 17 juin 2023 à 20 h 54 min

pitoyable et trop inconnu du grand public…
conscientiser la population avec une information crédible avec preuves à l’appui est essentiel …comme vous le faites…
vulgariser au possible par différents réseaux de communication en réseaux québécois solides indestructibles par les fact chekers… de tout acabit ou de réseaux soit disant officiels et crédibles est une base essentielle de départ. Le choix de dire la réalité ne doit pas permettre aux réseaux officiels de véhiculer de fausses réalités et de les déclarer incontestables… QUI A DES YEUX PEUT VOIR!

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