LA CENSURE ET LA PROPAGANDE
Par Alain Patenaude – Publié le 29 mai 2023
Tous les principes de base de la justice n’ont pas été respectés pendant toute cette coercition sanitaire. La charte des droits et libertés a été piétinée, au nom de décrets répétés plus d’une soixante fois, comme s’ils primaient sur tout. On nous embarré, empêché de circuler de ville en ville, de province en province. On nous a enfermés chez nous en nous imposant un couvre-feu plus de deux fois et pour les moldus, il faudrait mettre tout cela en arrière de nous. La censure leur a simplement caché la vérité.
Depuis le début de la fausse pandémie, plusieurs d’entre nous ont constaté la censure déraisonnable qui a été instaurée sur Facebook, Google, You Tube et Twitter avant l’achat de Musk. Cette censure de la vérité avait pour but d’instaurer une propagande mondialiste évidente et de faire taire les voix discordantes qui auraient éveillé trop de gens endormis. Elle est toujours en cours.
Les médias du monde entier se sont mis à dire tous la même chose, à une journée près. Si Arruda parlait des masques au Québec, son homonyme français disait quasiment les mêmes mots à quelques heures d’intervalle. La cause ? Les agences de presse comme l’AFP et Reuters, qui dirigent tout sur l’information internationale, synchronisaient tout. L’OMS dirige les agences de presse. Bill Gates est le plus grand contributeur de l’OMS et il finance subtilement des journalistes à coups de millions.
Je vous propose une petite vidéo qui explique bien le processus.
https://www.youtube.com/watch?v=1M7splVK9ng
Sûr que les moldus qui écoutent la télé et qui lisent les journaux ne peuvent pas réaliser cette censure, puisqu’ils sont sous l’emprise de la propagande.
Quand les médias se sont mis à propager la peur de façon très intense en mars 2020, c’est ce qui m’a réveillé personnellement. La télévision a un énorme pouvoir hypnotique sur les gens. Habituellement considérés comme le quatrième pouvoir, les médias ont amplifié le danger du cas vide X 1000 et ils ont perdu toute crédibilité, en ce qui me concerne. La censure et la propagande vont de pairs. Le but précis : faire taire la vérité.
Les médias mainstream ne donnent plus d’informations. Ce sont des instruments qui servent les gouvernements en place. Depuis le début de la fausse pandémie, si quelqu’un avait le malheur de prononcer le mot : vaccin, il était banni sur le champ, sans d’autres explications. Sur Facebook, tu pouvais te mettre à poil et être d’une vulgarité sans nom sans être banni, mais tu ne pouvais pas parler contre l’injection. C’est encore le cas. Par la suite, ils ont commencé à jouer la carte du réchauffement climatique, dans le même but.
Marianne Klowak, une ex-journaliste de la CBC basée au Manitoba et à l’emploi de ce média depuis 34 ans, a déclaré à la commission d’enquête citoyenne, que Radio-Canada avait failli à sa mission en interdisant à ses journalistes d’écrire des articles sur les préjudices causés par le confinement et les effets secondaires du vaccin, mais aussi sur l’opposition d’une partie de la population aux mesures sanitaires contraignantes et obligatoires. Elle a dit :
« Je sais qu’en tant que radiodiffuseur public, vous vous attendez à ce que nous vous disions la vérité, et c’est ce que nous avons cessé de faire. Il s’agit d’un certain nombre d’articles que j’ai présentés et qui ont été bloqués, mais il m’a semblé, en tant que journaliste en poste depuis 34 ans, que les règles avaient changé du jour au lendemain. Et cela s’est produit si rapidement que j’en ai été étourdie », a poursuivi celle qui a quitté la CBC en décembre 2021.
Selon elle, la CBC l’a empêchée de rédiger plusieurs articles sur la pandémie, mais surtout sur sa gestion par les gouvernements, articles qu’elle avait présentés à ses rédacteurs en chef avant de voir son travail censuré. Ce n’est pas moi qui le dis !
Madame Klowak a estimé que la CBC avait trahi la confiance du public canadien en privilégiant les experts favorables aux mesures sanitaires, tout en qualifiant de « dangereux et de diffuseurs de fausses informations » ceux qui mettaient en doute l’efficacité et les bienfaits de ces mesures et de la vaccination de masse.
En 2020, j’ai découvert les lanceurs d’alerte sur les réseaux sociaux comme Z radio, Jean-Jacques Crèvecoeur, Alexis Cossette Trudel, Gilles Bellerose, Lucie Laurier, Samuel Grenier, Daniel Brisson, Claude Gélinas, André Pitre, Mel Goyer, Carl Giroux, Jeff Benoît, Amélie Paul et bien d’autres. Bien que ces gens s’exprimassent avec plein de bon sens (plus que les mainstreams en tout cas), les médias, comme des lâches programmés, détenant le pouvoir médiatique, les ont lapidés sur la place publique en les diffamant carrément, sans qu’ils ne puissent répliquer dans un débat d’égal à égal. Le mot d’ordre était : il faut dénigrer tout ce qu’ils disent
La journaliste Brigitte Noel s’en est donnée à cœur joie avec Amélie Paul et Alexis Cossette Trudel, sans que ceux-ci n’aient aucun droit de réplique pour se défendre. Patrick Lagacé nous a traités d’édentés plusieurs fois également. Par la suite, il osait se demander pourquoi les gens étaient aussi agressifs envers lui dans la rue. Facile d’accuser les autres de tous les maux, quand on leur refuse le droit de parole pour répliquer. Même l’UNESCO s’en est mêlée avec son rapport bidon sur le complotisme, faisant passer pour de dangereux terroristes, tous les lanceurs d’alerte cités ci-haut.
Cette méthode de dénigrement d’une partie de la population a été utilisée en Russie dans le temps des Bolchéviques et dans l’Allemagne de Hitler. Les gens n’aiment pas entendre dire qu’il y a une similitude entre ce qui s’est passé depuis 2020 et les méthodes nazies, mais c’est un fait.
Tous les principes de base de la justice n’ont pas été respectés pendant toute cette coercition sanitaire. La charte des droits et libertés a été piétinée, au nom de décrets répétés plus d’une soixante fois, comme s’ils primaient sur tout. Les juges, en général, ne veulent pas faire jurisprudence pour ne pas nuire à ceux qui les ont nominés. Pourtant la charte devrait primer sur tout décret. Ils ont ignoré le code de Nuremberg. On nous a embarrés, on nous a empêchés de circuler de ville en ville, de province en province, on nous a masqués. On a masqué nos enfants en ouvrant les fenêtres à l’école en plein hiver. On nous a enfermés chez nous, en nous imposant deux couvre-feux et pour les moldus, il faudrait mettre toute cette histoire en arrière de nous et ne plus en parler. Souvenez-vous des alertes sur nos cells !
Alors, les oreilles nous frisent quand on entend nos plantes vertes de politiciens se vanter de défendre la charte des droits ou d’être les protecteurs la liberté d’expression, ou de les entendre parler de démocratie. Il n’y a que les tyrans qui défendent publiquement ce qu’ils combattent en réalité, parce que les moldus les écoutent et les croient, et ce, grâce aux médias.
Qui écoute LCN et RDI ? Qui lit le Journal de Montréal, la Presse ou Le Devoir ? En général, ce sont les Baby-Boomers. Ne dites pas que je fais de l’âgisme, puisque j’ai moi-même 65 ans et que je faisais partie des gens qui les écoutaient et qui les lisaient. La télévision a un pouvoir hypnotique incroyable sur la population d’ici. Je vous ai déjà exposé ma théorie là-dessus ici. Les jeunes n’en ont rien à foutre de Paul Larocque, Mario Dumont et des autres propagandistes professionnels à TVA ou Radio-Canada. Sans le support du gouvernement, les médias seraient tous enterrés et Richard Martineau travaillerait chez Costco.
Le gouvernement a trouvé le moyen de les sauver en leur permettant de devenir leur outil de propagande, en leur distribuant 13 millions $ par semaine pendant presque trois ans pour qu’ils ne le contredisent jamais. Juste avant la pandémie en 2019, tous les journaux étaient en train de faire faillite. Arriva la pandémie et ils sont revenus à la vie grâce à l’argent des contribuables moldus qui n’étaient même pas au courant qu’ils les finançaient. Le gouvernement sait qu’il y aura toujours une catégorie de gens qui ne remettront jamais en question, tout ce qu’ils disent.
Ici au Québec, la censure a été énorme et très dommageable. Les gens d’ici en général, acceptent tout ce que disent les médias et les gouvernements, comme paroles d’Évangile. Le Québec est devenu le laboratoire parfait pour expérimenter n’importe quel produit pharmaceutique. Juste à installer la peur dans la population avec l’aide des médias, et le tour est joué. Les moldus se mettent la tête dans le sable et suivent comme de petits chiens de poche. Ils ne veulent pas voir la réalité des choses. Ils font comme la chanteuse Guylaine Tanguay qui aime mieux se faire dire quoi faire en suivant les flèches.
Les chroniqueurs que je respectais avant la fausse pandémie, Richard Martineau, Joseph Facal, Denise Bombardier, Patrick Lagacé, Mario Dumont, Benoît Dutrisac, Josée Legault, Geneviève Pettersen et plusieurs autres ont tous craché leur venin sur nous qui osions nous demander pourquoi il y avait tant d’incohérences dans le discours du gouvernement et des médias. C’est toujours la chasse aux résistants.
La censure est utilisée dans les pays totalitaires où la vérité doit être cachée à tout prix pour éviter que les moldus ne se réveillent et se révoltent. En se contredisant dans leurs propos, les propagandistes court-circuitent le bon sens des gens qui ne comprennent pas qu’on leur dise une chose et son contraire. Ça s’appelle de la dissonance cognitive. Mélanger à la peur, c’est magique de perversion.
Pourtant, tout le monde sait que la censure est effectuée par des idiots incapables d’apporter des arguments à leur point de vue et qui pensent être les maîtres à penser d’une société, parce qu’ils ont le pouvoir de l’information. Prenez QS par exemple. C’est un parti clairement communiste qui se cherche des arguments pour attirer l’attention des moldus. Leurs idées marxistes sont dépassées. La Russie a échoué dans ce plan de l’égalité pour tous, parce que vu la malhonnêteté des politiciens, partout dans le monde, ce principe d’égalité ne génère finalement que de la misère pour tout le monde.
Tous les arguments apportés pour justifier la censure agissent comme une épée de Damoclès sur la liberté et la démocratie. De plus, il est évident qu’une grande majorité de la population est incapable d’esprit critique. Les Québécois ont une mémoire de petits poissons rouges. Une journée, on leur parle de la guerre en Ukraine, ils affichent alors leurs drapeaux ukrainiens sur leur Facebook ou Twitter en rageant contre les méchants Russes, parce que les médias leur ont dit que c’était cela. Le lendemain, on leur explique l’importance des drag queens dans les écoles et ils y envoient leurs enfants, rageant contre ceux qui s’y opposent. La télévision a un énorme pouvoir sur eux. TLMEP reçoit Barbada et elle devient la vedette instantanément. La propagande fonctionne tant que les moldus ne se désabonnent pas du câble télé.
Souvenez-vous des émissions où des chanteurs (euses) se présentaient devant des juges vedettes, à heure de grande écoute, dans le but de devenir des superstars instantanément. Les concurrents devaient, lors de l’audition, s’engager en signant un contrat d’exclusivité de cinq ans avec la Production, s’ils étaient choisis comme candidats. Ils devaient remplir un questionnaire concernant quelques détails de leur vie privée, exemple maladies récentes, pour d’éventuels reportages dans les magazines à potins. Les résultats du gagnant à la fin, bien que, supposément sous la supervision d’une firme quelconque, n’étaient jamais publiés ou du moins consultés par le public. Pourtant, lors de ces émissions très populaires, les gens devaient payer 1 $ par appel pour voter pour leurs chanteurs favoris. I million d’appels X 1 million $= 1 million $. Les Québécois étaient en extase devant de purs inconnus qu’ils ne connaissaient pas l’heure d’avant, juste parce que la télé en avait décidé ainsi. Quand ils sortaient l’album avec tous les concurrents qui avaient participé, l’animatrice surexcitée s’empressait de dire que les ventes dépassaient les 100,000 exemplaires en seulement une semaine. En fait, la maison de distribution, qui s’occupait d’envoyer les disques dans les magasins, en distribuait 100,000, mais ils n’étaient pas encore vendus. C’était de la propagande de marketing. L’animatrice se pétait les bretelles en disant que les ventes étaient énormes ce qui incitait les moldus à acheter l’album, de peur qu’il n’y en ait plus. La propagande est à tous les niveaux, voyez !
Je n’ai rien contre le marketing et les pitchs de ventes. Le vrai problème est que les gouvernements sont considérés (à raison) comme étant des menteurs pathologiques et pour cause, ils le confirment eux-mêmes, avec toutes les promesses qu’ils ne tiennent pas (le troisième lien par exemple). Ce manque de confiance d’une certaine catégorie de gens plus éveillés envers les politiciens ne pourra jamais être rétabli et ceux qui n’ont pas compris l’arnaque ne s’éveilleront jamais, après trois ans. Cela conforte le fait que les décideurs ont quelque chose à cacher et qu’il y a un but malsain en arrière de tout cela. Nos gouvernements sont des manipulateurs professionnels, c’est pourquoi ils ont besoin de la censure et de la fabrique du consentement pour nous faire avaler leurs plans machiavéliques. Tant que le peuple dort, ils peuvent faire ce qu’ils veulent. C’est Goebbels qui avait dit :
« Un mensonge répété une fois reste un mensonge, mais répété mille fois, il devient une vérité. »
Si vous faites une recherche sur Google concernant l’arnaque de la Cas-vide, vous ne trouverez pas grand-chose là-dessus qui va à l’encontre du narratif gouvernemental, mais si vous changez de moteur de recherche pour Duckduckgo par exemple, vous trouverez plus de sites qui ne sont pas accessibles dans Google. La censure est insidieuse, surtout, quand on ne sait même pas qu’on est censuré. Les moldus n’ont aucune idée de cela. C’est ce qui fait le plus mal dans toute cette histoire. Parce que ceux qui se mettent la tête dans le sable sont responsables de ce délire inconcevable que nous vivons tous. Je connais même quelqu’un qui est profondément endormi et injecté plus de 4 fois, qui a dit à sa sœur, qui n’a reçu que deux doses, qu’elle devrait arrêter de se mettre la tête dans le sable. La censure est la clé qui mène à la tyrannie. Le plan des mondialistes continue.
Comme le disait si bien Alexis Haupt sur Twitter :
Avis à la population : pour le prochain rhume ou autre maladie respiratoire qu’ils utiliseront pour faire triompher des lois liberticides, faites ce que vous n’avez pas fait la première fois : doutez !
Vous verrez, ça change tout.
À royure.
1 commentaire
Albert Legrand · 30 mai 2023 à 18 h 35 min
Bonjour,
Je viens de vous lire attentivement et il me semble, sauf erreur de ma part, que vous vous contredites en affirmant dans le même texte que « La censure est la clé qui mène à la tyrannie » et que les russes ne seraient pas les « méchants « alors que la censure, c’est exactement ce que fait Poutine, pour effectivement arriver à instaurer une tyrannie?
Est-ce que je me trompe ?