Les trolls sur les réseaux sociaux

Depuis le début de la fausse pandémie, les trolls ont pris d’assaut les réseaux sociaux, comme des rats qui envahissent les égouts et les maisons. Ils ont toujours été présents, mais avant le cas-vide, la propagande était moins intense qu’aujourd’hui. Ils étaient plus subtils.

Les trolls viennent périodiquement inonder le Net de leurs insultes diffamatoires envers tous ceux qui dénigrent ce que dit le gouvernement ou le narratif médiatique. Ils émettent des commentaires sous vos tweets où ils vous demandent carrément de vous suicider, en tentant de vous faire sortir de vos gonds ou en vous décourageant à continuer d’écrire. Ils menacent votre vie en essayant de vous faire peur, en espérant que vous disparaissiez du réseau. C’est la tactique bien connue de la propagande.

Ils agissent comme de lâches citoyens foutus, démunis de convictions, parce que, soit ce sont des algorithmes virtuels programmés qui nous attaquent, soit ce sont des gens malveillants qui viennent nous harceler.   

Quand vous regardez leur profil sur Facebook ou Twitter, ils ont 10 followers et souvent un pseudonyme qui en dit long sur leurs intentions de foutre le trouble. Vous ne les avez jamais vus auparavant et soudainement, ils vous attaquent comme des hyènes affamées.   

Je me souviens, juste avant les élections provinciales, le 1er octobre 2022, j’avais émis des commentaires politiques contre la CAQ, ce qui avait provoqué beaucoup de réactions sur Twitter. Les trolls m’étaient soudainement tombés dessus venant de nulle part et me demandant de me zigouiller et en promettant de s’en prendre à mes enfants. La folie est à ce point.

Inutile de vous dire que, dans ces cas exceptionnels, la police ne peut rien pour vous, surtout quand le personnage qui vous menace n’existe pas ou que l’intimidateur a pris courageusement un nom fictif. Après les élections, ils étaient disparus comme par enchantement. J’avais beau vouloir retrouver leurs statuts sur le réseau social, ils n’existaient plus.

Quand les trolls se ruent sur vous virtuellement, de façon anonyme, avec des adresses email comme « groscon.ca », on comprend que ces imbéciles heureux, s’ils existent vraiment, sont sûrement des peureux pathologiques dans la vie de tous les jours, qui se cachent derrière leurs ordinateurs pour vous insulter de façon anonyme. Je ne suis pas sûr qu’ils oseraient nous interpeler de cette façon en personne.  

La première fois qu’on est confronté à ce genre de commentaires, on se demande s’il peut y avoir des gens aussi méchants en ce bas monde. Finalement la réponse est oui. Il y a des idiots qui perdent leur temps à nous écrire des insultes, s’ils ne sont pas d’accord avec nous, mais il y a, aussi l’intelligence artificielle qui prend beaucoup de place dans notre quotidien, ne l’oubliez pas. Algorithmes = Intelligence artificielle

Il faut être d’une naïveté sans borne pour croire que le gouvernement n’oserait jamais faire appel à des gens ou à des algorithmes pour nous pourrir la vie. Cette méthode de s’en prendre aux résistants, peu importe les moyens, a toujours existé. Elle a été utilisée dans d’autres pays totalitaires, ce n’est pas nouveau. La seule différence aujourd’hui, c’est qu’avec l’intelligence artificielle, la technologie peut s’en prendre à certaines personnes, sans laisser de traces. Un robot qui s’en prend à un être humain n’aura aucune répercussion judiciaire ou policière, car il n’est qu’une représentation informatique programmée. Par exemple, avec le Dal-E2, vous pouvez faire dire n’importe quoi à un personnage connu de votre choix. Vous allez entendre sa vraie voix avec les mots que vous lui proposez sur l’application. Cette technologie peut sûrement écrire un texte et se faire passer pour un individu quelconque non ?   

Lors des nombreuses manifestations contre les mesures sanitaires au Québec, il y avait toujours des casseurs qui débarquaient pour aller provoquer les manifestants pacifiques, pendant que les caméras des médias filmaient le tout, comme par hasard. Que dire de la police qui surveillait ceux qui ne portaient pas le masque pendant les manifestations contre les mesures sanitaires ! Leur tactique était celle-ci : le policier accostait une personne non masquée, de préférence seule, en lui mettant la main sur l’épaule. Si la victime se sentait agresser et réagissait en repoussant le bras du policier, il était mis en état d’arrestation et on lui remettait une contravention savoureuse de 1,500 $. Ainsi, aux nouvelles du soir, le téléjournal retransmettait des images des manifestants en état d’arrestation pour avoir, d’après eux, été violents. Ainsi, Patrick Lagacé pouvait écrire ses articles sur les édentés. Les moldus accrochaient à l’hameçon et pouvaient dire : Ah ! Mon Dieu qu’il écrit bien le beau Patrick !  

Parlant de tactiques, qui ne se souvient pas du fameux drapeau nazi à Ottawa lors du convoi de la liberté, qu’un seul homme avait affiché sans raison, dans la foule parmi les quelques millions de personnes ! Trudeau l’avait rapidement reproché aux manifestants en les catégorisant de Nazis. Les médias se sont empressés de le rapporter aux moldus pour dénigrer le mouvement des camionneurs, les faisant passer pour des terroristes débarqués d’un pays quelconque pour venir faire du grabuge. Trudeau et ses sbires ont même accusé la Russie d’avoir financé le convoi. Pourtant, cette manifestation gigantesque a été pacifique d’un bout à l’autre. Les médias n’ont pas arrêté de dire que c’était une organisation terroriste. Ils ont même dit que plusieurs camions cachaient des armes pour une éventuelle attaque. Quand tu as le pouvoir de l’information, tu peux faire croire n’importe quoi aux moldus. Ils n’y voient que du feu.

Oui, il devait bien y avoir des citoyens à Ottawa qui n’aimaient pas que les rues de la ville soient bloquées par d’énormes camions, mais reste que ce fût une manifestation PACIFIQUE qui a été un modèle à suivre partout dans le monde. Les itinérants de la ville n’ont jamais eu autant de repas chauds, mais les médias n’en ont pas parlé. Ce sont les casseurs qui ont fait le grabuge. Mais quand tu détiens les médias et que tu es de mauvaise foi, tu peux faire croire à tes disciples que les méchants manifestants complotistes ont pris en otage la ville d’Ottawa.

La dernière semaine des manifestations à Ottawa, quand les avions de l’ONU ont atterri à Petawawa où des mercenaires en sont débarqués dans le but de faire table rase dans la Capitale, ces agents portaient mystérieusement les uniformes des policiers d’ici. Ils ont provoqué les citoyens pacifiques, parmi femmes et enfants. Aucun nom n’était inscrit sur leurs insignes, parce qu’ils n’en portaient pas. Qui ne se souvient pas de la dame autochtone renversée par les mercenaires à cheval ! Pourtant, les vrais policiers d’Ottawa avaient toujours été conciliants et gentils avec les manifestants. Avec cette manœuvre déloyale et digne des pires dictatures, Trudeau s’est fait une réputation non enviable à travers le monde. Il s’est fait ramasser solide au Parlement Européen par plusieurs dignitaires. Souvenez-vous de Christine Anderson qui lui a crié : « Please spare us of your presence » (SVP, épargnez-nous de votre présence). Les médias d’ici n’en ont pas parlé. Lors de la commission d’enquête sur la loi des mesures d’urgence bidon, le juge de la commission était, comme par hasard, un ami de la famille Trudeau et un libéral notoire. C’est comme si Mom Boucher aurait été jugé par un juge, membre des Hells.