UN MONDE DE PERCEPTIONS
Par Alain Patenaude – Publié le 12 septembre 2023
Les gens ont toujours eu des perceptions sur tout. C’est normal. Tout dépend ce qu’elles apportent. Les Québécois ont une facilité à critiquer et à juger les autres. Ils aiment beaucoup leurs artistes et surtout leurs humoristes, parce qu’ils peuvent rire sans se sentir coupables. L’ancien ministre Wilfrid Laurier disait que les Québécois n’avaient pas d’opinions politiques, mais des émotions. Il avait raison. Les Québécois sont des analphabètes politiques qui se laissent influencer par la peur. Ils ne veulent pas prendre de décisions, de peur de se tromper. Les moldus québécois se ferment les yeux sur les incohérences. Ils ont peur de tout et de rien. Les politiciens les connaissent comme s’ils les avaient tricotés.
Nous vivons dans un monde de perception. C’est évident. Les symboles de toutes sortes nous envahissent de partout et ils nous influencent sans que nous le sachions. Les publicitaires usent de tous les moyens qu’ils ont pour nous rejoindre et nous influencer par des moyens subliminaux ou autres. Les politiciens, les vendeurs, les voleurs, les sectes ont toujours usé de symboles pour nous faire adhérer à leurs produits ou à leur idéologie. Dans les années 50 et 60, les annonces de cigarettes étaient visibles partout. Les compagnies de tabac faisaient croire aux citoyens qu’il était bien vu de fumer. Ils utilisaient des images subjectives, avec un homme habillé en blanc, par exemple, qui laissait suggérer que les médecins recommandaient de fumer. 90 % de la population fumait. La perception et l’émotion sont le leitmotiv des Québécois.
Nous avons fini par connaître les vérités derrière la consommation de cigarettes et du comment les compagnies de tabac s’y étaient prises pour que les gens ne puissent plus s’en passer dans le film « The Insider ». Le film abordait la pratique consistant à augmenter l’effet addictif de la nicotine avec des adjuvants chimiques, comme l’ammoniac ; puis le refus de supprimer la coumarine ajoutée dans les cigarettes, une substance susceptible d’être cancérigène, pour éviter le risque de provoquer une baisse des ventes.
Pendant la fausse pandémie, les ministres de tous partis confondus jouaient la comédie cas vide en mettant les masques devant les caméras parce qu’ils savaient que ça influençait les citoyens qui les voyaient à la maison, mais qui les enlevaient, aussitôt que les conférences de presse étaient terminées. Souvenez-vous de Geneviève Guilbault qui se promenait avec des enfants masqués pendant qu’elle ne l’était pas, elle-même !
C’est vraiment dans les gènes de cette dame de faire le contraire de ce qu’elle préconise. Grâce aux médias, elle a réussi, avec le concours des médias, à influencer la perception des gens sur son évident : « faites ce que je dis, pas ce que je fais ». Ça ne dérange plus les gens. Ils acceptent qu’on leur dise quoi faire, même si, eux, ne le font pas.
Les moldus du Québec écoutent LCN et RDI en lisant le Journal de Montréal et ils croient tout ce qui est dit. C’est là qu’ils emmagasinent et se font dicter leurs perceptions. Ils aiment qu’on leur dise quoi faire, quoi croire. Les journalistes représentent les prêtres des années 60. Legault et Trudeau sont les Évêques de l’époque. Il ne manque, aux moldus, que de se mettre à genoux, en récitant le chapelet de la CAQ en écoutant le podcast de Legault : « Bonjour tout le monde ». Plus ça change, plus c’est pareil ! La procédure pour contrôler les moldus n’a pas tellement changé.
Les citoyens jugent les événements sur des perceptions qu’ils ont et de ce que les médias leur disent. Les gens ont déjà une facilité à juger les autres autour d’eux. Par exemple, vous passez devant une maison où le gazon n’a pas été coupé depuis des mois. Vous allez juger le propriétaire de laisser pousser son gazon si haut. Votre perception vous laisse cette image de quelqu’un qui n’entretient pas ses affaires. Nous avons tendance à nous imaginer ce que peut avoir l’air l’intérieur de la maison. Les Québécois portent des jugements facilement. Vous pouvez imaginer le pouvoir que peuvent avoir les médias sur gens !
Lorsque vous voyez le PM Trudeau porter ses bas en forme de pénis, vous le jugez en vous demandant pourquoi il fait cela. Est-il un maniaque de pénis pour ne pas s’empêcher de les montrer publiquement ou il y a une autre raison ? Notre perception n’est pas la vérité absolue, mais reste qu’elle nous influence beaucoup. Surtout lorsqu’il s’agit d’une personne que l’on n’apprécie pas beaucoup. Il ne faut pas oublier que les contradictions venant du gouvernement forment la dissonance cognitive et les gens deviennent mêlés.
Revenons à la ministre Guilbault qui s’est fait ramasser par le JDM, concernant le fait qu’elle ne s’attachait pas, quand elle conduisait son auto. Elle vient de faire paraître sur X une photo avec son chum, le ministre de la famille Mathieu Lacombe où elle disait se trouver au match des alouettes. Mais quand vous regardez dans leurs lunettes, vous voyez qu’ils sont effectivement au stade, mais qu’il n’y a pas personne dans les gradins. Les politiciens ne peuvent pas s’empêcher de mentir tout le temps. Tout est perception. La seule chose c’est que les politiciens d’ici sont des imbéciles qui font beaucoup d’erreurs, mais ils peuvent se permettre d’en faire puisque les moldus n’y voient que du feu. Les politiciens ébranlent quand même le plan qui leur est transmis par leur incompétence.
Parlant de perception. Elle est souvent subliminale. Pensons aux couleurs LGBTQ que l’on voit partout. Il est évident que le but de tout cela est de faire en sorte que la perception de ces couleurs qui nous sont imposées à toutes les sauces devienne naturelle et normale d’être affichées partout. Pourtant, il existe quand même une signification plus noire de ces couleurs qui nous sont imposées. Voyez la définition du drapeau aux couleurs sataniques !
La CAQ, les médias et Météo Média s’en sont donnés à cœur joie avec les changements climatiques cet été. Legault nous a cassé le beigne tout l’été en disant qu’il y aurait des feux toute la saison. Les climats anxieux n’ont pas cessé de faire peur aux gens avec ça. Cette semaine, nous avons appris qu’un homme était accusé d’avoir allumé des feux à Chibougamau. Finalement, ça s’peut des humains qui font ça ?
Pendant ce temps, les médias parlent d’experts qu’ils ne nomment jamais pour justifier les feux de forêt. Ils ont fait ça avec le cas vide aussi. Ils aiment bien dire que la fin du monde est éminente. François Bonnardel a fait son « speech » climatique dont personne ne peut nier le narratif sous peine d’être traité de climato sceptique et de mongol.
C’est pareil comme pendant la fausse pandémie, ils nous disaient qu’il y avait un virus et tous ceux qui niaient le narratif, étaient traités de complotistes. Tout est une question de perception. S’il y avait eu réellement une pandémie meurtrière, les gens seraient tombés morts dans la rue. Les familles auraient perdu des membres de leurs familles, au maximum. Mais les autorités ont compris qu’en passant par les médias et en utilisant les artistes et acteurs guidounes, financés par le gouvernement, ils ont réussi à modifier les perceptions sociales en instrumentalisant des incohérences à tour de bras.
La première semaine de septembre, les imbéciles qui prétendent fermer des écoles pour le bien des enfants en raison de la chaleur accablante, se foutaient royalement que ces mêmes enfants, quand il s’agissait de les faire étudier, fenêtre ouvertes l’hiver avec des muselières inutiles pour satisfaire leurs bonnes femmes hypocondriaques.
Les Québécois, qui sont tombés dans le panneau de l’anxiété climatique cette semaine, avec la chaleur caniculaire, sont d’une imbécilité dure à comprendre. Ils ont peur de quelques jours de chaleur intense, mais se payent des voyages dans le sud en plein l’hiver pour retrouver une chaleur qui ne se discute pas. De l’incohérence à tour de bras !
Le Québec est un endroit où les moldus sont des cas irrécupérables. Profitez du peu d’été qu’il nous reste. L’hiver s’en vient et je ne crois pas qu’il fera plus chaud qu’à l’habitude. On s’en reparlera quand il fera moins 15.
À royure !
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